Monologue De Winnie

pièce, « Winnie, la cinquantaine » est à moitié enterrée dans un mamelon, avec un sac à main à sa gauche, et une ombrelle à sa droite. Willie est caché derrière le mamelon et dort. Une sonnerie se fait entendre et après un certain temps, Winnie se met à parler (p.12). Elle prie et se parle à elle-même avant de tenter de réveiller Willie sans succès. Puis elle examine ses dents ainsi que la brosse à dents qu’elle sort de son sac. Elle manipule ensuite les objets tout en continuant son monologue : lunettes

dans un état d’enfermement psychologique dont winnie, une femme à moitié enterré au milieu d’une « étendue d’herbe d’enfant au niveau de son mamelon ». La scène est donc constitué que d’un monologue de winnie là ou l’auteur traite, montre habilement l’état de l’être humain. De quelle manière l’auteur montre-t-il à travers ce monologue la dégradation de l’homme vers le néant ? Afin de répondre à ce prob. On va étudier en premier l’originalité de ce monologue, ensuite en deux, on montrera la misère et

condition humaine. Pour cela, il met en scène deux personnages sombrant dans une profonde folie et surtout dans un état d’enfermement psychologique. Winnie, la femme est à moitié enterrée au milieu d'une « étendue d'herbe brûlée s'enflant au centre en petit mamelon ». Son mari, Willie, est muet. La scène n’est donc constituée que d'un monologue de Winnie dans lequel l’auteur traite habilement du dépérissement de l’être humain.

jours de Samuel Beckett, écrite en 1963. Winnie est sur scène au côté de son mari sourd, Willie, et interprète un monologue où elle se questionne sur des phases essentielles de la vie mais aussi sur des choses futiles. Nous allons analyser ce que nous dit Samuel Beckett, à travers Winnie, sur le fait d'être Homme. Nous allons analyser comment le registre burlesque permet de dresser un portrait de la condition humaine prise dans son absurdité. Dans ce monologue, Beckett utilise tous les éléments en

S. BECKETT, Oh les beaux jours, 1963. Annexe au texte 3 : Photographie de la mise en scène de Oh les beaux jours au théâtre de l’Odéon, 1963 (Madeleine Renaud dans le rôle de Winnie). Annexe au corpus : An. ARTAUD, Le Théâtre et son double, 1938. Le corpus est constitué de trois textes écrit sous forme de monologue : un extrait de la scène 9 de l’acte IV du drame romantique d’Alfred de Musset, « Lorenzaccio », de 1843 ; un entracte appelé « Lamento du jardinier » de la pièce de théâtre « Électre »

dans une profonde folie et surtout dans un état d’enfermement psychologique. Winnie, la femme est à moitié enterrée au milieu d'une « étendue d'herbe brûlée s'enflant au centre en petit mamelon ». Son mari, Willie, est muet. La scène n’est donc constituée que d'un monologue de Winnie dans lequel l’auteur traite habilement du dépérissement de l’être humain. Résumé du livre : Acte I  Au début de la pièce, « Winnie, la cinquantaine » est à moitié enterrée dans un gros mamelon, avec un sac à main

les circuits d'une communication dont le dialogue serait devenu l'astre mort et ne subsisteraient plus que les satellites : soliloque, monologue, aparté et autres manifestations solitaires du langage. Comme l'a écrit Ludovic Janvier, nous n'avons jamais affaire chez Beckett, écrivain rompu aux ambivalences de la condition de l'homme moderne, qu'à un « monologue habité » ou à un « dialogue déserté ». En d'autres termes, au plus extraverti et au plus peuplé des soliloques ». Dans quelle mesure

commune aux trois textes : celle du monologue. On ajoutera quelques remarques d'ensemble sur sa fonction au théâtre et on montrera comment les trois textes s'inscrivent dans ce fonctionnement général. Dans la seconde partie, il s'agira de montrer l'originalité de chaque texte. Pour cela, il est très important de situer le monologue dans l'action de la pièce pour comprendre le rôle précis qu'il joue. La photo de scène aidera à saisir l'étrangeté de la situation de Winnie. Enfin, il faut définir le

totalement inversé par rapport aux tragédies dans lesquelles les personnages sont au plus haut de l’échelle sociale. Dans Rhinocéros, Bérenger est un homme parmi d’autres. Les personnages sont donc banals, sans grande personnalité. Chez Beckett, Willie et Winnie ressemblent à deux clowns de« cirque » (cftexte annexe) et relèvent plutôt du comique de par leurs gestes et des nombreux éléments visuels (nombreuses didascalies) se rapportant au mime. On ne remarque aucune analyse psychologique et aucune profondeur

Oh les beaux jours Beckett Introduction I- RESUME DE LA PIECE II- PRESENTATION DES PERSONNAGES - Winnie - Willie III- PERSPECTIVES ANALYTIQUES - Une pièce truffée de références - La solitude - La mort du langage? Samuel Beckett Samuel Beckett Né en 1906 à Dublin Ecrit et publie dès 1929 des poèmes, nouvelles et romans S’installe à Paris en 1937 Il est l’auteur : De romans, notamment, « Molloy », « Watt », « Murphy », “Malone meurt”, “L’innommable” De pièces de théâtre, notamment