Monologue De Tartuffe

Bérénice, ainsi que l’amour impossible entre Titus est Bérénice, celui-ci refus Bérénice car il doit se consacré à son peuple dont il est le tout jeune souverain. Ce texte met en avant les sentiments de chacun ainsi que les leurs doutes, par des monologues, des dialogues, en réplique, tirades, ou par des stichomythies, ce qui fait toute la beauté du texte. De plus l’auteur, est libre de choisir la représentation qu’il souhaite, en donnant des indications au metteur en scène. Les didascalies

plus secondaire. Deux ans après sa première représentation, la pièce a été adaptée en opéra par Mozart et Lorenzo da Ponte sous le titre Le nozze di Figaro (Les Noces de Figaro). Une troisième pièce viendra clôturer la trilogie en 1792 : L'Autre Tartuffe ou la Mère coupable. Figaro, entré au service du comte Almaviva, doit être fiancé à Suzanne, première camériste de la comtesse. Mais le comte, qui commence à s’ennuyer avec sa femme, est à la recherche d’aventures galantes. Attiré par Suzanne, il

un rendez-vous pour le soir même et qu’il projette d’enlever la jeune fille. Ainsi renseigné, Arnolphe appelle son notaire pour la rédaction du contrat de mariage et se prépare à piéger son rival. La scène 1 de l’acte IV ne consiste qu'en un seul monologue d'Arnolphe où il exprime son vœu final de se battre jusqu'au bout pour l'amour d'Agnès. En effet, ce passage se situe après la déclaration d'amour d'Agnès envers Horace ce qui bouleverse profondément le pauvre Arnolphe, qui se rend compte par la

cette chance… Si « la saison a été bonne », c’est grâce au public. À l’inverse, certains spectacles sont interrompus prématurément à cause de la défection des spectateurs ou de leurs réactions de rejet. Des pièces se voient censurées, comme le Tartuffe de Molière, d’autres amputées des scènes qui choquent le public : on pense à la scène du Pauvre de Dom Juan qui a été retranchée de la pièce parce que jugée impie. II. Quand le spectateur est directement impliqué… Le spectateur dicte sa loi

s’est trouvée confrontée. Le dialogue du texte C repose sur l’incommunicabilité entre les deux personnages, et se développe sur un double registre à la fois tragique, car Antigone va mourir, et comique, car le lecteur a l’impression de lire deux monologues juxtaposés de niveaux de langue différents, soutenu et familier. En effet, à la calme annonce de sa mort « Je vais mourir tout à l’heure » ou suite à sa belle et émouvante exclamation tragique « O tombeau ! O lit nuptial ! O ma demeure souterraine

aspect inquiétant ? La scène extraite de La Leçon comporte un aspect inquiétant de part la folie du professeur. L’extrait débute d’ailleurs par le mot « mort » ce qui exprime déjà une certaine ambiance inquiétante. Le professeur déclame un quasi monologue où l’élève ne sert que de « repoussoir » ou plus exactement de faire-valoir. Il ne fait qu’essayer de mettre en avant sa pseudoscience et ne supporte pas le savoir de son élève. La jeune fille va peu à peu devenir la victime, la proie de ce professeur

aux gens de lettres ; Molière fait partie des bénéficiaires. Il écrit et publie son Remerciement au Roi. Sa gratification sera renouvelée tous les ans jusqu’à sa mort. L’interdiction du Tartuffe Tartuffe, frontispice de l’édition de 1669 par Brissard. Pour désamorcer la bombe qu’était le premier Tartuffe (1664), Molière transforme en 1667 son dévot hypocrite en un dangereux escroc qui simule la dévotion et adoucit certaines tirades. L’accent est mis sur l’hypocrisie du personnage plus que

d’être valet ? », « un grand fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal » (le Barbier de Séville I,2). Et la satire devient proprement politique lorsqu’il commence à s’attaquer aux institutions : à la justice (le Procès, III, 3), la censure (monologue de Figaro) et mœurs politiques telles que les faveurs, l’intrigue l’arbitraire. La découverte de soi, de son époque, des mœurs amènent aux qualités du théâtre, une dimension nouvelle qui est culturelle et intellectuelle. Le théâtre est

beaucoup plus secondaire. Deux ans après sa première représentation, la pièce a été adaptée en opéra par Mozart et Lorenzo da Ponte sous le titre Le nozze di Figaro (Les Noces de Figaro). Une troisième pièce viendra clore la trilogie en 1792 : L'Autre Tartuffe ou la Mère coupable. Sommaire 1 Les personnages 2 Acte I 3 Acte II 4 Acte III 5 Acte IV 6 Acte V 7 Citations célèbres Les personnages Le Comte Almaviva, il joue au jeune premier libertin. La Comtesse, épouse délaissée du Comte, Rosine

1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a créé des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Don Juan, Alceste. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Don Juan, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée en vigueur. Il a polarisé les passions. Ses ennemis l’ont contraint à s’orienter vers des sujets plus