Monologue Exprimer Sentiment

publique. Monologue: c’est une scène où un acteur est seul et parle pour lui-même à voix haute pour être entendu des spectateurs. Souvent le personnage s’adresse à sa conscience, fais des analyses de ses actions passés ou prémédite celles qu’il va accomplir. Le monologue a donc une dimension introspective (analytique) ou délibérative (prise d’une décision). Il donne une profondeur à l’intrigue et aux personnages. Pourtant la pièce est un peu contraire à la définition de « Monologue » car les monologues

tragique qu'il attribue à l'attente qui suit son appel.« ils me laisseront » : confirme qu'Argan divise la terre en deux : moi et les autres (sic).Les trois derniers « drelin » peuvent se dire d'une manière expirante ou énergique ; la fin de ce monologue résonne donc comme une impulsion vers le mouvement et le dialogue rapides de la scène suivante.Conclusion

« ma chère fille ».• Echange de propos, impression de discours oral, dialogue écrit. « Vous me demandez » qui renvoie à une lettre précédente. « Ah ! » interjection orale qui donne l’impression de parole, il donne de la vivacité au récit, il exprime les sentiments. 2. La mise en scène de l’affectivité La tonalité exprimée par le vocabulaire affectif donne l’impression que la personne qui s’exprime est touchée. En effet, elle devait partir voir sa fille mais elle est retardée, elle est donc dans l’impatience

vous car je tuerai Alexandre ». -Puis Lorenzo s’impose et Philippe (=représente Florence) n’a que des répliques rapides. -Philipe a des doutes, pris d’étonnement, d’admiration. -C’est donc presque un monologue. Lorenzo s’affirme, montre sa réflexion Avec : « je » omniprésent Monologue déguisé Il n’a pas besoin des autres (ce qui différent de Philippe) Il est solitaire de la conception à la réalisation Il y a différentes natures de projet Lorenzo seul => personnel Philippe a besoin

 Questions générales (3) 1. C’est évident qu’Arnolphe a beaucoup de sentiments négatifs envers les femmes. Dès le début de la pièce, il parle contre le genre féminin avec Chrysalde, en disant que les hommes sont maltraités chez eux et que leurs femmes profitent de l’argent et les salaires que leurs maris gagnent. Il généralise les femmes comme des trompeuses, disant qu’elles « [Font] fausse confidence à [leurs] époux fidèles » et sortent avec beaucoup d’autres hommes, ou des « damoiseaux » (Molière

Le monologue de Clindor, L’Illusion Comique INTRO : * Pierre Corneille est un des trois grands dramaturges du XVIIe siècle, avec racine et Molière. Il précède de plusieurs décennies les deux autres, ce qui explique sans doute la diversité de sa production : il a écrit des comédies à succès avant de s’exercer avec bonheur à la tragédie, et d’ouvrir la voie à Racine. Par ailleurs, il a eu une première période baroque (L’Illusion Comique) avant d’adhérer aux visées du classicisme naissant (Le Cid)

d’étude (durée : quatre semaines) Extraits à étudier (perspective : formes et fonctions du dialogue et du monologue) : • I, 1 : scène d’exposition (acte I tout entier comme prologue) • II, 2 : Matamore, capitaine fanfaron • II, 3 : Adraste, Isabelle • III, 1-2 : Géronte, Isabelle • III, 5-6 : Clindor, Lise • IV, 1 : monologue d’Isabelle • IV, 7 : monologue de Clindor, en prison (cf. contrôle de lecture) • V, 4 : Clindor, Rosine • V, 6 : éloge du théâtre

 Lecture analytique → La reine seul Le sujet à étudier est : le monologue intitulé « La reine seul » de Victor Hugo. V.Hugo est le chef de file du mouvement romantique au XIXè siècle. Il est question dans son oeuvre de Ruy Blas un vallet amoureux en secret de la reine d'Espagne. Cette même Reine a exilé un homme nommé Don Salluste qui pour se venger projette d'utiliser Ruy Blas. Dans ce monologue, scene II acte II, la reine lie une lettre d'amour ecrite par Ruy Blas mais qu'elle ignore. I- Le

Rodrigue vient d’apprendre l’offense faite à son père par le père de Chimène. Don Diègue conjure son fils de laver l’affront du soufflet et lui remet son épée.Rodrigue se retrouve seul : vengera-t-il son père en tuant le père de celle qu’il aime ? Le monologue de Rodrigue est composé de stances qui rompent avec l’alexandrin à rimes plates utilisé par ailleurs. Les stances dont l’origine remonte au XVIème siècle est une forme poétique lyrique. Elles obéissent à des contraintes : elles comportent une idée

roman écrit par l’écrivain britannique Virginia Woolf qui s’inscrit dans la lignée de Edouard Dujardin (Les lauriers sont coupés) et de James Joyce (Ulysse) car elle utilise le monologue intérieur pour son ouvrage qui est un des constantes du Nouveau Roman (Samuel Beckett ou Nathalie Sarraute en font partie), le monologue intérieur (ou discours immédiat) est un signe qui correspond aux diverses crises que traverses le roman au XX° siècle : crise de narrateur, crise du sujet, crise de l‘intrigue et