Monologue Femme

« Grâce à sa tante de Marcillac, le pauvre étudiant avait été bien reçu dans cette maison, sans connaître l'étandue de cette faveur » -> point de vue omniscient du narrateur -> accès aux pensées de R et des persos « ! » -> traduis les pensées de R = monologue Sujet postérieur au récit = passé -> connaissances de R et chemins à parcourir pr rejoindre ses paires « le pauvre étudiant avait été bien reçu » Pauvre = absence de fortune = sens moral -> plainte familière entre le narrateur et R -> R n’a pas

Madame Roland puis nous allons analyser sa face cachée. I. L'apparence de Madame Roland. Dans le début du roman, Madame Roland apparaît comme une femme mûre, calme et réfléchie, évitant les conflits et jouant à la perfection son rôle d'épouse, de maîtresse de maison ainsi que de mère. Dans le premier chapitre, Maupassant la décrit comme « Une femme de quarante-huit ans et qui ne les portait pas. » […] ( page 22 ) « Ses cheveux châtains commençaient seulement à blanchir. Elle avait un air calme

Dans la scène 1 de l’acte IV de L’École des femmes de Molière, comédie classique, Arnolphe se livre au public à travers un monologue qui laisse entrevoir son désarroi. En effet, ayant compris qu’Agnès qui lui semblait promise éprouve un penchant pour Horace, et découvrant son amour pour cette jeune fille, il fait part de son émoi à l’auditoire. En quoi, par conséquent, ce monologue révèle-t-il le personnage d’Arnolphe aux spectateurs? D’une part il dévoile les sentiments contradictoires qu’éprouve le

distinguant d’emblée les personnages antagonistes, ou opposants pour reprendre une terminologie théâtrale, des adjuvants. Une approche orientée « gender » semblait ici plus pertinente compte tenu de la place prépondérante occupée par la question de la femme et de la féminité dans le roman, même s’il faut garder à l’esprit la première distinction effectuée. Dans cette perspective, celle d’une héroïne centrale, l’autre le plus évident est naturellement à voir dans l’homme. Les personnages masculins sont

son résumé du Mariage de Figaro serait : « La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol (un héros picaresque ou picaro), amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune, sa prodigalité rendent tout-puissant pour l’accomplir. Voilà rien de plus. La pièce est sous vos yeux ». Il explique que l'intrigue n'est composée

qui lui est accordé (p.99-117) Cette visite de Rastignac à la vicomtesse voit son importance soulignée par le narrateur, « il allait donc voir pour la première fois les merveilles de cette élégance personnelle qui trahit l'âme et les mœurs d'une femme de distinction. » (p.99). Après avoir perdu l'espoir de séduire la comtesse Anastasie de Restaud, il va chez sa cousine pour qu'elle lui conseille le chemin à suivre dans sa quête, car Eugène veut y « parvenir ! » au sens de Vautrin (p.151). Tout

trouve dans «efficace», c’est-à-dire qui atteint son objectif, qui est adapté (à son public). « la question de l’homme » renvoie à la condition de l’être humain à travers la pièce de théâtre : la condition des femmes et l’émancipation, le rapport homme/femme, l’opposition des classes sociales (le peuple/la bourgeoisie, la bourgeoisie/l’aristocratie, le mariage (parent/enfant). «Dans quelle mesure» suggère de chercher pourquoi la pièce de théâtre La Colonie de Marivaux est efficace, donc d’analyser ses

sociales qui valorisent la place de la femme dans la société. De nombreux artistes, notamment écrivains ou écrivaines s'investissent dans ce combat pour la liberté de la femme, aujourd'hui encore. Ils transmettent leurs idées à travers des œuvres cinématographiques, musicales ou encore littéraires ainsi que nous allons le présenter. I- Les grandes idées féministes A-les grands féministes Olympe de Gouges (1748-1793) elle a écrit « déclaration des droits de la femme » était une des premières et a

change d’avis et elle veut aider la Comtesse et Suzanne. Dans le dernier acte la Comtesse se déguise en Suzanne pour tromper le Comte. Croyant que la Comtesse est Suzanne, le Comte exprime ses sentiments envers elle. Quand il apprend que c’est sa femme, il a honte et il ne sait pas quoi dire. Après tous les obstacles, Figaro et Suzanne se marient. 5 Les femmes et les effets comiques Il n’est pas rare qu’on trouve la ruse féminine dans le théâtre de Beaumarchais. Cette ruse appartient aux

Le Misanthrope : des dialogues présentant des points de vue contradictoires ; Le Malade Imaginaire : un monologue ; Le Médecin malgré lui : action et mouvement dès le début. Ici : un plateau chargé : la plupart des personnages sont présents. 1. La présentation des personnages Nous apprenons les noms et les liens de parenté des personnages, dans une scène très naturelle : une vieille femme, certaine de détenir la vérité, injurie une famille trop respectueuse de son âge, au sein de laquelle