Monologue Femme

exergue sa liberté sentimentale ? Dés le début de la scène de ménage, le publique prend le parti d'Angélique grâce à ses nombreux arguments face à Dandin, Celui-ci n'intervient que très peu dans cette extrait, Angélique se permet presque un monologue en créant comme un conclusion dans chacune de ses réfutations : «Je me moque de cela, et ne veux point mourir si jeune ; …et rendez grâces au Ciel de ce que je ne suis pas capable de quelque chose de pis », elle utilise aussi beaucoup de question

assimilation des F à 1 beauté passive. Elle se donne a voir tte entière tournée vers la séduction. Répétition de « Elle s’étaient faites belles » ( 2 fois) et «  tte ces toilettes multicolores » «  tte ses F… » ( On note le pluriel, la généralisation, pas 1 femme ni échappe. On note des énumérations : «  Ces étoffes joli… » (lire suite du passage) • Les hommes apparaissent sous les termes de «  amants » ; « inconnu », tandis que «  l’époux » lui est exclut. Ils apparaissent comme des chasseurs «  chassaient

idéologiques qui sous-tendent les discriminations sexistes. Son art est plus cool et cérébral et s’oppose à celui de Barbara à charge extrêmement critique. L’art de Judy Chicago serait plus essentialiste, convergeant vers l’essence de la femme tandis que celui de Barbara Kruger offre un champ plus vaste sur les discriminations du monde. Les productions artistiques de Barbara sont en effet plus subtiles et poussent le spectateur à réagir tandis que celles de Judy Chicago sont plus de l’ordre

Shakespeare = Corneille + Molière DRAME TRAGEDIE Scène d’exposition Description du décor dans les didascalies, ancre la pièce dans un contexte précis, la « couleur locale » Espace neutre Présentation de l’intrigue et des personnages principaux Monologue Renvoie au trouble intérieur du personnage Lyrisme Rhétorique classique Le corps Importance du corps, on peut le faire boire, manger, etc. Cf. Le grotesque Seules les passions spirituelles (de l’âme) sont admises et seul le langage les exprime

dans la tradition espagnole, il ne peut être considéré comme un domestique servile puisqu’il est le rival de son maître. Son amour pour Suzanne met donc en valeur son sens de la ruse, puisqu’il se voit contraint de l’utiliser pour pouvoir garder sa femme et déjouer ainsi les projets du comte qui veut en faire sa maîtresse. Il monte ainsi plusieurs plans ingénieux. De cette manière, il parvient à contraindre son maître à accepter officiellement son mariage avec Suzanne avec forces malices et logiques :

stagiaire à celui de ‘dame-pipi’. Cette œuvre pose le problème du regard que porte une héroïne belge, connaissant couramment la langue nipponne, sur la société japonaise de l’entreprise (notamment son rapport à la hiérarchie), et sur la condition de la femme dans ce pays (les dogmes de son éducation, le lien entre perfection et idée du suicide, la conception de l’amour et du mariage). Stupeurs et tremblements" est un roman autobiographique écrit par Amélie Nothom et publié en 1999. Le livre présente

lui plaît m'agrée.» (p.146). Dans l'ensemble, ces discours expriment la soumission qu'a Lancelot pour la reine. Il accepte de se ridiculiser et de risquer son honneur pour accomplir un acte courtois, celui de subjuguer sa puissance et sa force à la femme qu'il désire. Cette façon d'agir est représentative de la courtoisie, car le concept de l'amour y est très exigeant. Pour ce qui est des réactions des demoiselles, l'inversion, «Toutes sont d'accord sur une seule chose: chacune le voudrait avoir» (p

comme à Beaumarchais de réaliser une satire de la noblesse. Derrière ces moqueries, c'est aussi une condamnation de l'inégalité sociale alors en vigueur. Figaro n'est pas un serviteur ordinaire comme le montre d'ailleurs le très grand et célèbre monologue dans lequel il se fait le porte parole de son auteur. En effet, il relate son histoire personnelle et montre ainsi qu'à cette époque il est difficile de sortir de son milieu social même avec la meilleure volonté du monde : « Fils de je ne sais pas

mais au bas bout. Maître Bridaine outre que d’être ridicule, se fait passer pour un homme ne pensant qu’à manger et à boire, il se plaint de ne pouvoir manger que « des os et des pattes de poulets » ce qui renforce son côté puérile. Dans son monologue, Maître Bridaine use d’un langage grave. « Ô malheureux que je suis ! Un âne bâté ! » « Ô Sainte Eglise catholique ! » Il jure comme si sa relégation au bas bout été un affront, une condamnation, alors que ses plaintes n’ont pas lieux d’être

La petite révoltée Monologue dit pour la première fois au Cercle des Castagnettes le 2 avril 1880 par Mademoiselle Octavie d'Andor. Ah ! c'est trop fort ! je suis en rage! Me traiter de cette façon ! Vous figurez-vous qu'à mon âge, Maman me chasse du salon ! Oui, c'est le mot ! maman me chasse Sans crainte de m'humilier. Mais à la fin, cela m'agace, Et je suis lasse de plier ! Je suis une bonne nature, Je patiente, mais... tout doux ! Il ne faut pas que cela dure Ou je me fâche, voyez-vous