Monostique

Loreley, l'auteur souffre de sa rupture, « il » reprend l'amour perdu, l'anaphore « mon cœur me fait si mal » renforce bien la souffrance qu'éprouve l'auteur. 3. Le poème le plus court du recueil Alcools d'Apollinaire est le monostique Chantre, qui comporte un seul vers (monostique). De plus, le poème le plus grand appartenant à ce même recueil est La maison des morts, comportant 217 vers. 4. Poème de forme régulière : - Le poème Merlin et la vieille femme est un poème de forme régulière. En

RECHERCHE SUR LES STROPHES : Les types de strophe Nombre de vers | Nom de la strophe | Remarque | 1 vers | le °monostiche° ou "monostique" | très rare ; la page Wiki > Monostique est intéressante | 2 vers | le DISTIQUE | exemple : La Loreley (de Guillaume Apollinaire) Exemples : 13 poèmes ! | 3 vers | le TERCET | La plupart des tercets se trouvent dans des sonnets ; rares sont les poèmes dont les strophes ne sont que des tercets, c'est pourtant le cas de La fileuse (de Paul Valéry)

octosyllabe 10 syllabes = décasyllabe 7 syllabes = heptasyllabe 9 syllabes = ennéasyllabe 4. La strophe Le poème peut être soit - Continu : suite ininterrompue de vers de différentes longueurs, différentes rimes… - En strophes 1 vers =monostique 5 vers = quintil 9 vers = nonnain 2 vers = distique 6 vers = sizain 10 vers = dizain 3 vers = tercet 7 vers = septain 11 vers = onzain 4 vers = quatrain 8 vers = huitain 12 vers = douzain Les figures de style • La comparaison

complémentarité de deux êtres, que ce soit dans l’opposition « chair » et « conscience » comme dans l’antonymie, « de ma chair la conscience sensible » (v.17), qui associe le corps à l’esprit, la raison aux sentiments, le masculin au féminin. Le monostique met en valeur cette complémentarité entre le poète et sa muse : même morte, Nush continuera à rêver à ce monde idéal, à la fin des injustices grâce au poète qui reprend son combat. De plus, l’expression « ma chair » renvoie à la bien-aimée jouant

minuit », qui nous montre une hypothèse dans laquelle le poète se poserai cette question rhétorique au moment où il a écrit ce poème ou bien au moment de la rencontre avec la femme décrite dans le poème. Cela ajoute un aspect féerique au poème. Ce monostique créé un effet de rupture avec la seconde partie qui parlera des femmes ouvrières. Le poète nous fait comprendre à ce moment là un retour dans la réalité et les innovations du monde industrielle, qui n’est autre que l’entrée dans la belle époque

comme le coeur du poète II) L'OBSESSION DE LA MORT ET DE L'ANGOISSE mort des êtres, d'un paysage, de l'amour champ lexical de la chute, de la mort tremblements: pertes des repères habituels "tombe" --> éclatement du poète --> détachement du monostique III) ORIGINALITE FORMELLE DE CE POEME * Absence de poctuation: sentiment d'égarement nouvele liberté d'interprétation + favorise polysémie * Pronoms personnels: menace sur le "je" enfermé par malfaisantes: solitude + détresse * Temps

« e » se prononce lorsqu'il se trouve devant une consonne (« la nature donne) La strophe La strophe est un ensemble de vers. - Il existe : le sizain le quintil le quatrain le tercet le distique le monostique Les rimes Elles se définissent par le retour du même son à la fin de deux ou de plusieurs vers. - Il existe : les rimes plates (aabb) les rimes croisées (abab) les rimes embrassées (abba) Les procédés permettant d'étudier

massacrée. Paul Eluard va écrire ce poème pour dénoncer cette barbarie pendant la guerre en Espagne. L'analyse littéraire La forme du poème Ce poème écrit par Paul Eluard, présente quatorze strophes numérotées inégale où se mélange monostique, distique, tercet, quatrain et quintil, se qui donne au poème un rythme saccadé traduisant l'indignation du poète. La situation d'énonciation Paul Eluard parle aux habitants de la ville de Guernica bombardé par les Allemands en 1937.

PHILOSOPHIE : Leçons 1 LE LANGAGE Linguistique : signifiant/signifié – F.de Saussure ( fin XIXe ) Intuitif / discursif Bergson : mots (monostique ) singularisent la pensée = universalisation des sentiments ( mille nuances fugitives (polystique) Wittgenstein : il y a de l’inexprimable qu’il faut taire Hegel : c’est dans les mots que nous pensons + ineffable =manque de vocabulaire Descartes : les bêtes ne pensent pas parce qu’elles ne parlent pas Saussure² : il n’y a pas d’idées préétablies

les rimes embrassées Un rime peut-être annexée, avec la dernière syllabe de la rime reprise au vers suivant mais aussi abatelée, avec la dernière syllabe du vers rimant à la césure du vers suivant... > Noms basés sur le nombre de strophes : Monostique (1 vers) Quatrain (4 vers) Quintil (5 vers) Sizain (6 vers) Septain (7 vers) Huitain (8 vers) Neuvain (9 vers) Dizain (10 vers) Onzain (11 vers) Douzain (12 vers) Treizain (13 vers) Autres formes : l existe, de façon plus rare, le quatorzain