Monostique

personne du pluriel, il s’inclut en disant « nous » dans la dernière strophe (« nos ennemis », strophe 14, « Nous en aurons raison », dernier vers). 2. Pourquoi peut-on rapprocher la quatrième strophe du tableau de Picasso ? La 4ème strophe est un monostique : « La mort cœur renversé ». C’est une image, une métaphore qui évoque la mort violente sous les bombardements. On peut la rapprocher du tableau de Picasso, car le peintre a représenté un grand désordre symbolique, un chaos où tout est sans dessus

incitation permanente à l'émotion esthétique : la langue a pour objet principal de retranscrire les émotions, sans les déformer. Chaque mot doit se trouver à sa juste place. Ce qui est le cas pour de nombreux vers douloureux réunis dans ce recueil. Ce monostique tourne le dos au vers obèse, mais aussi au vers classique de la poésie héroïque. Il joue les scolopendres avec son titre. Comment trouver une forme pour l'informe ? Féru d'art nouveau et d'architecture, admirateur de la modernité (il suffira de

incitation permanente à l'émotion esthétique : la langue a pour objet principal de retranscrire les émotions, sans les déformer. Chaque mot  doit se trouver à sa juste place. Ce qui est le cas pour de nombreux vers douloureux réunis dans ce recueil.  Ce monostique tourne le dos au vers obèse, mais aussi au vers classique de la poésie héroïque. Il joue les scolopendres avec son titre. Comment trouver une forme pour l'informe ? Féru d'art nouveau et d'architecture, admirateur de la modernité (il suffira de

murailles Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent J'aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thieville et l'avenue des Ternes Ce poème est un poème en prose composé de six strophes. Allant du monostique au dizain. Il n’y a, de plus, pas de rime. On peut relever comme figures style, une métaphore au vers 2 : « Troupeau de ponts qui bêle ». Cela peut signifier que la parabole du pont symbolise le dos ou le ventre des moutons. On relève également

aventureuse, qui constitue le fil du poème, forme un ensemble disparate comme un habit d'arlequin. Et le poème est, d'ailleurs, une arlequinade, avec tout ce que ce mot peut évoquer à la fois de bouffonnerie et de mélancolie. Il est composé d'îlots (monostiques, distiques, tercets, quatrains, séquences de longueurs diverses allant jusqu’à vingt-neuf vers), entre lesquels le lecteur court le risque d'un naufrage. S’il se déroule sur vingt-quatre heures, si le locuteur marche toute la journée et toute la

dambulation aventureuse, qui constitue le fil du pome, forme un ensemble disparate comme un habit darlequin. Et le pome est, dailleurs, une arlequinade, avec tout ce que ce mot peut voquer la fois de bouffonnerie et de mlancolie. Il est compos dlots (monostiques, distiques, tercets, quatrains, squences de longueurs diverses allant jusqu vingt-neuf vers), entre lesquels le lecteur court le risque dun naufrage. Sil se droule sur vingt-quatre heures, si le locuteur marche toute la journe et toute la nuit

aventureuse, qui constitue le fil du poème, forme un ensemble disparate comme un habit d'arlequin. Et le poème est, d'ailleurs, une arlequinade, avec tout ce que ce mot peut évoquer à la fois de bouffonnerie et de mélancolie. Il est composé d'îlots (monostiques, distiques, tercets, quatrains, séquences de longueurs diverses allant jusqu’à vingt-neuf vers), entre lesquels le lecteur court le risque d'un naufrage. S’il se déroule sur vingt-quatre heures, si le locuteur marche toute la journée et toute la

oiseaux plus particulièrement), les arbres et les fleurs, et les activités humaines. Traditionnellement, le haïku est un monostique, ce qui exclut ainsi toute possibilité de rime. Jaccottet précise les deux grandes pertes essentielles dues à la traduction : la perte du jeu sonore, et la perte de la structure souple et dense de l'original. Même s'ils ne sont pas des monostiques, les courts poèmes de Airs s'apparentent sur plusieurs points au haïku. Tout d'abord, trois des cinq sections du recueil

Monologue dans les tragédies 2° Chant exécuté par une seule voix. Monomachie : (mo-no-ma-chie), n. f. Terme d'ancienne jurisprudence. Combat d'homme à homme ; preuve judiciaire par le duel. Monostique : (mo-no-sti-k'), adj. 1° Qui n'a qu'un seul vers. Les sentences monostiques de Ménandre. N. m. Un monostique, épigramme, inscription d'un seul vers. Monoxyle : (mo-no-ksi-l'), adj. Se dit de certaines barques faites d'une seule pièce de bois. Canot monoxyle. N. m. Un monoxyle. Mons : (mons'), n