Monoxyde d'azote

conséquences désastreuses. 1. LES POLLUANTS de l’AIR Les principaux polluants que l’on va retrouver dans l’air et qui vont avoir un impact négatif sur notre environnement et notre santé sont : les oxydes d’azotes le dioxyde de soufre les fines particules (fumées) le monoxyde d’azote les composés volatils organiques (principalement des hydrocarbures), l’ozone, le plomb. [pic] 2. Leurs SOURCES Les émissions peuvent être d’origine naturelle ou générées par l’homme. Ce sont

qu’aux transports. Elles sont aussi émises par l’agriculture (épandage, travail au sol, remise en suspension, etc.). Les particules dites secondaires peuvent également résulter de la combinaison de plusieurs polluants tels que l’ammoniac et les oxydes d’azote qui génèrent des particules de nitrate d’ammonium. Elles sont classées en fonction de leur taille : PM10 : particules de diamètre inférieur à 10 µm (elles sont retenues au niveau du nez et des voies aériennes supérieures) ; PM 2,5 : particules de

les champignons qui vivent dans le sol ou dans l’eau du sol et qui parviennent à transformer le diazote en dérivés assimilables par les végétaux et les animaux. Par ailleurs, certaines formes d’azote sont plus néfastes que d’autres pour l’environnement, comme l’ammoniac (NH3) ou encore le protoxyde d’azote (N2O). Il existe également un risque d’eutrophisation lorsque la quantité excessive de substances nutritives entraine l’appauvrissement en oxygène dans le sol, empêchant alors les microorganismes

écosystèmes et certains matériaux utilisés dans les bâtiments. 2/a)Explication : Les pluies acides résultent de la pollution de l’air par les oxydes de soufre (SO2) produits par l’usage de combustibles fossiles riches en soufre, ainsi que des oxydes d’azote (NOx) qui se forment lors de toute combustion de l’atmosphère. D’autre produits, tel que le dioxyde de carbone (CO2) et les acides fluorhydriques, agissent — mais beaucoup moins — sur la formation des pluies acides. Ces gaz sont essentiellement issus

support: metropole.rennes.fr  Dans l'agglomération rennaise la principale source de polution est le trafic routier, soit les  déplacements, qui est responsable de 40% de la pollution par particules en suspension, de 70%  des émissions d’oxydes d’azote, de 60% de monoxyde de carbone. (sources Air Breizh).   De plus, la capitale bretonne est en forte croissance démographique donc la croissance  du trafic routier est à prévoir et par conséquent la hausse de la pollution aussi. Pour limiter cette  pol

support: metropole.rennes.fr  Dans l'agglomération rennaise la principale source de polution est le trafic routier, soit les  déplacements, qui est responsable de 40% de la pollution par particules en suspension, de 70%  des émissions d’oxydes d’azote, de 60% de monoxyde de carbone. (sources Air Breizh).   De plus, la capitale bretonne est en forte croissance démographique donc la croissance  du trafic routier est à prévoir et par conséquent la hausse de la pollution aussi. Pour limiter cette  pol

à cause de substances polluantes qui se retrouvent dans l'atmosphère. Des pics de pollution atmosphérique ont souvent lieu en été. Les principaux polluants atmosphériques sont les particules fines, le dioxyde de soufre (SO2), l'ozone, les oxydes d'azote (NO et NO2), les composés organiques volatils (COV), etc. La pollution atmosphérique est essentiellement le fait du transport (véhicules légers ou poids lourds) et des installations de combustion (notamment la combustion de biomasse). Les dioxines

(méthane) et le dioxygène fournit de l’eau et du dioxyde de carbone, la combustion est complète. Sinon, la combustion est incomplète, il se forme toujours de l’eau mais aussi du carbone, du dioxyde de carbone en proportions variables. Remarque : du monoxyde de carbone (gaz très toxique) peut se former également au cours d’une combustion incomplète. Combustion complète : Méthane + dioxygène eau + dioxyde de carbone Combustion incomplète : Méthane + dioxygène

composé essentiellement d’azote (78%), d’oxygène (21%), de gaz rares (Argon, Néon, Hélium...) et dans les basses couches, de la vapeur d'eau et du dioxyde de carbone. De nombreux gaz polluants et particules s'ajoutent à ces composés. B/ La qualité de l’air Dans la basse atmosphère, la qualité de l’air est remise en cause par la « pollution » causée généralement par l’homme et ses industries. La pollution est souvent due à des gaz, généralement invisibles, comme le monoxyde de carbone (CO),

méthodes qui nécessitent de pomper l'eau hors de la terre pour le traitement. Au niveau de l'air, une des applications de la nanotechnologie la plus rependu dans ce domaine est le pot catalytique. Grâce à celui-ci,tous les polluants (monoxyde de carbone, oxyde d'azote) peuvent être éliminés. Ensuite, la nanotechnologie permettra une grande avancée dans le domaine médical avec l'élaboration de nombreux médicaments permettant de vaincre certaines maladies, dans le domaine militaire avec l'amélioration