Monsieur De Ronsard

voleurs. B OUTONS Au visage ou ailleurs, signe de santé et de force du sang. Ne point les faire passer. B RACONNIERS Tous forçats libérés. Auteurs de tous les crimes commis dans les campagnes. Doivent exciter une colère frénétique : « Pas de pitié, monsieur, pas de pitié! » B RAS Pour gouverner la France, il faut un bras de fer. B RETONS Tous braves gens, mais entêtés. B ROCHE Doit toujours encadrer une mèche de cheveux ou une photographie. B RUNES Plus chaudes que les blondes (v. blondes, p. 10)

presse salue cette traduction. On est en pleine vogue de germanophilie et Nerval est salué par ses pères : Hugo, Nodier etc... Nerval commence par s'accaparer l'univers des poètes du XVIe : publie en 1830 un choix de poésies de Ronsard et poètes du XVIe siècle. Ronsard et Du Bellay sont un peu oublié donc il exhume une littérature oubliée, montrant à quel point elle est moderne, forte. Donc une catégorie d'auteur qui recherchent dans les auteurs du passé un personnalité littéraire. Il s'engage

juin). 1853 Travaille à la deuxième partie de la Bovary, tout en pensant à l’après : des préfaces à Ronsard (une Histoire du sentiment poétique en France), à Bouilhet, au Dictionnaire. Abandonne définitivement la tentation autobiographique : il n’écrira pas ses Mémoires. Il envoie une belle lettre hugolienne à Victor Hugo, dont il est, avec Louise Colet, la « boîte aux lettres » clandestine : « Monsieur, vous avez été dans ma vie une obsession charmante, un long amour » (15 juillet). Flaubert devient

thème de génie créatif au domaine de la littérature et plus particulièrement a la poésie. En effet, la poésie a été considéré jusqu’au XX siècle comme la noblesse de la création littéraire. Depuis Homer jusque à Rimbaud en passant par Virgile, Ronsard, Du Bellay… Les poètes sont au sommet de la création littéraire. La société considère les poètes comme une élite. Hugo s’écrie : « Je serai Chateaubriand ou rien ! » La thèse va défendre que si la femme n’est pas poète, c’est que son potentielle

PETANQUE COCHONNET NEUVYSSOIS LA PETANQUE MOULINOISE AS NEUILLY LE REAL PET C P NEUILLY EN DONJON FANNY PARAYSIENNE LE DONJON PETANQUE PETANQUE MENULPHIENNE PETANQUE THIELOISE CHERION Michel Mr GUILLAUMIN François Stéphane DUBUISSON BEAUDONNET Stéphane Monsieur Emile PARRET Jacky COGNET Sylvain REMAUD Mr NOWAK Jean Pierre Yvette BERNA Christian CLUZEL Pascal CONFESSON Maryline SANVOISIN Alice KERVERN Sylviane GUILLEMOT Mme GERMAIN Catherine Pascal JAUNET François COGNET Claude LAJARGE Claude FOURNIER Patrick

une selon toutes les lois qu’il avoit impérieusement données pour le théâtre1. Elle ne réussit point ; et comme il se vantoit partout d’être le seul de nos auteurs qui eût bien suivi les préceptes d’Aristote : Je sais bon gré à M. d’Aubignac, dit Monsieur le Prince, d’avoir si bien suivi les règles d’Aristote ; mais je ne pardonne point aux règles d’Aristote d’avoir fait faire une si méchante tragédie à M. d’Aubignac. Il faut convenir que la Poétique d’Aristote est un excellent ouvrage : cependant

tardifs : consolides le début et la fin du recueil ( ça, Rondels pour après)La tonalité du recueil = poésie ironique, grinçante, corrosive, railleuse. Le titre déconcerte sibling // Les Amours de Ronsard. Le jaune peut être le jaune du fané. Ou jaune de la Blondeur de sa muse Erminie. Troisième sens est celui de la maladie, du teint bilieux, du pavillon jaune des bateaux quand ils étaient mis en quarantaine. Ce serait la couleur de l’exclusion //

-------------------------------------------------------------------------- ‘’Mon rêve familier’’ --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ‘’Monsieur Prud’homme’’ « Son faux-col engloutit son oreille… » Commentaire Joseph Prud’homme était un personnage créé par Henri Monnier (et interprété par lui au théâtre), caricature du bourgeois français, désireux de suivre l’évolution

Débrouiller l’art confus de nos vieux romanciers. 119 MAROT, bientôt après, fit fleurir les ballades, 120 Tourna des triolets, rima des mascarades, 121 À des refrains réglés asservit les rondeaux 122 Et montra pour rimer des chemins tout nouveaux. 123 RONSARD, qui le suivit, par une autre méthode, 124 Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, 125 Et toutefois longtemps eut un heureux destin. 126 Mais sa Muse, en français parlant grec et latin, 127 Vit, dans l’âge suivant, par un retour grotesque

Châtiments, Hugo insiste sur le pathétique par différents procédés, avec le langage de la grand-mère : récit d’une mort injuste, discours de la grand-mère, discours de disculpation, puis discours vengeur du poète avec désignation du coupable : « Monsieur Napoléon, c’est son nom authentique ». Les mains sales offrent un drame policier relevant de la « pièce bien fait » avec une structure enchâssée, des personnages nettement caractérisés : Höderer, le pragmatique non cynique, Louis, le pragmatique