Montaigne Argumentation Convaincre Persuader

Séquence n°1 : argumentation ( fable, conte philosophique, essai ) Apologue : court récit qui donne une leçon fiche p 407 408 Lecture analytique : 409 1) Corbière, « le poète et la cigale » p 373-374 2) Anouilh, « La cigale » p 374-375 3) Voltaire, «  le philosophe ignorant » p 378 4) Diderot, « Salons » p 379-380 5) Rousseau, Essai sur l’origine des langues

du corpus, la littérature engagée est utilisée pour dénoncer l’inégalité sociale, l’indifférence face aux difficultés rencontrées par les autres ou l’individualisme et le pouvoir. Comment la forme littéraire est-elle la plus efficace pour convaincre, persuader ou démontrer et quelles sont ses limites ? Nous commencerons par étudier les procédés littéraires utilisés, pour ensuite parler des stratégies argumentatives, puis nous finirons par les limites de la littérature sur la question argumentative

d’argumentation. Et enfin nous verrons que l’apologue est autant efficace que les autres textes argumentatifs. Les différentes formes d’apologue ont en commun de savoir capter leur auditoire. L’apologue est basé sur un récit imagé, plutôt sur une argumentation pure. L’auteur nous raconte une histoire pour prouver ce qu’il avance avec un schéma narratif précis. Par exemple dans la parabole du fils prodigue, qui raconte l’histoire d’un père qui avait deux fils, situation initiale, qui en laisse partir

GENRES ARGUMENTAIRES DU XVIEME SIECLE À NOS JOURS Au travers des siècles, l’Homme a évolué. De simple individu, le développement d’un être au milieu d’un groupe s’est fait plus présent. Une évolution qui s’est vite confirmée dans une argumentation tout aussi évolutive au fil du temps. Réquisitoire, plaidoyer, dialogue, apologue, essai, autant de genres que nous ne pouvons ignorer et qui illustrent les progrès d’une Humanité et de nombreux styles littéraires. I. LA QUESTION DE L’HOMME

Introduction : Michel Eyquem, seigneur de Montaigne (1533- 1592), est né dans une famille de riches négociants à Saint-Michel-de-Montaigne, en Dordogne. Il appartient à la deuxième moitié du courant humaniste, c'est-à-dire qu’il prend l'homme, et en particulier lui-même, comme objet d'étude dans son principal travail, affirmant, et en cela critiquant un peu Rabelais et sa soif de connaissance, qu’il préférait une tête bien faite à une tête bien pleine. Il entreprend les Essais, son œuvre majeure

+1ere phrase : lectures variées : Montaigne, humaniste ; Plutarque, antiquité ; saint paul ; Molière qu’elle connait par cœur +juxtaposition éloquente: cultivée mais intelligente (critique) + sais parler de politique, n’a pas froid aux yeux : « gouverner un état » Réquisitoire habile contre la condition féminine du XVIII La Maréchale apparaît comme une sorte de porte-parole de Voltaire, par son argumentation bien construite elle tente de nous convaincre a) De l’expérience individuelle à

sombrer dans l'illusion. Pascal nous présente l’imagination comme une « puissance trompeuse » contre laquelle on ne peut pas lutter, puis nous montre qu’elle dirige le monde et fonde l’ordre social en ayant recours lui-même, dans son argumentation à l’imagination pour persuader son lecteur. I – L’imagination est une puissance trompeuse contre laquelle on ne peut pas lutter ↘ Entrave à la raison : Accumulation et gradation « Elle fait croire, douter, nier ». L’homme peut oublier que l’imagination

plus concret, plus particulier, voire même anecdotique. Cependant, un exemple particulièrement frappant peut prendre valeur d'argument. Convaincre et persuader Un locuteur cherchant à faire adhérer un lecteur à la thèse qu'il développe peut emprunter deux directions : soit il s'adresse à la raison de son destinataire, auquel cas il tente de le convaincre ; soit il essaie de toucher les sentiments du récepteur, auquel cas il passe par la persuasion. En pratique, les textes mêlent le plus souvent

est plus concret, plus particulier, voire même anecdotique. Cependant, un exemple particulièrement frappant peut prendre valeur d'argument. Convaincre et persuader Un locuteur cherchant à faire adhérer un lecteur à la thèse qu'il développe peut emprunter deux directions : soit il s'adresse à la raison de son destinataire, auquel cas il tente de le convaincre ; soit il essaie de toucher les sentiments du récepteur, auquel cas il passe par la persuasion. En pratique, les textes mêlent le plus souvent

possède différentes manières pour argumenter. De quelle façon l'auteur peut il procéder pour faire adhérer au mieux le lecteur lorsqu'il traite de sujets abstraits ou en lien avec la morale? L'utilisation d'une littérature pour persuader ou d'une littérature pour convaincre avec différents genres propres à chacune et leurs avantages peuvent être judicieux. Cependant il faut tenir compte de certaines conditions et limites qui permettent de savoir dans quels cas les utiliser. Dans « Le pouvoir des