Montaigne Essais Chapitre 5

L’enthousiasme ne faiblit pas lorsque Bougainville publia, en mai 1771, son Voyage autour du monde (Paris, Saillant & Nyon), où le navigateur s’attache pourtant à nuancer les évocations voluptueuses de la « Nouvelle-Cythère » et suggère, dans un des deux chapitres qu’il consacre à Tahiti, que —sous la façade de la liberté des mœurs—se cacherait un pouvoir masculin particulièrement oppresseur. Vaines précisions : le public ne vit dans le Voyage que ce qui correspondait à son impression initiale et confortait

personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses imperfections ; il confronte les civilisations et réfléchit sur la notion de barbarie… Autres ex : Les Pensées

éléments du spleen en tant qu’inspiration, et se termine sur une pointe galante en forme de déclaration, le dernier mot en italique, lunatiques, confirmant la pathologie de l’état amoureux et / ou poétique et conférant tout son sens ironique au titre. 5 Première strophe. Caractère abrupt de la caractérisation (relative) et du schéma de communication (le « tu » seulement identifié au féminin) ; passé simple (temps du récit historique et du conte) ; personnification de la lune (majuscule), l’astre

personnelle à travers laquelle l’auteur livre une réflexion, voire ses impressions. Les sujets traités sont essentiellement d’ordre philosophique, moral, politique, artistique et parfois religieux. On considère que c’est Montaigne (1533-1592) qui crée le genre en intitulant son œuvre Essais. Dans cette œuvre répartie en trois livres, il analyse notamment les faiblesses de la nature humaine et ses imperfections ; il confronte les civilisations et réfléchit sur la notion de barbarie… Autres ex : Les Pensées

culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 1. Le malaise dans la culture (Freud) 2. Répression et révolution (Marcuse) III. Culture particulière et culture universelle A. Le relativisme culturel 1. Le relativisme de Montaigne 2. La critique de Lévi-Strauss B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 1. L’idée de progrès et de supériorité 2. La valeur de la pensée (Finkielkraut) Conclusion Annexe Résumé La définition

objectifs, les questions III Les tâches écrites Occurrences : Rousseau 5 Nathalie Sarraute 5 Chateaubriand 3 Jules Vallès 3 Albert Cohen 3

................................................................. 11 13 16 17 21 S’entraîner sur les sujets SÉRIES ES - S - L Épreuves de 2015 Séries ES, S, L – Pondichéry – Avril 2015 ................... 27 Jean Racine, Phèdre, Acte II, scène 5 (extrait), 1677 ................................. Victor Hugo, Ruy Blas, Acte I, scène 3 (extrait), 1838 ............................... Nathalie Sarraute, Pour un oui ou pour un non (extrait), 1982 ..................... 28 30 32 Corrigés Question

4/5 c) Contexte Historique, Littéraire et Religieux, 6 Note sur l’œuvre Gargantua et sur l’affaire des Placards 7 2) Résumé du Gargantua : Résumé chapitres 1 à 6 8 Chapitres 7 à 15 9 Chapitres 16 à 21 10 Chapitres 22 à 27 11 Chapitres 28 à 35 12 Chapitres 36 à 42 13 Chapitres 43 à 49 14 Chapitres 50 à 56 15 Chapitres 57 et 58 / Lexique

consiste à donner dans un premier temps raison à la thèse adverse pour mieux remettre en question ensuite les arguments qu’elle emploie. Le raisonnement par l’absurde : il permet de confronter deux éléments qui n’ont rien en commun. Dans le même chapitre de Candide, Pangloss est accusé d’avoir parlé, il est pendu ; Candide est accusé d’avoir écouté avec un « air d’approbation », il est fessé. Le raisonnement de mauvaise foi (= Sophisme) : un type de raisonnement volontairement faux ou trompeur,

intitulé « l’autofiction et la tentation romanesque dans le livre brisé de Serges Doubrovsky » nous inscrit dans le canevas de l’écriture du « moi ». Depuis les Confessions(400) de saint Augustin, les Essais (1580) de Montaigne jusqu’à les Mots (1964) de Jean Paul Sartre en passant par Rousseau avec ses Confessions(1782), l’écriture du « moi » est connue sous la notion d’autobiographie. Ce genre est basé sur un contrat de sincérité et à une volonté de dire la