Montaigne éducation Liberté

la vie * Sens de la dignité de l'homme MONTAIGNE Montaigne appartient au mouvement humaniste d'abord par son époque, puisqu'il est du 16ème siècle, période d'expansion de ce mouvement artistique et littéraire. Mais c'est un humaniste surtout parce que, dans son oeuvre, il met l'Homme en position centrale. Il suit la devise de l'écrivain latin Terence:" Je suis homme et rien de ce qui est humain ne m'est étranger". Montaigne, dans Les Essais, parle de lui, certes, mais, ce faisant

Devinière, près de Chinon (Indre- et -Loire). Son père était un avocat et sénéchal de Lerné, mais on ne sait rien de son enfance ni de sa jeunesse. Le jeune François commence ses études à l’abbaye des bénédictins de Seuilly après avoir reçu une éducation monastique. -1510 : il devient novice au couvent de la Baumette, près d'Angers, puis

XVIème siècleAnalyse de l’image - Mettre en rapport un texte et une image - Analyser les représentations du savant humanisteORAL - Proposer un compte-rendu oral d’un travail de groupeLectures analytiques  : - Montaigne, Essais , « Des cannibales », chap. 31 - Thomas More, L’Utopie , 1516, manuel p. 206-207 - Agrippa D’Aubigné, Les Tragiques - Rabelais

géant bienveillant. Parodiant les romans héroïques, Alcofribas commence l'histoire de Pantagruel à sa naissance, donnant même sa généalogie qui est imitée de celle du Christ au début de l'Evangile selon Saint Matthieu, puis conte son enfance , son éducation à Paris où son père l'envoie profiter de l'éducation humaniste (Chapitre VIII),   sa rencontre avec Panurge (Chapitre IX), ses exploits intellectuels (Chapitre X) et ses faits d'armes contre les Dipsodes, qui ont envahi son pays natal ( le pays d'Utopie

Pantagruel La naissance de Pantagruel -VOLTAIRE Candide ch 3 « La guerre des Bulgares et des Abares » -KUNDERA «L’invention de l’humour » dans Les testaments trahis. 3)Corpus  tiré du manuel : ambitions et limites de l’humanisme. Extraits de MONTAIGNE «De l’expérience » (p448), D’AUBIGNE Les Tragiques (p458-459), ERASME Traité de civilité puérile (p468), MACHIAVEL Le Prince (p470-471) et Antonello DA MESSINE « Saint Jérôme dans son cabinet de travail » (p440). 4)Lecture de l’image : BOTTICELLI

BIOGRAPHIES Montaigne : Montaigne est né en 1533, de son vrai nom Michel Eyquem. Il est issu d’une famille aisé, il reçoit une bonne éducation. Il va au collège en Gyene. A 13 ans, il commence les études de droit où il est très doué. En 1557, il rencontre Etienne de la Boétie et deviennent très proche, il découvre la littérature et le mouvement humaniste. La Boétie meurt en 1563.Après la mort de son père, il commence ses Essais, composés de trois livres, il analyse la condition humaient de soi-même

« Discours de la méthode » Montaigne : « Les Essais »  § Solitude 1) La liberté en tant qu’indépendance Il est peut être plus facile de définir tout d’abord la liberté de façon négative. Autrement dit, je suis ou serais libre dans la mesure où je suis en retrait, à distance de mon éducation, de mes connaissances, de mes origines sociales, de ma religion. Je suis aussi libre par conséquent si je peux me détacher de moi-même, de mes addictions, de mes passions. La liberté pourrait donc être comprise

objective et ordonnée des documents suivants : • Document 1 : Gérard Vincent, Le Peuple lycéen, Gallimard,1974. • Document 2 : François de singly, «L'invention privée de nouvelles façons de "vivre ensemble" », Le Monde (20 août 1998) • Document 3 : MONTAIGNE, Essais, Livre premier, chap. XXVIII, 1580-1595 • Document 4 : Saturne dévorant un de ses enfants, tableau de Francisco Goya (1746-1828), peint entre 1819 et 1823 Deuxième partie : écriture personnelle Vous répondrez d’une façon argumentée et

Liberté et éducation Si chacun reconnaît le rôle libérateur de la vraie connaissance, les avis divergent sur la capacité de l’école à pourvoir les élèves de savoirs réellement émancipateurs. Certains estiment que l’école publique est un lieu de culture où la démocratie trouve ses fondations et où chaque élève peut trouver son épanouissement intellectuel. D’autres, au contraire, reprochent à l’école d’asservir les élèves qui lui sont confiés, de les conditionner, voire

les fondements de l’éducation ainsi l’homme, par nature, est bon et la société le rend méchant, quelle éducation donner aux enfants pour éviter cela ? Dès le XVIIIème siècle mais déjà avec MONTAIGNE, la vision qu’on avait de l’enfant évolue : l’enfant est dès lors considéré comme telle avec sa spécificité propre et complexe, de là, ROUSSEAU bâtit un idéal de pédagogie et par cela une éducation idéale. Pas si idéal disons-nous car aujourd’hui au XXIème siècle, ses principes sont toujours des références