Montbrison

deuxième moitié du XVIIIe siècle, d’après la carte Cassini Au croisement des routes royales et des chemins, du Furan et de sa vallée, Saint-Étienne se présente comme une ville carrefour : entre la direction de Lyon au Puy, à Saint-Rambert et à Montbrison ; et celle d’Annonay à Saint-Priest, à la Fouillouse et à Roanne. Mise en place d’une nouvelle ville (1792-1819) 1. La ville dans son site vers 1805 Les cadastres napoléoniens d’Outre Furan (1806) et de Valbenoîte (1813) mettent en évidence

Notes d'onomastique forézienne. Montbrison. Bull. de la Diana XXIV (19311934, paru en 1935), 73-85. 4270. J.-E. DUFOUR, Notes d'onomastique forézienne. Industries locales. Bull. de la Diana XXV (1935-1936, paru en 1937), 257-280. 4271. J.-E. DUFOUR, La rivière d'Ojon autrement la Mare. Romania LVIII (1932), 78-83. Archives nationales - 236 - 4272. J.-E. DUFOUR, La toponomastique. Recueil de Mém. et Doc. sur le Forez XVI : Manuel des Etudes foréziennes (Montbrison, 1947), 73-84. 4273. J.-E. DUFOUR

avec l’armée. Exécution de 2 000 personnes. Trois jours plus tard, la Convention fait un décret, celui du 12 octobre 1793 : « Lyon fit la guerre à la liberté, Lyon n’est plus ». Lyon devait être rasée, elle s’appelle à présent Commune Affranchie (Montbrison devient Montbrisé). A partir de 1793, Lyon a manifesté son désir d’être une ville de la centralité politique. Le mot fédéralisme est interdit en France ; BONAPARTE va sortir Lyon de cette mauvaise posture. - L’Europe (développé plus tard)

1973. IV. 366 ; de champignons, TGI Saint-Gaudens, 12 mars 1981, D. 1983.535, note G. Roujou de Boubée, Gaz. Pal. 1983.1, 127, note E. Alauze, décision rendue sous l'empire de l'art. 388, al. 3, ancien du code pénal ; adde pour des airelles, TGI Montbrison, 3 févr. 1972, JCP 1972. IV. 123). Une chose apparemment res nullius ne l'est donc pas nécessairement ; il en va de même à propos de res derelictae. Lire la mise à jour 66. Le fait de récolter des truffes dans une truffière cultivée, sans l'accord

TALAUDIERE ST ETIENNE ST ETIENNE BOURG ARGENTAL ST ETIENNE ST ETIENNE L HORME SORBIERS FIRMINY ROCHE LA MOLIERE FIRMINY ROCHE LA MOLIERE ROCHE LA MOLIERE ST ETIENNE ST ETIENNE LE CHAMBON FEUGEROLLES FIRMINY BOEN ST JUST ST RAMBERT SURY LE COMTAL NERVIEUX MONTBRISON CHAZELLES SUR LYON ANDREZIEUX BOUTHEON STE AGATHE LA BOUTERESSE ST GALMIER ST ROMAIN LE PUY FEURS PANISSIERES PONCINS ST BONNET LE CHATEAU NOIRETABLE USSON EN FOREZ 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 042 043 043 043

A"tholog;, de la poil;, priâetls'J p. III 201. FIGURES 1 dont la précision et le naturel tranchent sur les conventions de l'arcadisme traditionnel : « Montverdun est un grand rocher qui s'élève en pointe de diamant au milieu de la plaine, du côté de Montbrison, entre la rivière de Lignon et la montagne d'Isoure; que s'il était un peu plus à main droite du côté de Laigneu, les trois pointes de Marcilly, d'Isoure et de Montverdun feraient un triangle parfait. » Pourtant, le Forez astréen n'est pas essentiellement

drame n’était pas seulement sombre, il était obscur. Le défenseur avait assez bien plaidé, dans cette langue de province qui a longtemps constitué l’éloquence du barreau et dont usaient jadis tous les avocats, aussi bien à Paris qu’à Romorantin ou à Montbrison, et qui aujourd’hui, étant devenue classique, n’est plus guère parlée que par les orateurs officiels du parquet, auxquels elle convient par sa sonorité grave et son allure majestueuse ; langue où un mari s’appelle un époux, une femme, une épouse

seulement sombre, il était obscur. Le défenseur avait assez bien plaidé, dans cette langue de province qui a longtemps constitué l’éloquence du barreau et – 443 – dont usaient jadis tous les avocats, aussi bien à Paris qu’à Romorantin ou à Montbrison, et qui aujourd’hui, étant devenue classique, n’est plus guère parlée que par les orateurs officiels du parquet, auxquels elle convient par sa sonorité grave et son allure majestueuse ; langue où un mari s’appelle un époux, une femme, une épouse

drame n'était pas seulement sombre, il était obscur. Le défenseur avait assez bien plaidé, dans cette langue de province qui a longtemps constitué l'éloquence du barreau et dont usaient jadis tous les avocats, aussi bien à Paris qu'à Romorantin ou à Montbrison, et qui aujourd'hui, étant devenue classique, n'est plus guère parlée que par les orateurs officiels du parquet, auxquels elle convient par sa sonorité grave et son allure majestueuse ; langue où un mari s'appelle un époux, une femme, une épouse

n’était pas seulement sombre, il était obscur. Le défenseur avait assez bien plaidé, dans cette langue de province qui a longtemps constitué l’éloquence du barreau et dont usaient jadis tous les avocats, aussi bien à Paris qu’à Romorantin ou à Montbrison, et qui aujourd’hui, étant devenue classique, n’est plus guère parlée que par les orateurs officiels du parquet, auxquels elle convient par sa sonorité grave et son allure majestueuse; langue où un mari s’appelle un époux, une femme, une épouse