Montesquieu Lettre 30

Voltaire François Marie Arouet, dit Voltaire, est un philosophe et écrivain français du XVIIIème siècle né le 21 novembre 1694 et mort le 30 mai 1778 à Paris, à l’âge de 84 ans. Il est connu comme le plus grand auteur tragique du XVIIIème siècle grâce à ses tragédies qui l’ont rapidement rendu célèbre. Adulé à son époque, devenu populaire au fil du temps, c’est pourtant un écrivain souvent détesté (ayant même un « hideux sourire » selon Musset) qui est non seulement poursuivi par l’Etat, mais

Délices. Il goûte à la nature et à la tranquillité. Cinq ans plus tard, il quitte Genève et s'établit en France. C'est là qu'il écrira ses dernières œuvres tout en s'occupant d'agriculture et d'élevage. En 1778, Voltaire revient à Paris. Il meurt le 30 mai. Il est l’exemple même de l’esprit critique, vif et libre. « Grand seigneur de l’intelligence » selon Nietzche, ses grands ennemis dans tous les domaines sont l’hypocrisie et la bêtise. Attaché à la liberté d’expression, on lui doit la fameuse phrase :

XVIIe siècle au XVIIIe siècle  • Une lecture cursive  : L’affaire du chevalier de La Barre, Voltaire Chapitre 3 « Bas les masques » : la satire du pouvoir à l’époque des Lumières A. La critique politique et religieuse  Texte 3 Montesquieu, Lettres Persanes  B. Entraînement à l’écrit : la dissertation (1)  Corrigés des exercices Chapitre 4 Le combat contre l’obscurantisme Point histoire littéraire : la philosophie des Lumières A. Une arme : la littérature polémique V Texte

Molière, Tartuffe Fiches méthode : Types de textes et formes de discours Les genres littéraires Corrigés des exercices Chapitre 3 « Bas les masques » : la satire du pouvoir à l’époque des Lumières A. La critique politique et religieuse Texte 3 Montesquieu, Lettres Persanes B. Entraînement à l’écrit : la dissertation (1) Corrigés des exercices Chapitre 4 Le combat contre l’obscurantisme Point histoire littéraire : la philosophie des Lumières A. Une arme : la littérature polémique Texte 4 Voltaire, Candide

admirablement” (l.29), “ d’un tel éclat “ (l.30), “ d’une telle beauté “ (l.30), “ pareille abondance “ (l.31), “ pareille harmonie “ (l.31), “ du profit et de la joie “ (l.35). Les dernières citations qualifient les préoccupations des Utopiens : l’entretien de leurs jardins et la culture. Ils « entretiennent admirablement leur jardins, où ils cultivent des pants de vigne, des fruits, des légumes et des fleurs d’un tel éclat, d’une telle beauté » (l.30). En effet cela donne l’impression au lecteur

C’est une scène dramatique en trois temps – défi, exploit, dénouement. Elle constitue une pause narrative qui permet d’éclairer un aspect du personnage. (l.1 à 30 : attente qui est double -> savoir si Fauchelevant va être sauvé et que va sortir de la confrontation Javert/Madeleine  l.38 à fin : accélération). Dialogue (attente) -> l.1 à 30 puis accélération « tout à coup » l.38 b) Une confrontation tendue Il y a la foule en attente autour de la charrette. Au départ, Javert et Madeleine ne se voient

SÉRIE ES /S   Objet d'étude : Convaincre, persuader, délibérer. Textes :  Texte A : La Bruyère, Caractères, « De l'homme », XI, n° 128, 1688. Texte B : Fénelon, Lettre à Louis XIV, 1693. Texte C : Victor Hugo, Discours à l'Assemblée, 30 juin 1850. Texte D : Arthur Rimbaud, Poésies, « Les Effarés », édition posthume de 1895 (texte composé en 1870). Texte E : Emile Zola, L'Assommoir, 1877.   Texte A : La Bruyère, Caractères, « De l'homme », XI, n° 128, 1688.    L'on voit certains animaux

» l. 13-14 chez Sternberg. Quatrième procédé : les registres. Le registre ironique parcours principalement les deux premiers textes. Les armes sont appelées des « instruments commodes » créés « fort judicieusement » (antiphrase) chez La Bruyère l. 30, les puissants qui ordonnent les massacres sont appelés des « barbares sédentaires » par Voltaire l. 27. L’apparente neutralité de ton du texte C, qui tranche avec la violence absolue des Adrèles peut passer aussi pour de l’ironie, notamment dans la

SEMAINE 24 Mardi 17 mars - CONVAINCRE, PERSUADER, DÉLIBÉRER (8) : B/ LECTURES ANALYTIQUES (5) : II/ L’ARGUMENTATION DIRECTE : IV — Michel de Montaigne [1533-1592], « Chacun appelle barbarie, ce qui n’est pas de son usage », Essais, I, 30 —> cf. manuel de littérature pp. 386-387. 1- Lecture et compréhension du texte. 2- Fiche pour le COMMENTAIRE : A- Le commentaire suppose d’abord de se livrer à une étude méthodique (ou lecture analytique) du texte : sa structure, sa progression, ses procédés d’écriture…

argumentative ?   Comment Voltaire arrive-t-il à sensibiliser le lecteur au problème de l’esclavage ?   En quoi ce texte narratif est-il aussi argumentatif ? VOLTAIRE, Candide Chapitre 30 (Le vieillard turc) : En quoi ce passage est-il un récit exemplaire (exemplum) ? VOLTAIRE, Candide Chapitre 1 et 30   Étudiez l’évolution entre le 1er et le dernier chapitre FONTENELLE, « La dent d’or »   Montrer que ce texte s’apparente à un apologue   En quoi ce texte est-il représentatif des Lumières