Montmartre Sociologie

fortement monarchiste, et est marqué par l’idée que les troubles se sont abattus sur la France en raison de son impiété, du non-respect de la religion catholique. Témoin de cette volonté de se remettre dans la foi, une basilique est érigée sur la Butte Montmartre , lieu symbolique du début et de la fin de la Commune (lieu d’exécution des 2 généraux, et un des derniers bastions communards) : c’est le Sacré Cœur, destiné à expier les péchés des Parisiens. C’est donc l'Église catholique qui est réhabilitée

d’apporter une réponse sociale au besoin d’accueil manifesté par les familles et d’offrir à l’enfant un nouvel espace de vie, un lieu éducatif nécessaire à son épanouissement. b) L’implantation Les trois centres se situent au pied de la butte Montmartre, au coeur du XVIIIème arrondissement, près de la mairie, les rues du Poteau, Ordener et Lamarck. Ce quartier s’apparente vraiment à un village grâce à sa place jouxtant la mairie, le marché de la rue du Poteau, les nombreux commerçants. Il est très

tableaux, le fond ne joue pas trop grande importance dans son art. Il utilise des couleurs pour donne l’arrière-plan, mais son élaboration est négligée. Après avoir déménagé à Montmartre en 1884, il fait sa première exposition. Entre autres, il prépare une série des portrait nus comme par expemle : La grosse Maria, Vénus de Montmartre (Musée Von der Heydt, Wuppertal, 1884) Cette peinture montre l’éloignement de l’académisme : Toulouse-Lautrec ne corrige pas le tableau pour être plus beau comme les académiciens

son nom, l'baptème s'fit un matin Où tous ceux qui grimpèrent, roulèrent dans le ravin Aujourd'hui y a des vignes il y pousse du raisin Qui boira d'ce vin là boira l'sang des copains Sur cette butte là, on n'y f'sait pas la noce, Comme à Montmartre où l'champagne coule à flôts Mais les pauvr' gars qu'avaient laissé des gosses Y f'saient entendre de terribles sanglot C'qu'elle en a bu des larmes cette terre, Larmes d'ouvrier, larmes de paysan, Car les bandits, qui sont cause des guerres

d’origine congénitale (c’est à dire depuis sa naissance) certainenement dûe au mariage consanguin de ses parents. Immobilisé par sa maladie il s’occupe en dessinant et en peignant tous les gens qui l’entourent. Il prend des cours de dessin à Paris, à Montmartre : il y découvre la vie quotidienne des prostituées. Il a énormément de talent et dessine des décors de thêatre, des portraits des stars de l’époque comme Aristide Bruant (chanteur), Jane Avril (danseuse) et Yvette Guilbert (actrice de music-hall)

ou il y passe sa jeunesse. Picasso commence peindre à 10ans. Il se révèle être un véritable prodige et il maîtrise très vite et parfaitement le dessin et la peinture. A 19 ans il expose la 1ere fois à Barcelone. Il s'installe dans le quartier de Montmartre, dans des ateliers. Puis c'est la création du cubisme en 1907. La guerre de 1914-1918 met fin à sa belle vie parisienne Puis en 1936, la guerre civile éclate en Espagne. Picasso prend cause auprès de Républicains espagnols contre le parti fasciste

Beaux-Arts de Paris et entre dans l’atelier de Charles Gleyre, où il rencontre Claude Monet, Frédéric Bazille et Alfred Sisley. Il expose avec les Impressionnistes de 1874 à 1878 (ou 1879?) et réalise son chef-d'œuvre : le Bal du moulin de la Galette, à Montmartre, en 1877 (Paris, Musée d'Orsay). Le tableau est acheté par Gustave Caillebotte, membre et mécène du groupe. Autour de 1880, en pleine misère (Renoir n'arrive pas à vendre ses tableaux, la critique est souvent mauvaise), il décide de ne plus exposer

française et son aura populaire justifient sa présence ici Avant d'être reprise comme une chanson d'amour, Le Temps des cerises est un poème révolutionnaire, écrit en 1866 par un militant révolutionnaire républicain, Jean-Baptiste Clément. Maire de Montmartre, il est très engagé dans la Commune de Paris. Il a été emprisonné sous Napoléon III et s'est réfugié 8 ans à Londres. En 1867, le poème est mis en musique par Antoine Renard, ténor d'opéra. La chanson a été associée à l'insurrection parisienne de

sous l'occupation allemande, les Juifs sont obligés de porter l'étoile jaune pour se différencier. Suite à un accord entre les nazis et les autorités françaises sur l'arrestation et la déportation des nombreux juifs. Dans le quartier de la Butte Montmartre, deux familles juives vivent comme les autres habitants de ce quartier, à l'exception près qu'étant juifs, ils appréhendent l'arrivée de la Gestapo. À Paris, les avis sont partagés, certains veulent protéger les Juifs en les cachant alors que d'autres

déambulatoire à la butte Montmartre : la place Blanche, chantée par Jacques Dutronc et dominée depuis 1889 par les ailes du Moulin-Rouge ; et la place Pigalle, non moins sulfureuse et peuplée de cabarets. Le Pigall’s, au numéro 7, y a succédé au Rat Mort, ancien café de la bohème fréquenté notamment par Degas, Manet ou Courbet. À la Belle Époque, ces lieux en marge du Paris bourgeois étaient encore assez champêtres, plutôt artistes et « canailles ». C’est avant 1914 que Montmartre connaît son apogée