Morale Dans Les Contes De Perrault

apprendre des leçons de vie sans s'en rendre compte. Prenons l'exemple des contes, dans ces types d'histoires, l'auteur utilise des personnages pour transmettre un message, une morale. Dans les contes on retrouve les normes sociales et morales ; le héros, la plupart du temps, a un comportement exemplaire, les jeunes lecteurs pourraient se voir dans le héros et prendre exemple, sauf à l’exception du Petit chaperon rouge, de Charles Perrault (XVIIe siècle) où le héros commet une erreur fatale. Cette histoire

confesse comme si on avouait un péché). (Confessions d’un enfant du siècle de Musset, Confessions de Rousseau) Conte : conte philosophique : satire d’une société ou critique dépeint d’une façon burlesque (Zadig, Candide, deVoltaire) Contes pour enfants : (contes de Perrault, d’Andersen) Nouvelle : court récit basé sur une anecdote (Nouvelles de Maupassant) Roman : œuvre d’imagination en prose dont l’intérêt réside dans la narration d’aventures, l’étude de mœurs ou de caractères, l’analyse de sentiments

pas partie de l’histoire. * Le récit est mené aux temps du passé (passé simple et imparfait dominant) car c’est une histoire qui est racontée donc qui a eut lieu car le narrateur ne fait pas partie de l’histoire. L’OUVERTURE DU CONTE : Les contes commencent en général par une formule d’entrée telle que : « Il était une fois… », « Un homme avait… »,  « Il y avait autrefois… », « Dans les temps anciens… ».Cette formule d’entrée, caractéristique du genre, invite le lecteur à conclure une sorte

animalier pour éviter la censure. La Fontaine, Esope, Phèdre, Florian. Le conte : histoire imaginaire qui permet de tirer une leçon de vie. Sous l'Ancien Régime Charles Perrault a écrit les contes jusque là ils découlaient d'une tradition orale, c'est alors un moyen de parfaire l’éducation des jeunes filles. Voltaire, Charles Perrault, Les Frères Grimm, Andersen. L'utopie : L’utopie a une quadruple fonction ; 1. Celle d'orientation, on admet un etat parfait pur pouvoir essayer de faire tendre le

désirs incompatibles .Il s’exerce à la fois sur les plans conscient et inconscient .Le surmoi est l’ensemble des interdits moraux introjectés .Il exerce une fonction d’autorité et de censure morale obligeant le moi à lutter contre certaines pulsions sous peine de voir naitre des sentiments pénibles , principalement de culpabilité . Selon Bruno BETTELHEIM dans Psychanalyse des contes de fées(Laffont1976) pour pouvoir régler les problèmes psychologiques liés à la croissance ,l’enfant a besoin de comprendre

caractérise par une élégance extérieur et moral, vivant dans une société très civilisée et très disciplinée. Il n’est ni un homme de cour raillé par La Fontaine, ni un petit marquis critiqué par Molière. Peu importe qu’il soit bourgeois ou grand seigneur, il doit avoir la noblesse de cœur. 4) Les beaux-arts La première moitié du siècle est marquée par l’édification du Palais du Luxembourg, le Palais royal et la chapelle de la Sorbonne. Sous Louis XIV Perrault édifie la colonnade du Louvres, en 1665

d'Auguste Comte, (il était considéré comme l’un des fondateurs de la sociologie et le fantastique s'élabore en se servant de l'irrationnel pour susciter la peur et pour cela, on va chercher dans les contes et légendes, dans la littérature orale populaire dont s'étaient déjà inspiré les auteurs des Contes (Perrault par exemple). On va également utiliser tout ce qui tient à la peur, tout ce qui provoque l'inquiétude, la panique : le noir ou la nuit, les bruits inquiétants, les monstres etc… Quelques romans

tient à la fois du genre narratif, et du genre argumentatif. -Mais c’est une argumentation indirecte, suggérée, qui repose plus sur l’art de persuader plutôt que de convaincre. -Le récit fonctionne comme l’illustration d’une thèse, il sert une morale implicite ou explicite. « L’apologue est formé de deux parties dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme ; le corps est la fable, l’âme est la moralité. » La Fontaine II) Caractéristiques : a) un récit court et plaisant -Pour susciter

dans les contes de Perrault qui commencent par «  il y avait une fois » , Candide débute par « il y avait en Westphalie ». En effet, un conte se distingue par des repères imprécis à l’exemple de la ville de Valdberghoff-trarbk-dikdorff ,nom formé à partir de plusieurs mots allemands sans aucun rapport. De plus, l’absence de repères temporels, à l’exception des références au séisme de Lisbonne en novembre 1755 (Chapitre 6, ligne 26) plonge le lecteur dans le monde merveilleux des contes. Cependant

de Nicolas Fouquet, surintendant des finances pour qui il compose plusieurs œuvres dont des ballades, des sonnets et le poème héroïque Adonis en 1658. Le poète fréquente alors les sociétés précieuses et rencontre d’autres grands artistes dont Charles Perrault et Molière. Lorsque Fouquet tombe en disgrâce en 1661, La Fontaine lui reste fidèle et prend sa défense dans l’Elégie aux nymphes de Vaux en 1662 et l’Ode au roi l’année suivante. Suite à ces publications, le poète préfère s’exiler quelques temps