Morale De Frankenstein

imitation qui ne peut l’égaler. D’où la connotation péjorative qu’on retrouve dans certaines expressions (ex : il n’est pas naturel = pas sincère Dangers de la technique Qu’on retrouve ds les mythes et les légendes : Prométhée, Icare ? Faust, Frankenstein… Fil rouge de ces fictions : la conviction, chez l’homme, que les tentatives de comprendre et d’imiter les lois naturelles sont des expériences dangereuses aux répercussions catastrophiques. Aujourd’hui : on retrouve cette crainte lorsqu’on évoque

premiers récits où se mêlent de façon étrange le rêve et la réalité, le surnaturel et le naturel, datent du XVIIIe siècle, en France avec Cazotte mais surtout en Grande-Bretagne avec le roman noir, le roman gothique et enfin, à la toute fin du XVIIIe, Frankenstein de Mary Shelley. En conclusion, il faut bien reconnaître que le fantastique en tant que genre ne se laisse pas facilement définir, et qu'il s'agit plus d'une notion littéraire dont des auteurs très différents se sont saisis à tour de rôle

familiales, professionnelles…), dépassés par les évènements, qui n’ont plus d’empire sur le destin, ce qu’on appelle des antihéros. Exemples d’antihéros : Gervaise (L’Assommoir de Zola) ; Gaston Lagaffe (Bande dessinée de Franquin) ; Victor Frankenstein (Frankenstein) ; Jay Gatsby (Gatsby le Magnifique) ; et Forest Gump (Cinéma). d. La mise en question du personnage La crise du personnage : au XXème siècle le personnage de roman connait une crise majeure : romanciers et critiques lui reprochent son

d’oublier ce « comme » et de faire de l’homme un apprenti sorcier ? Ici, vous pouvez penser au mythe de Frankenstein, mais vous pouvez également penser simplement aux dangers que peuvent représenter les manipulations génétiques, par exemple. Face à cela, ne faut-il pas s’opposer au progrès technique ? Vous pouvez montrer en quoi le progrès technique doit peut-être être accompagné d’une réflexion morale et de la nécessité de penser des limites dans les pratiques. Montrez alors comment cela ne se fait pas

coup, lorsqu’on connaît l’histoire de l’individu (son vécu, son passé), on en vient à comprendre parfois, même en partie, les raisons qui sont à l’origine de cette méchanceté. Si on prend, à titre d’exemple, la créature conçue par le Docteur Frankenstein, on peut mieux comprendre que le responsable des actes de méchanceté de celle-ci serait le Docteur lui-même, le créateur, qui a non seulement mis au monde une créature, mais l’a aussi abandonnée. Cependant, ce créateur serait-il entièrement responsable

si la notion de supériorité est bien adéquate ici dans tous les domaines. En effet, le progrès technique n’est pas nécessairement accompagné d’un progrès moral par exemple. Sur ce point, reportez-vous aux sujets indiqués plus bas. Vous pouvez également penser aux conséquences de la croyance en cette supériorité. L’exemple du mythe de Frankenstein peut vous être utile ici. Il s’agira donc de déterminer quel sens vous accordez à la notion de supériorité. Vous trouverez de nombreux éléments pour développer

Le roman est une œuvre littéraire où l'imagination tient une place primordiale, elle permet la création et donne vie à un personnage principal qui dessine l'humain selon des convictions et des principes moraux. Est décris comme personnage principal, l'acteur qui a un rôle récurent et majeur dans le roman. Faisant preuve d'une forte personnalité, étant complexe et ayant un physique particulier, il dispose de trait de caractère qu'apprécie le lecteur. L'auteur du roman fais en sorte que le personnage

est un devoir morale, un homme est redevable à l’être vivant qu’il respecte, il le place sur un pied d’égalité avec lui puisqu’il ne le maltraite pas. L’homme faisant partie lui même du vivant, lui doit-il le respect comme il le doit à ses semblables ? Nous verrons dans un premier temps que le vivant est un objet de science et de connaissance, nous expliquerons ensuite le dédain que l’homme a envers le vivant et enfin, nous verrons que le respect du vivant est un devoir morale. I. Le vivant

s’évalue à la fois sur le plan physique ou morale mais le terme beau s’applique-t-il seulement sur ces deux critères ? Autrement dit , un « beau personnage » aux yeux du lecteur n'est-t-il qu'un être de papier qui atteint la perfection physique ou morale ? Pour répondre à ces questions nous montrerons dans un premier temps à travers des personnage majeurs de la littérature qu'un beau personnage n'est pas seulement beau sur le plan physique ou moral .Nous nous demanderons dans un deuxième temps

une étude des différentes fonctions du monstre dans l’Odyssée :   La fonction narrative La représentation du monstre exige une description physique, qui introduit des pauses dans le récit. Grâce à un travail distinguant portrait physique et moral (en s’appuyant par exemple sur les descriptions du Cyclope Polyphème et des Sirènes), on pourra faire écrire aux élèves le portrait d’un monstre de leur invention.   La fonction symbolique Le monstre est l’incarnation du mal, de ce que la civilisation