Morale De L Ingénu De Voltaire

de personnage. Ensuite, il en souligne les principales qualités. Il s’agit tout d’abord d’une très « belle ville », (v. 16), parfaite comme le montrent les termes mélioratifs qui lui sont appliqués : « fine », « forte » au vers 17, « ingénue et savante » au vers 18. De plus, certains détails dans l’évocation de Paris traduisent sa capacité à se relever, à se révolter. Paul Eluard rapproche des termes qui s’opposent : « fine » mais « forte », semblable à une « aiguille » ou

– Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, 1831 B – Delly, Comme un conte de fées, 1935 C – Nathalie Sarraute, Le Planétarium, 1959. > Dans ces trois textes, le narrateur fait réagir les personnages féminins en fonction de certaines valeurs morales et sociales : vision de l'homme, places respectives de l'homme et de femme, idéal social. Pour chacun des textes, vous caractériserez ces valeurs, en étant attentif à celles qui peuvent être communes à l'ensemble du corpus. Après avoir répondu

1er2-textes pour bac-en cours- avril-élève-avec mouvements.pagesObjet d’étude I : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle, parcours : alchimie poétique : la boue et l'or ! A. L’œuvre : Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire 1. « Au lecteur » (extraits) 2. « Correspondances » 3. « Une Charogne » (extraits) B. Le parcours. Alchimie poétique : La boue et l’or 4. Aragon, « C », Les Yeux d’Elsa (1942) 5. Francis Ponge, « l’huitre », Le Parti pris des choses (1942)
 C. Lectures cursives

appartenance social, leurs qualités physiques et morales. Des personnages comme Ulysse dans L’Odyssée d’Omer ou Gargantua chez Rabelais étonnent aujourd’hui encore. Le personnage de roman se doit donc, par tradition, d’apparaître au lecteur comme un modèle. Ainsi, Mlle de Chartres est un personnage qui s’inscrit dans cette tradition. La Princesse de Clèves de Mme de la Fayette est un portrait révélateur des codes. A cette époque, l’homme incarne des valeurs morales telles que honneur, courage, devoir, représentation

était la décision la plus juste à prendre  ? Privilégier la famille démunie en lui donnant l’argent et en brûlant le testament ? Favoriser les opulents libraires, aux dépens des miséreux, en appliquant le document testamentaire ? Choisir la justice morale ou la justice légale ? Mêlant conte et dialogue, ce court texte permet d’analyser les modalités de l’argumentation et s’intéresse aux combats des Lumières contre l’injustice. Édition de Laurence Rauline. Texte intégral / Lycée général Lycée professionnel

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente François-Marie Arouet dit VOLTAIRE (France) (1694-1778) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Zadig’’, ‘’Candide’’ et ‘’Le crocheteur borgne’’). Bonne lecture ! Né à Paris le 21 novembre 1694, chétif et presque mourant, il était le troisième enfant d’un bourgeois parisien, François-Marie Arouet, et de Marie-Marguerite d'Aumart, qui appartenait à une famille noble

et typographique, à Kehl, pour éditer les œuvres de Voltaire (mais aussi Rousseau, La Bruyère...). 1781 :Janv.: Beaumarchais finance la Compagnie des eaux des frères Périer. Oct.: débuts de l’affaire Kornman. Beaumarchais prend la défense de l’épouse persécutée du banquier Kornman, protégée par le prince de Nassau-Siegen. 1782 Avr.: opérations immobilières avec Choiseul. 1783-1790 :Parution des 70 volumes de l’«édition de Kehl» de Voltaire. Désastre financier. 1783 :13 juin: interdiction

définir la province et à l’opposer a paris. La province : sur la petite ville de province pèse la tyrannie des deux forces qui ont repris le pouvoir après la chute de napoléon : l’aristocratie et le clergé. Verrières est un bon exemple du climat moral de la province ou l’argent constitue l’unique préoccupation des habitants. Rien de généreux, de vigoureux, de noble ne peut se développer à verrières. Le politique se réduit à de mesquines intrigues : les grands problèmes sont discutés ailleurs, les

vivre, et non plus simplement pour le plaisir. En matière de création littéraire, il choisit de se consacrer en priorité au théâtre, qui lui permet, dans la forme originale et renouvelée qu’il lui donne, d’approfondir l’analyse psychologique et morale du cœur humain. En 1721, il fonde son propre journal : Le Spectateur français, dont vingt-cinq numéros paraissent jusqu’en 1724 1. Marivaux y publie des impressions et des réflexions nées de l’observation de ses contemporains. Ses articles constituent

Charles Perrault, rejettent l’influence antique. Le 18ème siècle communément appelé siècle des lumières par l’esprit philosophique, académique et critique qui le caractérisait, ne se distingue pas trop dans l’art poétique. En effet, les velléités de Voltaire de susciter la verve héroïque et épique, dans Henriade ne connaissent pas une grande diffusion, même si Diderot tente de promouvoir la prose philosophie qui tourne à l’expression dramatique de la sensibilité humaine. D’autres poètes comme André Chénier