Morale Fable De La Fontaine Corpus

à nos jours, les grands auteurs de l’histoire et leur mode d’écriture. On tentera de les insérer dans le contexte plus large de l’évolution de la discipline et dans celui de la perception du Moyen Âge. On complètera cette approche par l’étude d’un corpus de textes représentatifs de l’évolution de la discipline. La cinquième séance s’intitulera « Du document à la source » et portera, toujours dans une perspective diachronique, sur le rapport de l’historien au document, notamment sur la construction

justifiée qu'après élucidation du projet global qui a présidé à la multiplication des textes. Une sorte de pré-synthèse est donc toujours à la base du geste comparatiste. Si séparer est compromettant, assembler l'est plus encore : dis-moi quel est ton corpus retenu et je te dirai ce que tu veux chercher... Je ne m'attarderai guère sur le parallèle qui a sans doute en Plutarque son ancêtre et en August-Wilhelm Schlegel son précurseur, du point de vue comparatiste. Sa comparaison entre la Phèdre d'Euripide

une recherche du bon usage, des mots et des idées justes. Elle s’apparente à un puits de science encyclopédique avant de devenir une recherche plus approfondie du rapport entre les mots et les choses, une vraie réflexion quasi philosophique et morale. Un coup d’œil sur son histoire dans les trois derniers siècles, et sur sa transformation par la linguistique, nous permettra de voir la richesse de cette science nouvelle, qui flirte avec la psychologie, la sociologie, l’histoire, et d’envisager

12-13). Le genre épistolaire permet ensuite de vagabonder d’un thème à l’autre sans être soumis à un canevas d’intrigue trop rigide : il peut ainsi s’autoriser des « digressions » (l. 17) traitant de « philosophie » (l. 24), de « politique » et de « morale » (l. 25). Enfin, le roman par lettres est constitué de fragments dont la cohérence ne doit pas nécessairement être évidente : c’est ce que suggère la célèbre formule « lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue » (l. 25-26)

FLE Page 22 Néanmoins, la littérature était, jusqu’aux années cinquante, une partie fondamentale de l’enseignement du FLE, réunissant les trois objectifs de l’enseignement d’une langue vivante : sensibilisation esthétique, intellectuelle et morale. C’est au début des années soixante que le développement de l’approche structuroglobale a banni la littérature des manuels du FLE. Préconisant la parole en situation comme le support le plus naturel de l’enseignement d’une langue, plutôt que les

animal de basse-cour dit-on qu'il cancane lorsqu'il crie ? Le canard Quel instrument de musique est surnommé : la "guitare hawaïenne" ? L'ukulélé Je suis un animal de la classe des amphibiens, ma larve est appelée têtard et dans une célèbre fable, je veux me faire aussi grosse que le boeuf. Qui suis-je ? La grenouille Quand on s'entraide, on dit aussi qu'on se serre les... Coudes Avec quel alcool prépare-t-on un daiquiri ? Le rhum En 2001, avec quelle chanteuse, Étienne Daho

genre littéraire est toujours un récit narratif en prose. Il fait le plus souvent intervenir le merveilleux. La moralité et le but de l’auteur Les contes de Charles Perrault, auteur du XVIIe siècle, contemporain de La Fontaine, sont un peu différents. Ce sont des contes moraux : à la volonté de distraire ou de construire, s’ajoute celle de faire réfléchir et de critiquer. Perrault a ici une intention satirique : tous les loups ne sont pas de même sorte, lit-on ! L’auteur vise tous les gens malhonnêtes

LEÇON 1. La cité comme réalité et comme idéal I. La politique comme devoir moral Morale et politique sont identiques. La cité est comme la réalité et comme idéal. La politeïa est l’affaire des citoyens. A. La cité Grèce petit pays fractionné. Les vallées regardent vers le large. Les hommes sont isolés et tendance à se regrouper. Attirance notable vers la mer (commerce maritime avec esprit d’initiative et l’individualisme face au socialisme de l’Egypte). 3 caractéristiques de la cité : Etendue

genre littéraire est toujours un récit narratif en prose. Il fait le plus souvent intervenir le merveilleux. La moralité et le but de l’auteur Les contes de Charles Perrault, auteur du XVIIe siècle, contemporain de La Fontaine, sont un peu différents. Ce sont des contes moraux : à la volonté de distraire ou de construire, s’ajoute celle de faire réfléchir et de critiquer. Perrault a ici une intention satirique : tous les loups ne sont pas de même sorte, lit-on ! L’auteur vise tous les gens malhonnêtes

les conventions du théâtre bourgeois, réaliste et sérieux. L'univers de sa pièce est celui du surnaturel : si Eurydice est en quête de simplicité, Orphée, lui, n'hésite pas à «traquer l'inconnu», dût-il se couvrir de ridicule. Les personnages de la fable antique sont en effet traités sur le mode dérisoire des préoccupations quotidiennes, et n'échappent pas à la trivialité. Orphée se rend-il seulement compte que l'acrostiche que lui souffle le ciel, «Madame Eurydice Reviendra Des Enfers», forme le mot