Morale Le Savetier Et Le Financier

l’irrémédiable tension que traduit son œuvre entre sa pensé épicurienne du plaisir et son souci du salut. II- Son œuvre Les fables sont des récits courts qui utilisent des argumentations indirecte, elles ont un but, instruire le lecteur par le lien d'une morale qui donne des conseils et des avertissements. Pour transmettre cette leçon, le fabuliste doit réussir à plaire au lecteur. J. De La Fontaine, a écrit trois recueils de fables. Le premier regroupait les livres I à VI, le second regroupait les livres

La fantaisie empêche-t-elle l’usage de la raison ?Plan : Reformulation problématique. I) Concession : certes, il est des cas où la fantaisie favorise la Raison.· Plaire et instruire : un récit plaisant est essentiel pour mieux véhiculer la morale.· Morale implicite : le récit fait lui-même réfléchir et est au service de la raisonII) Opposition : Mais, il en est d’autres· Fantaisie pose un souci du réalisme · Le récit : un texte qui peut détourner d la moraleIII) Amplification : De plus, est-ce

VIII, Jean de la Fontaine, avec l’histoire intitulée « le savetier et le financier », offre une parabole sur les relations maudites entre argent et bonheur. Un savetier, homme humble qui travaille du matin au soir, se voit offrir cent écus par un financier qui espère ainsi « acheter son sommeil ». La joie très passagère du premier cède vite à l’insomnie engendrée par la peur de perdre cette nouvelle fortune. Rongé par le malheur, le savetier va rendre les écus afin de retrouver « son chant » et « son

avec la netteté froide d’un constat sans appel sur le manque d’objectivité de la justice qui soumet ses jugements à des conditions («selon que») qui servent les intérêts des puissants et condamnent les faibles. «Blanc» et «noir» sont des couleurs morales mises en parallèle avec «puissant» et «misérable». “Les animaux malades de la peste” condamne l’injustice de la justice qui est ce qu’on appellerait aujourd’hui «une justice de classe», la puissance de la hiérarchie sociale, la cohésion du groupe

avec la netteté froide d’un constat sans appel sur le manque d’objectivité de la justice qui soumet ses jugements à des conditions («selon que») qui servent les intérêts des puissants et condamnent les faibles. «Blanc» et «noir» sont des couleurs morales mises en parallèle avec «puissant» et «misérable». “Les animaux malades de la peste” condamne l’injustice de la justice qui est ce qu’on appellerait aujourd’hui «une justice de classe», la puissance de la hiérarchie sociale, la cohésion du groupe

Voltaire montre qu’on apprend plus en réfléchissant par soi même qu’en posant des questions : notamment dans le chapitre ou Zadig décrit un cheval qu’il n’a même pas vu simplement en analysant les éléments qui l’entourent. Chaque fable comprend une morale qui donne une leçon sur la vie au lecteur. Ainsi la fable de la fontaine, « le corbeau et le renard » qui semble très populaire, que l’on fait lire et apprendre aux enfants à l’école, a un fond ludique et livre un enseignement au lecteur : pour cette

pair non pas avec le bonheur, mais avec les conditions de possibilité du bien être matériel mais aussi moral. Ainsi un jeune qui ne gagne pas sa vie ne peut quitter le domicile de ses parents et une telle dépendance contredit une aspiration légitime et naturelle à l’autonomie. Sans argent, impossible de fonder une famille. 2. Avec de l’argent on peut acquérir beaucoup de biens matériels et même moraux… Des biens matériels, à commencer par un logement décent, mais aussi des moyens de production pour

société humaine. Elle dénonce les inégalités sociales, les défauts et les vices des individus pour donner une leçon de sagesse et de tolérance (ex : Le Savetier et le Financier, fables de La Fontaine) Le conte philosophique : sous l'apparence d'un récit vif et léger, le conte philosophique expose indirectement un point de vue sur le monde, sur la morale et la religion, sur la liberté politique et la liberté des Hommes. Il raconte les épreuves d'un personnage confronté à la découverte du monde (ex :

passage consacré au prix, le philosophe antique mettait en place les prolégomènes d'une théorie complète de la formation des prix. Par ailleurs, la brève remarque qu'il consacrait aux pratiques usuraires, pour les condamner sans appel sur le plan moral, aurait pu le mener - comme le suggère le peu qu'il en dit 2 - à concevoir également le principe de la valeur actuelle d'une tombée monétaire à venir. Ceci mis à part, tout ce qu'il pouvait observer en matière de formation des prix convergeait vers

à l’argumentation ? 4) Recherches d’idées 5) Recherches d’exemples Corpus ! Giono, Les Vraies richesses (le matérialisme, la réussite social à tout prix…) / essai La Fontaine, / « L’Huître et les plaideurs » (une justice expéditive), « Le Savetier et le financier »… (l’argent comme unique valeur) / fable Voltaire, Candide (la noblesse, la religion, le pouvoir royal, l’esclavage, la guerre…)/ conte philosophique Rimbaud, « Le dormeur du val » (guerre) / poésie Eluard, « Au nom du fron »t (guerre, nazisme…)