Mort Du Petit Othon

Macédoine, Philippe, a étendu son autorité sur les cités, qui subsistent, mais n’ont plus qu’une autonomie interne, elles ont perdu leur indépendance politique. Son fils, Alexandre le Grand, s’est lancé dans une politique de conquête (l’empire perse). A sa mort, les généraux de son armée se sont emparés de son empire et ont formé des royaumes (royaume de Macédoine, d’Asie et d’Egypte). Le royaume d’Egypte est celui qui a duré le plus longtemps. Société qui comprend 2 éléments unifiés par la personne du roi

la « patria potestas ». La puissance paternelle. Elle régit les rapports entre les personnes privées. Comme ceux du père et de ses enfants. Elle confère donc au père des pouvoirs sur leur personne et sur leurs biens. Il avait droit de vie et de mort, puis a évolué ; est devenu un droit d’autorité limité. Le droit romain reconnaît à l’état des privilèges, inconnus en droit commun, et ces pouvoirs sont justifiés pour pouvoir servir l’intérêt général. Pour servir cette chose publique. L’autorité

LIVRE II Chapitre 2.1 : Que la souveraineté est inaliénable Chapitre 2.2 : Que la souveraineté est indivisible Chapitre 2.3 : Si la volonté générale peut errer Chapitre 2.4 : Des bornes du pouvoir souverain Chapitre 2.5 : Du droit de vie et de mort Chapitre 2.6 : De la loi Chapitre 2.7 : Du législateur Chapitre 2.8 : Du peuple Chapitre 2.9 : Suite Chapitre 2.10 : Suite Chapitre 2.11 : Des divers systèmes de législation Chapitre 2.12 : Division des lois LIVRE III Chapitre 3.1 : Du

. 124 Chapitre III Il faut du vin aux hommes et de l’eau aux chevaux ..................................................................................... 131 Chapitre IV Entrée en scène d’une poupée ............................ 136 Chapitre V La petite toute seule ............................................. 138 Chapitre VI Qui peut-être prouve l’intelligence de Boulatruelle ............................................................................. 145 Chapitre VII Cosette côte à côte dans l’ombre

3-7 pp. 8-9 pp. 10-11 pp. 12-13 pp. 14-55 pp. 56-77 2 (Brève) introduction au XVIII° siècle L’invention de la liberté ? Balises temporelles/symboliques Le 18° siècle est ce siècle « court » qui se déploie entre la fin de l’Ancien Régime (mort « tardive » de Louis XIV en 1715, puis Régence de Philippe d’Orléans, son neveu, jusqu’en 1723 : par réaction contre l’austérité des dernières années du règne de Louis XIV, goût du plaisir, du luxe et de l’argent) et la Révolution française (1789 et

Du contrat social, ou Principes du droit politique Jean-Jacques Rousseau, 1762 [pic] Avertissement Ce petit traité est extrait d’un ouvrage plus étendu, entrepris autrefois sans avoir consulté mes forces, et abandonné depuis longtemps. Des divers morceaux qu’on pouvait tirer de ce qui était fait, celui-ci est le plus considérable, et m’a paru le moins indigne d’être offert au public. Le reste n’est déjà plus. [pic]Livre I |1.1 Chapitre 1.1 Sujet de ce premier livre

• Changer la maquette • Version imprimable Rousseau - Du contrat social (texte complet) Jean-Jacques Rousseau Du contrat social Avertissement Ce petit traité est extrait d’un ouvrage plus étendu, entrepris autrefois sans avoir consulté mes forces, et abandonné depuis longtemps. Des divers morceaux qu’on pouvait tirer de ce qui était fait, celui-ci est le plus considérable, et m’a paru le moins indigne d’être offert au public. Le reste n’est déjà plus. Sommaire • Livre I o Chapitre

elle permet au mari dont l’épouse est stérile de prendre une autre femme, on note aussi une très grande sévérité du droit pénale. Exemple : les mutilations sont nombreuses, femmes qui à négliger son mari… Le droit pénal abouti à la mort en cas de vole, peine de mort aussi à l’égard des enfants. Le droit pénale prévoit aussi la loi du Talion (Œil pour œil dans pour dents) : elle représente un progrès par rapport à la loi de la vengeance de divinité.  Le droit Babylonien est inégalitaire. La société

constitution européenne l’allusion à la définition de la démocratie donnée par Thucydide. Dans Les Suppliantes, Euripide fait dire : « Sous l’empire des lois écrites, pauvres et riches ont les mêmes droits. Le faible peut répondre à l’insulte du fort, et le petit, s’il a raison, vaincre le grand. Quant à la liberté, elle est dans ces paroles : "Qui veut, qui peut donner un avis sage à sa patrie ?" Alors, à son gré, chacun peut briller ou se taire. Peut-on imaginer plus belle égalité ». Finalement, quand les

LIVRE II Chapitre 2.1 : Que la souveraineté est inaliénable Chapitre 2.2 : Que la souveraineté est indivisible Chapitre 2.3 : Si la volonté générale peut errer Chapitre 2.4 : Des bornes du pouvoir souverain Chapitre 2.5 : Du droit de vie et de mort Chapitre 2.6 : De la loi Chapitre 2.7 : Du législateur Chapitre 2.8 : Du peuple Chapitre 2.9 : Suite Chapitre 2.10 : Suite Chapitre 2.11 : Des divers systèmes de législation Chapitre 2.12 : Division des lois LIVRE III Chapitre 3.1 : Du