Mort Théâtre Pathétique

toute son œuvre. En effet, au fils des années, il ne fit que confirmer son statut d’écrivain à succès avec ses romans tels que Molloy et ses pièces de théâtre dont la plus célèbre est En attendant Godot. Ses pièces sont dites pour s’inscrire dans le genre du théâtre de l’absurde, c'est-à-dire qu’une rupture est constatée avec les règles du théâtre classique. L’œuvre de Beckett à laquelle on s’intéresse est une de ses pièces, Fin de partie. L’auteur y met en scène quatre personnages possédant tous

|4 La fascination et l'effroi | |4.1 Le registre dramatique | |4.2 Le registre pathétique | |4.3 Le registre tragique | |5 Problématique

passés en prison d'un condamné à mort. La fiction devient ainsi une arme pour défendre une idée encore peu répandue à l'époque, l'abolition de la peine de mort. Nous nous demanderons donc comment Hugo, en livrant les pensées intimes de ce personnage, parvient à émouvoir et faire réfléchir le lecteur. Dans un premier temps nous étudierons les oppositions entre le passé et le présent puis nous verrons par quels moyens l'auteur parvient à dénoncer la peine de mort. En opposant son passé et son présent

l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore à l’heure d’aujourd’hui, Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Sur le chemin de la gloire Fils d’un tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne vers le théâtre. Il f onde en 1643 « l’Illustre Théâtre » et

paroles de Sabine, puis de Camille, appartient au registre pathétique (vocabulaire, images, procédés oratoires…). Pour mémoire, le pathétique exprime les souffrances tant physiques que morales. Chez Sabine, ce pathétique s’exprime par le vocabulaire des larmes (v. 78 ; 95), par le retour comme un leitmotiv du mot « vaincu », par des verbes de souffrance : « affligera » (v. 90) ; « Ah ! que je crains… » (v. 110) ; Chez Camille, le pathétique atteint son comble dans l’évocation de son rêve : « Mille

Théâtre antique Le théâtre est un mot Greque, le verbe sur cette racine signifie contempler. Le théâtre est à la fois le lieu du spectacle et le spectacle lui-même. L'acteur et l'auteur sont tous les deux des créateurs de la pièce car c'est à travers le de l'acteur que le récepteur comprend l'histoire. Ce sont les Athéniens qui ont inventé le théâtre. Au début il s'agissait de cérémonie religieuse où toute la citée était présente : c'était une obligation d'assister au spectacle et d'y participer

JUAN Moi peur ? (Il lui tend la main.) Ah ! Ton feu me brûle ! DON GONZALO C’est peu de choses auprès des flammes qui t’attendent, don Juan. Les desseins de Dieu sont impénétrables, sache-le : tes fautes, il veut que tu les expies de la main d’un mort. Telle est sa loi : chacun paiera selon ses actes. DON JUAN Je brûle ! Ne me retiens pas ! Je te percerai de ma dague... Hélas ! mes coups ne frappent que le vide... Je n’ai pas dupé ta fille : elle avait déjà découvert ma ruse ! DON GONZALO Il

l’Académie française en 1647. Corneille connaît sa première défaite avec sa tragédie Pertharite en 1651 l’obligeant a s’éloigner de sa passion du théâtre. Corneille reprend le théâtre et connaît une dernière réussite avec Œdipe en janvier 1659. Ses prochaines pièces sont tous mal reçues et poussent Corneille à arrêter définitivement le théâtre en 1674. Il meurt dix ans plus tard le 1er octobre 1684 à Paris. III. Polyeucte est une tragédie de Corneille. Cette pièce est inspirée par la légende

montre que le dragon a un allié efficace qui rend la bataille inégale : ce dieu Neptune qui intervient lui-même ; soit une irruption supplémentaire du surnaturel. Brève partie 5 - v. 44-47 : Un quatrain, toujours à rimes suivies, conclut sur la mort épique du héros humain pourtant " intrépide ", ce qui accroît l’injustice de son sort, prisonnier et victime de son char (ce qui rappelle le péplum Benhur). Un quatrain fait de 4 courtes phrases qui hachent le rythme, notamment cet alexandrin fortement

costume (croix discrète au revers de sa veste). Les adresses au public = hors théâtre , interjections « hein » l.23, « bon », plus mise en scène, pose des questions au public. = la présentation hésite entre le théâtre et la conférence, tout en remplissant les fonctions de l’exposition. Mais les frontières entre théâtre et prêtre, comédie et drame sont tenues. II – des frontières étroites. A ) entre prêtre et théâtre. Disposition sur la page aéré (retour à la ligne), isolement d’une phrase l.8