Mortalité infantile

par cartes de Kohonen non supervisée et supervisée Dans la première partie de ce TP, nous nous intéressons, à l'analyse de cartes auto-organisatrices. On dispose pour cela d'une base de données comprenant les taux de natalité, de mortalité, de mortalité infantile, espérance de vie masculine et féminine, ainsi que le PNB, pour 91 pays. On cherche dans un premier temps, en analysant les différentes cartes établies, à regrouper certaines variables/composantes. On étudie les différentes cartes obtenues

internationaux, sont souvent dépourvues de signification ou peu crédibles. Ainsi par exemple, bien que figurant au titre des statistiques 1997, « l'âge moyen des dernières données disponibles au niveau international pour trois indicateurs clés - le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans, le taux net de scolarisation (pourcentage d'enfants scolarisés parmi les enfants en âge de fréquenter l'école primaire) et le pourcentage des enfants de moins de cinq ans dont le poids est insuffisant » - varie de

plus de 3 enfants en Bolivie. Mais les chiffres records sont en Afrique, ou , en moyenne, chaque femme accouche de plus de 5 enfants. Ce chiffre étonnant est l'une des conséquences d'un manque de moyen de contraception ainsi que d'un taux de mortalité infantile élevé. Les écarts de natalité peuvent aussi être mesuré par le taux de natalité (10,6 ‰ habitants en Europe en 2010). En sachant que la moyenne est de 2,07 enfant par femme dans le monde, nous pouvons en déduire que l'évolution démographique

1)Qu’est ce qu’une société développée ? Les pays dév. Sont des pays riches. La richesse est donnée par le P.I.B. Les P.I.B. de la France est 32000 $ par an et par habitant en moyenne. Les pays dév ont un bon système de santé, un taux de mortalité infantile très bas et un niveau d’education élevé. Ces 3 données sont ds le calcul pour l’I.D.H. De manières général le niveau de vie (confort) est pris en compte dans le dév. 2)Que signifie « à toutes les échelles » ? L’échelle d’une

l’augmentation de sa population totale (45,1 millions au Royaume Uni et 64,9 en Allemagne contre 39,2 en France). Cette augmentation de la population peut s’expliquer par différents facteur : La baisse de la mortalité et mortalité infantile : Sur la fin du 19e siècle, on observe une petite baisse de la mortalité. En effet, elle reste stable de 1860 à 1890 en tournant environ vers les 22 personnes pour 1000 mais est passée de 25,3 à 19,1 personnes pour mille de 1810 à 1906. Au début du 19e siècle, nous pouvons

et Martine Ségalen dans leur ouvrage Grands-parents : la famille à travers les générations édité en 1998. Enfin, « Le bilan démographique » communiqué par l’INSEE en 2007 révèle l’évolution de l’espérance de vie à la naissance et le taux de mortalité infantile en France. Fort de ces documents, nous mettrons en avant l’importance des grands-parents dans la vie familiale pour ensuite nous attacher à la renaissance de la génération “Papy-boom” dans la vie sociale. Aujourd’hui, les grands-parents

internationaux, sont souvent dépourvues de signification ou peu crédibles. Ainsi par exemple, bien que figurant au titre des statistiques 1997, « l'âge moyen des dernières données disponibles au niveau international pour trois indicateurs clés - le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans, le taux net de scolarisation (pourcentage d'enfants scolarisés parmi les enfants en âge de fréquenter l'école primaire) et le pourcentage des enfants de moins de cinq ans dont le poids est insuffisant » - varie de

mourrait peu et d’autres beaucoup plus. Il y avait un taux de natalité élevé, ainsi qu’un taux de mortalité élevé (Comme le taux de mortalité infantile). - Il y avait de ce fait un croît naturel qui est faible, le taux de remplacement des générations est voisin de l’unité. La population est jeune car l’espérance de vie est réduite. • Il y a des périodes catastrophiques, comme les années 1690, où la mortalité l’emporte largement. Cet équilibre est perturbé par des surmortalités occasionnelles (Guerres

le code de nationalité en 2006. 4- Réduire la mortalité infantile Entre 1992 et 2004, le taux de mortalité des moins de cinq ans est passé de 76‰ à 47‰ (pour atteindre la cible des OMD, il devra passer à 28‰ en 2015). Les progrès ont été obtenus grâce à un accroissement de la couverture vaccinale (près de 90% en 2004), à la promotion de l’allaitement maternel et à la lutte contre les maladies infantiles et les carences alimentaires. Mais la mortalité des bébés de moins d’un mois résiste à la baisse

vie sédentaire augmente l’obésité et le risque de maladies cardiovasculaires (51% des décès dans le Nord contre 18% au Sud). * Les pays du Sud sont affectés par des pathologies mortelles, par exemple la diarrhée qui est la deuxième cause de mortalité infantile dans le monde et 13% des décès d’enfants de moins de 5 ans dans les PED. Cela s’explique par la pollution de l’eau. Une autre pathologie est le paludisme. Cela s’explique par le climat tropical de nombreux P.M.A. n’ayant pas les moyens, malgré