Mortification

autre relation au corps. ® Mort de l’humanisme après la seconde guerre mondiale ce qui ramène l’homme à ses conditions premières. Sorte d’aller retour permanent entre 2 pôles dans l’art du XX e siècle : l’exaltation de la beauté et une sorte de mortification du monstrueux. La représentation du corps glisse souvent vers l’excès (performances…), mythologique, historique, allégorique, la figure du corps devient en quelques sortes autosuffisante d’un point de vue plastique et quasi signalétique débarrassée

C’est une mise à l’extérieur de soi, et une objectivation ratée. * Le travail est aliénant quand il n’est pas une « libre activité physique et intellectuelle », quand l’homme devient « un simple appendice de la machine » (Marx). Risque de mortification de l’ouvrier, ruine de son esprit. Marx considérait que ne faire qu’un seul métier était déjà une mutilation de l’homme. * Il est aussi aliénant quand « il n’est pas la satisfaction d’un besoin mais seulement le moyen de satisfaire des besoins

il se rend compte qu'en fait il est vieux et flétri *ce qu'il décrit dans la derniere partie *il se fait horreur à lui meme * Peur de la mort : ontologique > c’est l’essence des hommes PROBLEMATIQUE : comment le processus de mortification traduit-il la peur de la mort ? I – L’HOMME PENETRE DANS LE TOMBEAU II – CEREMONIE FUNERAIRE III – PRISE DE CONSCIENCE PAR L’HOMME DE SON ETAT DE MORT * Utilisation d’anaphores « tout à » / « un homme » * Tout a reprendre. Tout

décors dans les églises, simplicité dans la vie quotidienne, travail manuel. Cet ordre a beaucoup de succès au xiie siècle, ce qui est représentatif de l'esprit du temps. Bernard de Fontaines, dont la spiritualité se base sur l'austérité et la mortification, fonde l'abbaye de Clairvaux en 1115. • Mais ces grands ordres monastiques deviennent peu à peu de grands propriétaires terriens et s'éloignent de leur vocation des débuts (y compris les cisterciens). Ils ont des seigneuries, perçoivent la dîme

religieux. Cinq "prêtres" qui vivaient dans la même communauté que lui, furent séduit par son enseignement et la clarté de ses leçons. Ce sera ses plus fidèles disciples. Siddhârta et eux se soumirent, durant plusieurs années, aux austérités et aux mortifications. Et durant six ans de privations, de souffrance inouïes et de jeunes accablants. Ses cinq disciples lui étaient resté fidèles et l'avait imité durant cette période de jeune. Mais furent horrifié de sa faiblesse et l'abandonnèrent pour s'en aller

fondements de l’ascétisme religieux ; le calvinisme, le piétisme, le méthodisme et les sectes baptistes, mais tout d’abord définissons l’Ascétisme : Genre de vie religieuse des ascètes, ensembles de pratiques ascétiques : austérité, jeune, macération, mortification, pénitence, privation. C’est une doctrine de perfectionnement moral fondée sur la lutte contre les exigences du corps. Le Calvinisme : Le dogme fondamental du calvinisme est celui de la prédestination. Celui-ci marque son opposition radicale

dans lequel les hommes rencontrent la garantie de leur avenir est le passé qui se manifeste inverti dans la répétition. Cette répétition d'élection forcée ouvre un temps éthique où les fantasmes qui trament la vérité du sujet sont convoqués. La mortification apparaît comme réponse du réel et annoce l'entrée dans la zone de l'entre-deux. Il s'agit du "entré vivant dans la mort" que nous rencontrons dans Antigone. Elle avertit Creontes qu'il n'y a pas besoin de tuer deux fois un mort. Cette dimension

porte déjà dans le monde. Orgon raconte sa rencontre à l’église avec un Tartuffe qui feint l’humilité. Plus tard, on voit apparaître sur scène un Tartuffe qui, apercevant Dorine, ordonne à son valet de resserrer sa discipline (ostentation d’une mortification du corps que les vrais dévots tenaient secrète). Tartuffe joue de ses airs et de ses discours. Mais son attitude le démasque. Ainsi Dorine raconte comment, gros et gras, il mange comme six. On le voit se traîner aux pieds d’Orgon pour qu’il pardonne

décors dans les églises, simplicité dans la vie quotidienne, travail manuel. Cet ordre a beaucoup de succès au xiie siècle, ce qui est représentatif de l'esprit du temps. Bernard de Fontaines, dont la spiritualité se base sur l'austérité et la mortification, fonde l'abbaye de Clairvaux en 1115. • Mais ces grands ordres monastiques deviennent peu à peu de grands propriétaires terriens et s'éloignent de leur vocation des débuts (y compris les cisterciens). Ils ont des seigneuries, perçoivent la dîme

dans le canal rachidien situé au centre de la colonne vertébrale. o Mono – arthrite : inflammation localisée à une articulation. o Myalgie : douleur musculaire. o Myasthénie : tendance excessive à la fatigue musculaire. Lettre N : o Nécrose : mortification des os et des cartilages. S’étend aussi aux tissus. o Nerf crural : nerf allant de la région lombaire à la face antérieure de la cuisse et de la jambe commandant les muscles du genou. o Nerf sciatique : nerf allant de la région lombaire à la face