Mosquée Hassan II

l’architecture du pays. La plupart des monuments célèbres sont religieux (mosquées, medersa, mausolées...) l’accès en est interdit aux non musulmans depuis un décret datant de l’époque de… Lyautey. L’architecture musulmane ne s’extériorise pas comme en Occident, toute la richesse est généralement à l'abri des regards de la rue. On conseillera au touriste féru d’architecture islamique d’aller plutôt visiter la grande Mosquée de Damas ou la mosquée Bleue d’Istanbul que de tenter d’apercevoir, à la dérobé, l’intérieur

jour: Visite de la ville de Casablanca. Petit déjeuner, puis début de la découverte de la ville de Casablanca en commençant par son ancienne médina ou vous trouverez de belles maisons qui côtoient les plus anciens monuments de Casablanca, dont la mosquée Dar El Makhzen, la Koubba de Sidi Bou Smara et la Skala. Puis direction la place des Nations Unies qui représente le centre de la ville nouvelle et fait le lien entre l'ancienne médina et la ville nouvelle. Puis admiration du tour d'Horloge construite

stade de Bouskoura a déménagé à Sidi Moumen. Sur plans, seulement, puisque le concours d’architecture vient d’être relancé. Grand spécialiste des effets d’annonce, Hassan II aura tout de même laissé une mosquée mégalomaniaque qui mit dix ans à se trouver un imam. Et encore, Qzabri ne fait le plein qu’un mois par an. Lié à la Grande Mosquée sur l’Océan, le serpent de mer de l’Avenue Royale continue de susciter les rumeurs les plus folles. Retrait de la CDG, menace d’expropriation de nouveaux quartiers

RAPPEL -21 juillet 1961 – 21 juillet 2011 ; il y a 50 ans, Achaykh Ibrâhîm ‘Abdoullâh NIASS dirigeait la « Prière du Vendredi » à la Mosquée de al-Azhar achCharîf. –Une première dans les annales de ce Masjid Jâmi‘ édifié entre 970 et 972 ; puisqu’auparavant, nous dit-on, aucun non-azhari ou résident-étranger ou hôte négro-africain n’eut l’honneur d’y livrer khoutbah et imâmah en Salâtoul Joumou‘ah. Non plus jusqu’à maintenant, nous dit-on encore ! Cheikh Ibrahim NIASS est monté au mythique minbar

/Agadir Azizia Angle Boulevard Hassan II et rue de la Jeunesse, Immeuble Tarik Noumou 80000 Agadir Tél : 05 28 29 90 80 Fax : 05 28 84 47 38 4/ Agadir Bouabid Lot N°5 Bd Abderrahim Bouabid et Bd El Hamra Quartier Industiel 80004 Agadir Tél : 05 28 23 42 00 Fax : 05 28 22 96 86 5/ Agadir Dcheira 596 Boulevard Bir Anzarane 80352 Dcheira-Province Inezgane Ait Melloul Tél : 05 28 27 90 00 Fax : 05 28 27 26 86 6/Agadir Feddya Imm Safa N°12, Avenue Hassan I, Cite Dakhla 80000 Agadir Tél

........................................................................ 7 II. Du pouvoir central à la décentralisation.................................................................... 8 II.1. Un ministère instable............................................................................................... 8 II.2. Les pouvoirs locaux dans le Crand Casablanca ..................................................... 9 II.3. Les autorisations d’urbanisme ..........................................

des cadres techniques appelés à édifier avec nous le Maroc et de supporter une partie des charges que nous assurons afin que nous puissions ensemble réaliser notre aspiration à la prospérité et au bien-être… » Discours de sa Majesté Le feu Roi Hassan II 29 Novembre 1976 Remerciement……………………………………………….………………………………………...... 4 Dédicace………………………………………………………………………………..……………........... 5 Introduction……………………………………………………………………………...……………… 6 Présentation de la ville de Meknès ……………………………………………

pour autant plus pluraliste, et en quoi le régime marocain se transforme-t-il ? Le 30 juillet 1999, Mohammed VI accédait au trône chérifien. Comme d’autres jeunes dirigeants arabes, Bachar el-Assad en Syrie et Abdallah II en Jordanie 11, il héritait du pouvoir de son père Hassan II qui, depuis 1961, dominait le Maroc. Une décennie plus tard, derrière le slogan d’un « nouveau concept de l’autorité 12 », puis d’une INDH érigée en « projet de règne » 13, la société marocaine a bel et bien refermé la

C’est dans ce cadre qu’il a, entre autre, reconstitué les modalités de l’émigration de la communauté juive, d’abord clandestine, organisée par le tout jeune Mossad, puis officialisée par ce qui fut sobrement appelé « l’accord de compromis » entre Hassan II et Israël.
 Ses liens déclarés avec Meir Amit, l’ancien patron du Mossad, lui ont certainement été très utiles.
 Bin-Nun répond aujourd’hui aux questions du Courrier d’Algérie Courrier d’Algérie : À quel moment la coopération officielle entre le

1960 et, après le décès de Mohamed V en 1961, passa une alliance avec les notables ruraux qui assurèrent le succès du référendum constitutionnel de décembre 1962 et des élections législatives (plus controversées) d’avril 1963. Le nouveau monarque, Hassan II, accorda aussi une place croissante dans le gouvernement à une armée qui s’imposait comme garante du nouvel équilibre, réprimant les émeutes urbaines (en particulier celle de Casablanca, en mars 1965), décapitant la gauche (enlèvement et assassinat