Motoneurone

La phase de contraction iso ou aniso commence quand il y a interaction , mais n’est pas forcement liée a raccourcissement Relâchement musculaire 2- les muscles squelettiques 2.9 La jonction neuromusculaire Unité motrice Unité motrice: un motoneurone + toutes les fibres musculaires qui lui sont reliées. Le nombre de fibres musculaires par unité motrice varie de 4 à plusieurs centaines Rq: Les muscles qui contrôlent les mouvements “fins” (yeux, doigts) possèdent de petites unités motrices

emprunte la voie pyramidale jusqu’à l’étage médullaire. Cependant, cette activité de la commande motrice est soumise à de nombreuses régulations à l’étage cérébral et à partir de l’étage médullaire. L’ensemble des ordres moteurs convergent vers les motoneurones et le point ultime de la commande nerveuse se situe au niveau de la jonction neuromusculaire. Cette description des multiples lieux de régulation de la motricité volontaire a pour but de mettre en évidence le fait que l’ordre moteur nerveux puisse

paravertébraux La MV, (++ si à grand bras de levier) étire les muscles paravertébraux (phase de mise en tension) → relâchement controlatéral. L’étirement d’un fléchisseur inhibe les motoneurones des antagonistes (ex : M. psoas lors MV lombaire ou sacro iliaque est suivi de l’atténuation à court terme de l’activité des motoneurones α avec diminution de l’amplitude du reflexe H du nerf tibial) Il existe également une contraction réflexe qui succède rapidement à l’étirement manipulatif et qui pourrait faire

dendrites (multiples et courts) un axone (unique et long) Les prolongements cytoplasmiques (axone et dendrites) = neurites Elara Moudilou SHS L1 2009-2010 7 I.2.1- Le corps cellulaire Taille variable de 5 µm (grains du cervelet) à 50 µm (motoneurones) Centre métabolique du neurone (synthèse des constituants nécessaire au fonctionnement et renouvellement du neurone ex: neuromédiateurs, protéines, phospholipides) Indispensable à la vie du neurone Un noyau volumineux et central avec un gros nucléole

propriorécepteurs, appelés les fuseaux neuromusculaires, situés à l’intérieur du muscle. - L’axone du neurone sensitif provenant du fuseau dans la zone somato-motrice de la substance grise où il fait directement synapse avec un motoneurone alpha. - Le motoneurone alpha transmet l’influx au muscle strié d’où provient la stimulation et celui-ci se contracte. - C’est un réflexe monosynaptique car le neurone sensitif fait directement synapse avec le neurone moteur. - C’est un réflexe homolatéral

véhiculant les informations sensorielles primaires. Aire de projection motrice : région du cortex cérébral où se trouvent les neurones moteurs primaires. Ce sont des neurones pyramidaux dont les axones se projettent sur (font synapse avec) les motoneurones alpha de la corne antérieure de la moelle épinière qui commandent la contraction des muscles volontaires. Aire prémotrice : aire corticale située dans le cortex frontal (en avant de la circonvolution frontale ascendante) chargée notamment de

des neurones sensoriels qui relient la périphérie aux centres nerveux en empruntant les nerfs périphériques et en rentrant dans la moelle épinière par la racine dorsale. La corne ventrale contient les corps cellulaires des neurones moteurs (motoneurone) dont les axones vont sortir de la moelle épinière par des racines ventrales pour rejoindre le nerf et se terminer au niveau des muscles. La substance blanche est une voie de conduction des messages nerveux, elle est blanche car elle est myélinisée

droite/gauche, une dorsale/ventrale et enfin un « papillon » ou « H » de substance grise avec : Au centre : la commissure grise En avant : les cornes antérieures qui sont motrices et dérivent de la lame basale. On y retrouve les noyaux moteurs des motoneurones alpha En arrière : les cornes postérieures avec les noyaux sensitifs de la moelle. En position intermédiaire : on retrouve la partie végétative de la moelle avec les noyaux végétatifs. -Cet axe gris est entouré de substance blanche présentant

meilleure compréhension des mécanismes expliqués ci-après. Introduction Les effets physiologiques des étirements sur les muscles et les tendons (ou système musculo-tendineux) peuvent se résumer à deux choses : (*) diminution de l'activation des motoneurones (baisse du tonus musculaire mais aussi de la possibilité d'activer les muscles) et (**) diminution de la raideur du complexe anatomique musculo-tendineux (plus grande facilité à allonger le muscle et les tendons et donc moins grande résistance

motrice comprend l’ensemble formé par un motoneurone, son axone moteur ainsi que des fibres innervées par celui-ci (Duchateau, 1992). Au sein d’une même UM, des fibres sont de type homogène ; c'est-à-dire qu’elles appartiennent à une même catégorie ; soit au type slow twitch (ou type 1), soit au type fast twitch (ou type 2) (Duchateau, 1992). Les fibres appartenant à une même UM répondent toutes simultanément lors d’un stimulus appliqué au niveau de leur motoneurone ou le long de leur axone. 1.3.1.