Mouammar Kadhafi

aujourd'hui montre bien la victoire quasitotale de la vision pro-Jérusalem au sein de l'Islam. Cependant, quelques déclarations ponctuelles continuent d'apparaître ça et là. Lors d'une rencontre au sommet des dirigeants arabes en mars 2001, Mouammar Kadhafi se moqua de l'obsession de ses collègues relatives à la Mosquée Al-Aqsa. «Au diable cette mosquée!» a-t-il fait dire par ses délégués. «Que vous régliez la question ou pas, ce n'est jamais qu'une mosquée, et je peux prier n'importe où.»

aussi « révolution de Jasmin » – marque le début d’une série de soulèvements populaires contre les pouvoirs en place dans le monde arabe. En février 2011, Hosni Moubarak est destitué en Égypte après plus de 30 ans au pouvoir. En Libye, Mouammar Kadhafi est destitué à l’été 2011. Par analogie avec l’année 1848, ce phénomène a été appelé le « prin- temps arabe ». La Tunisie ayant déclenché cet effet domino, elle a depuis 2011 un rôle symbolique par- ticulier. 2. Les similitudes avec le tableau

2 (2009), p. 160. Mettre en œuvre l’architecture de paix et de sécurité (I) : l’Afrique centrale Rapport Afrique de Crisis Group N°181, 7 novembre 2011 Page 7 hélo-sahariens (CEN-SAD),40 une initiative de l’ancien président libyen Mouammar Kadhafi, qui a déployé environ 300 soldats de Libye, du Soudan et de Djibouti en décembre 2001 pour sécuriser Bangui. En octobre 2002, les chefs d’Etat des six membres de la CEMAC ont décidé d’envoyer une force régionale de maintien de la paix à Bangui

aimant. Il attirait les gens et ensuite s’en débarrassait. Au mois d’août, je me rendis aux Etats-Unis, sur invitation du Président Ronald Reagan. C’était à une période où ce pays me poussait à prendre la présidence de l’OUA, pour éviter que Kadhafi ne prenne en main l’organisation continentale, après le mandat de Daniel Arap Moï, Président du Kenya. 183 -Durant cette visite, l’Université de Georgetown me fit l’honneur de m’offrir le titre de Docteur Honoris Causa. D’autres Universités

attentat qui cause la mort de 170 passagers. Très vite, l’enquête permet de révéler l’implication de l’État libyen. Suites à ces révélations, l’association S.O.S. Attentats, représentant les familles des victimes, décide de porter plainte contre Mouammar Kadhafi, à l’époque chef de l’État libyen. Après avoir épuisé toutes les voies judiciaires ordinaires, l’association interjette un recours devant la Cour de Cassation française qui décidera le 13 mars 2001 de ne pas accueillir le recours au motif que

gaz et du pétrole [149] et développe Sonatrach. Cette nationalisation suscite une onde de choc dont les effets se font sentir au niveau international, notamment sur le prix du pétrole. L'Algérie de Boumediène influence le jeune colonel libyen Mouammar Kadhafi et le vice-président irakien Saddam Hussein, qui nationalisent à leur tour le secteur des hydrocarbures, provoquant à l'occasion le premier choc pétrolier survenu en 1973[150]. Le secteur de l'agriculture est modifié par plusieurs réformes dont

guerres civiles. Celles-ci voient des Etats africains violer la sacro-sainte règle de « la noningérence » établie par l’OUA. Ainsi, la Tanzanie de Julius Nyerere n’hésite pas à apporter son soutien aux rebelles ougandais, tandis que la Libye du colonel Kadhafi met à profit les rebondissements de la guerre civile au Tchad pour se mêler directement des affaires de son voisin. La mort aux Etats-Unis du Guinéen Sékou Touré (1984) sonne le glas d’une époque, sinon de deux époques, celle des partis uniques, mais

socios » propriétaires du club. Des modifications dans la stratégie du club ont été nécessaires pour que le club puisse recommencer à gagner. On peut aussi citer l’exemple du club de Pérouse encore une fois qui a engagé le fils du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi pour une durée de un an. Malgré le soutien financier que ce dernier a dû apporter, ce recrutement a mené à un lourd discrédit pour le club tant le joueur a été ridicule sur le terrain et surtout parce qu’il a été suspendu peu de temps après son

milices d’auto-défense parmi les Songhaïs. Pourtant, cette nouvelle éruption n’est pas comparable à celle des années 60, dans la mesure où elle implique bon nombre de rapatriés de Libye et d’Algérie, qui s’étaient enrôlés dans la Légion islamique de Kadhafi (dissoute en 1987) ou dans le Front Polisario, poussés par les famines des années 70 et 80. De retour au pays, ils ont recruté des jeunes sans emploi et formé des groupes mobiles, équipés de 4 x 4 et d’armes légères, pour harceler des symboles de

nigérien, Mahamadou Issoufou, annoncé pour la semaine prochaine. Les pays du Sahel — Algérie, Mali, Mauritanie et Niger — s'inquiètent de la circulation d'armes libyennes à la faveur du conflit qui a vu s'affronter pendant huit mois les forces de Mouammar Kadhafi et celles du CNT. Ils craignent que le trafic ne profite notamment à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), actif dans cette région. Les USA financent la croisade contre le Terrorisme au Mali Le journal du Mali .com le 1er Novembre 2011