Mourir Autrefois

problèmes morals : la conception de la vie y était différente de la nôtre. Une mauvaise vie n'était pas digne d'être vécue, c'est pourquoi euthanasie ne choquait pas en général. Il était même permis dans certaines circonstances d'aider un individu à mourir. Par exemple, l'infanticide était pratiqué sur les enfants qui manquaient de santé et de vigueur. Le point culminant de ces pratiques d'euthanasie fut pendant le Troisième Reich où plus de 100 000 "aliénés" et handicapés ont été assassinés, et encore

un Crâne d’Œuf à cause de son cancer. Lui, il sait qu’il va mourir et il pense que les adultes sont des lâches car aucun d’eux ne lui parle vraiment de sa mort, même pas le médecin. Il pense même que ses parents ont peur de lui depuis qu’ils savent qu’il va mourir. Il confond leur impuissance et leur tristesse avec de la lâcheté et de la peur. A l’hôpital il fait la connaissance de Mamie-Rose appelée la dame en Rose, catcheuse autrefois qui, elle, n'a peur de rien, ni de la mort, ni de la vérité

Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) Le golfe de Baya, près de Naples Vois-tu comme le flot paisible Sur le rivage vient mourir ! Vois-tu le volage zéphyr Rider, d'une haleine insensible, L'onde qu'il aime à parcourir ! Montons sur la barque légère Que ma main guide sans efforts, Et de ce golfe solitaire Rasons timidement les bords. Loin de nous déjà fuit la rive. Tandis que d'une main craintive Tu tiens le docile aviron, Courbé sur la rame bruyante Au sein de l'onde frémissante

étant un héros, son héros (« Ce prince » v.31). « Ce prince, dont mon cœur se faisait autrefois –Avec tant de plaisir redire les exploits » : le passé marqué par l’adverbe « autrefois » est associé à la joie d’où l’utilisation de « plaisir ». Hermione se forçait à croire que c’est Pyrrhus qui a cherché sa mort comme le souligne dans les vers 27 et 28, le participe passé « forcée » et les verbes « prévoir » et « mourir », mais se rappelant à quel point elle l’aime, elle se resaisit. Elle n’a pas fait

personnage "le lui montrant: ceci est un talisman" déictique (ceci) L'image de la pervenche souligne la métamorphose de la peau, à l'aspect autrefois métallique. "qui accomplit mes désirs et représente ma vie" proposition subordonné relative introduite par "qui" La scène est très théâtrale, dramatise l'exhibition de la peau de Raphael "si tu me regardes encore, je vais mourir" proposition hypothétique commence par "si" La scène est très théâtrale, dramatise l'exhibition de la peau de Raphael Balzac, romancier

morceaux, au bord du précipice à deux pas du grand saut. A deux pas du tombrau. Les cigarettes me brûlent. Et y'a plus d'ange ici. Et ça fait saigner mon coeur. Et ça fait saigner mon âme. Mais je peux plus dormir chaque nuit sans toi. Y'a plus qu'à mourir dans tes bras. Est-ce qu'on ouvrira les yeux demain ? Est ce qu'on se prend pour mieux s'oublier ? Est-ce qu'on aurait pu s'aimer mieux ? Mieux souffler les braises ? Entre nous deux, y'a plus que les flots et des crocs à nos rétines. Dis moi, est-ce

et marqué par l'âge. Il fait des efforts pour se délivrer. Sentiment pathétique parce qu'il avait une beauté éblouissante autrefois. Son vieil âge l'empêche d'être dans toute sa splendeur. Il a la nostalgie du passé et se reproche une faute, ne pas avoir abandonné cette région quand il en avait l'occasion.  Dans le premier tercet, on apprend que le cygne est en train de mourir sous le poids de la glace (agonie). Le reste de son corps est paralysé seul sa tête est libre. Mais son effort est voué à

I. INTRIGUE trois fausses pistes 1. -Désir de partir : pourquoi ? -retrouver son père faux v. 26 27 Thésée a disparu « Depuis plus de six mois éloigné de mon père, » v. 5 -fuir Phèdre  faux v.50 « Une femme mourante, et qui cherche à mourir ? Phèdre, atteinte d’un mal qu’elle s’obstine à taire, » v. 46 possible intrigue car Phèdre pers éponyme 2. Aveu fuir son amour  Ce qui occupe l’esprit d’Hyppolite, c’est l’« autre ennemie ».  => « Si je la haïssais, je ne la fuirais pas » >

œuvre littéraire les Rougon-Macquart. Celle-ci comprend 20 volumes, dont Nana le neuvième, dépeint le parcours d'une prostituée de luxe. Elle se comporte de façon peu scrupuleuse avec ses partenaires qu'elle ruine les uns après les autres et finit par mourir de la syphilis. Le texte extrait de l'oeuvre Nana, appartient au discours descriptif. L'accent est mis sur l'apparence maccabre de la défunte. La description du corps sans vie de Nana ne dépasse t-elle pas le traitement naturaliste ? Dans une

grâce à plusieurs personnages comme ses maitresses, mais notamment comme Charles Forestier. Dans le passage concerné, Duroy lui rend visite à Cannes lorsqu’il est sur le point de mourir, souffrant d’une maladie depuis longtemps. Forestier entretient une conversation avec sa femme et son ami ; il évoque sa peur de mourir et son regret, son angoisse de devoir les quitter. Cette scène met en avant la description de Duroy, qui dépeint l’aspect sombre et ténébreux du paysage perçu, ainsi que la douleur