Mucus

passe toute sa vie dans le sol (il est dit "terricole"), présente de nombreuses adaptations à ce milieu et à une vie fouisseuse : adaptations telles que forme du corps, disposition des muscles, spécialisation de la région buccale. Sa peau secrète un mucus, dont le rôle est double : lubrifier l'animal pour faciliter ses déplacements dans les galeries étroites, mais surtout maintenir sa peau continuellement humide pour permettre les échanges respiratoires. Il se nourrit en ingérant de la terre, dont il

battent et qui permettent d'entrainer le mucus et ainsi de protéger le tissu cellulaire des agressions chimiques ou microbiennes apportées par l'air respiré. La deuxième et la plus importante est appelée épithélium olfactif  ; dans cette muqueuse nous trouvons le neurone qui est une cellules nerveuses réceptrices de l'olfaction, les chémorécepteurs (ou chimiorécepteurs) qui constituent en grande partie notre appareil olfactif. Ces cellules sont recouvertes de mucus ou va se dissolver les mollécules odorantes

cellules glandulaire, glande exocrine, glande endocrine Spécialisation du pôle apical Microvillosités (MET) Cils vibratils (MEB) Rôle : Augmentation de la surface d’échange et de la capacité d’absorption, de transport Rôle : Mobilisation du mucus dans lequel se trouvent bactéries et poussières vers

partie est stockée, sous forme de glycogène, dans le foie et les muscles. Elle servira de réserve. Les glucides ont un rôle plastique. Ils rentrent dans la composition de tissus fondamentaux de l'organisme : les cartilages, les acides nucléïques, le mucus, les substances antigéniques . Les glucides sont les constituants organiques les plus abondants dans la matière vivante. On les trouvent principalement dans le derme qui contient les GAG (glycosaminoglycane). Apport énergétique : Dans un régime

l’odorat), où les récepteurs captent les odeurs de l'air. Ces récepteurs qui sont sous forme de poils (appelé cils), sont des cellules olfactives qui tapissent la membrane muqueuse. En ce point, les particules odorantes qui s'étaient dispersées dans le mucus (= qui est une fine couche de glaire recouvrant la muqueuse des fosses nasales), doivent se dissoudre dans la membrane muqueuse avant de pouvoir stimuler les cellules nerveuses. A la fin de cette étape, l'air atteint le bulbe olfactif où ses molécules

obstruction progressive des voies aériennes de petit calibre. Celle-ci est définie par une hyperconstriction des bronches ainsi qu’une hypersécrétion de mucus induisant donc de la toux et des expectorations . Ultibro Breezhaler : Indacatérol 85g + Glycopyrronium 43gClasse pharmacologiqueIndacatérol2 mimétique de longue

par une muqueuse comprenant un épithélium pseudostratifié cylindrique cilié (figure 5) riche en cellules caliciformes. Les cellules caliciformes assurent la production du mucus, substance collante piégeant la plupart des particules inhalées de plus de 2 µm. 4 ► Chapitre 1 Figure 5 Le mouvement ciliaire pousse le mucus vers le pharynx où il sera soit expectoré soit dégluti. Les voies respiratoires et notamment la trachée permettent le réchauffement, l’humidification et la filtration de

pathologie humaine autosomique récessive porteur sain: parent hétérozygote, à l’allèle mais ne l’exprime pas: allèle récessif) Mucoviscidose: 1 cas sur 2000 naissances. Le mucus n’est alors pas «normal» le gène de la protéine canal muté: ne fonctionne plus: plus de sortie d’ion chlorure: plus de sortie d’ion: le mucus s’accumule car il ne peut pas remonter. Les talacemies: Touchent l’hémoglobine qui n’est pas normal. Soit mutation des alphas ou beta globines. Ces personnes ont des hémoglobines

dont les symptômes principaux concernent des difficultés respiratoires et digestives. Cette maladie est due à la mutation du gène CFTR, qui code pour une protéine CFTR. L’absence de protéine CFTR fonctionnelle conduit à la production excessive de mucus anormalement visqueux. 2) L’évaluation du risque de transmission : les arbres généalogiques L’allèle muté est présent chez une personne sur 40 en France. Cet allèle est récessif, seul les individus homozygotes pour ce gène développent la maladie

nourriture, grand froid, déshydratation, etc), notre organisme va donc commencer à se couvrir d’une enveloppe en s’aidant de matériaux entourant l’individuel pour le protéger de ces mauvaises conditions. Ces enveloppes résistantes sont souvent des mucus (différentes substance visqueuses solubles dans l’eau). Giarda *² : premier parasite intestinal découvert en 1681 Les maladies que l’on peut attraper qui se trouve dans l’eau sont majoritairement dues aux déchets industriels, aux déchets des