Mumbai Bidonville

population totale. Cette très forte croissance est appelée explosion urbaine pour souligner l’aspect rapide et massif du phénomène. De ce fait, cela pose de graves problèmes que les municipalités n’arrivent pas à résoudre : logement (développement des bidonvilles), insécurité, manque d’équipements (de santé, scolaires...). L’explosion urbaine crée également des déséquilibres à l’échelle du pays, entre les villes et les campagnes, ou entre les villes elles-mêmes. L’urbanisation constitue un enjeu majeur

handicapées et à mobilité réduite. Alors que les fermes urbaines peuvent offrir aux citoyens français des aliments frais et nutritifs, à l'autre bout du monde des citadins innovants utilisent également l'agriculture urbaine. A Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi, au Kenya, plus de 1 000 agriculteurs, la plupart des femmes, ont commencé à cultiver des légumes hors du sol avec des sacs rempli de terre. Ces jardins verticaux à Kibera sont un exemple de réussite durable et d'innovations agricoles

croître de façon exponentielle, on y voit un étalement urbain, sans beaucoup de moyens, pouvant conduire à une « planète des bidonvilles ». Cf Carte « les métropoles, territoires dominants de la mondialisation » Problématique de la carte : Croissance des villes au Sud, peut-on connaître un phénomène d'expansion des bidonvilles ? Pour l'ONU, les critères d'un bidonville (habitat précaire) sont : - l'absence d'un titre de propriété - l'absence d'infrastructures (ce qui accompagne normalement

vivent dans les villes petites et moyennes. La population urbaine représente 15% de la pop totale en 1950, 40% aujourd'hui, et plus de 60% vers 2050. 1. Les limites de la croissance urbaine (doc 3 p 257) Les bidonvilles sont en plein essor : Kibera, près de Nairobi, est le plus grand bidonville d'Afrique de l'Est : 1 M de personnes sur 4 km2. il cumule tous les critères du mal développement : espérance de vie 35 ans, absence d'eau courante et de réseau d'assainissement, routes non bitumées. La pression

urbaine augmente plus vite que les capacités d'accueil et les constructions d'infrastructures. La pauvreté est alors de plus en plus présente, la moitié de la population vit dans des conditions de pauvreté extrême. On voit de plus en plus de bidonvilles, et même aux pieds d'immeubles géants, faute d'équipements, de logements décents et du manque de travail. L'extension de la ville se fait parfois au détriment des réserves naturelles, défrichages de forêts, pollution de l'eau à cause des activités

partie de la population vit dans des caves, des parkings, des campings ou encore des placards comme pour l'homme dont nous vous avons parlé qui sont, le plus souvent, des personnes ayant perdu leur emploi. Mais revient aussi des constructions de bidonvilles la plus part du temps avec des migrants chassés de leurs pays pour qui leur ultime chance est de s'installer en France. De plus, Un logement est considéré comme confortable s’il dispose d’une salle d’eau, d’un WC intérieur et d’un système de chauffage

échantillonnage de bidonvilles marocains par D r Maria Graeff Wassink Conseiller technique à la F M V J Établissements humains et environnement socio-culturel UNESCO P L A N INTRODUCTION CHAPITRE I : Méthodologie de l'enquête CHAPITRE II : Les résultats de l'enquête CHAPITRE III : Description des quartiers CHAPITRE Analyse des groupes de population IV CONCLUSIONS : ENQUETE SOCIO-ECONOMIQUE SUR UN ECHANTILLONNAGE DE BIDONVILLES MAROCAINS

l'économie et les compétences pour l'artisanat local et traditionnel et augmente les bidonvilles : travailleurs dans les villes mais pauvres qui s'installent aux marges de la ville. - bidonvilles : la plus forte croissance de bidonvilles dans le monde entre 1990 et 2001, de 59 à 64% d'urbains dans bidonvilles => aujourd'hui, la moitié de la population de Bombay, Calcutta et New Delhi habitent dans des bidonvilles. Fossé qui se creusent donc avec les classes moyennes au revenu moyen de 1500 $

situer en dessous du niveau de pauvreté chaque année » (http://fr.wikipedia.org/wiki/Économie_de_Haiti) En Haïti, par exemple, le taux de mortalité pour les moins de cinq ans est de 15 pour 1000 dans la zone la plus riche de la ville. Dans les bidonvilles de la même ville, le taux est de 254 pour 1000.« Les taux élevés de mortalités maternels et infantiles indiquent souvent un manque d’accès aux soins basiques de santé primaire tels que des installations sanitaires, une eau propre, une immunisation

groupe à l'autre, il regarde et il écoute. Il apporte au cœur de l'exil sa ferveur et son espérance. Peu à peu, les cortèges arrivent de plus en plus nombreux dans la vallée de Saguiet el Hamra. Les campements s'étendent, comme feront plus tard les bidonvilles autour des métropoles. Les hommes sont pleins de colère, ils veulent entreprendre derrière leur cheikh une guerre sainte contre l'envahisseur. Ils ont « le regard vide et brillant de fièvre et de folie ». En face d'eux, Nour fait l'apprentissage