Muqaddima

Chöl Bayawan, Ötang Bayawan (également appelé Ongamet), Hudek Bayawan, Dugamet Bayawan, Bom Bayawan, Sim Bayawan et Jula qui est toujours joué en dernier. Chaque suite se compose de quatre ou cinq parties qui sont enchaînées sans interruption : muqaddima, introduction vocale non mesurée ; chikitma, pièce en 6/4 ; sanam,pièce en 4/4 ; saliqa, pièce en 4/4 ; serilma, en 4/4 ou 5/8. Pendant l’exécution, les chanteurs et les musiciens bénéficient d’une grande latitude d’interprétation

différentes écoles juridiques. Ce processus de construction du droit musulman est remarquablement décrit par Ibn Khaldoun (m. 1406), grand voyageur, pieux savant, qui posera les prémisses des sciences sociales. Il s’interroge dans son œuvre majeure, les Muqaddima, sur la question des différences dans le droit musulman. Il en fait l’histoire et en identifie les causes. Ainsi, constate-t-il, « les premiers musulmans puisèrent leurs lois dans des indications (adilla) avec d’inévitables différences », car elles

de la science économique. Raisonnant dans le cadre du droit naturel ils préfigurent l'économie moderne dans le domaine de la politique monétaire, de l'intérêt, et la théorie de la valeur dans le cadre du droit naturel[7]. Après avoir découvert le Muqaddima, Schumpeter vit en Ibn Khaldoun le plus proche précurseur de l'économie moderne[8], même si la plupart de ses théories économiques ne furent connues en Europe qu'à une époque relativement récente[9]. Un auteur, L. K. Jha, voit dans la pensée du

sont aussi inspirés pour tout ce qui concerne leur conduite, leurs propos et pour tout ce qui n’est pas écritures saintes. La révélation doit être transmise aux gens alors que l’inspiration peut ne pas l’être. Enfin , note Ibn Khaldoun dans la Muqaddima ; la révélation surprenait les prophètes : ni Moussa (Moïse) ne s’attendait à recevoir la Thora près du « buisson ardent » ,ni Aïssa (Jésus) ne s’attendait à recevoir la « Bonne Nouvelle », ni Mohammed n’avait pris rendez-vous avec l’ange Jibril

la fin du 14ème au 17ème siècle comme étant les fondateurs les plus proches de la science économique. Ceci pour ce qui est de la politique monétaire, l'intérêt, et la théorie de la valeur dans le cadre du droit naturel6. Après avoir découvert le Muqaddima, Schumpeter vit en Ibn Khaldoun, le plus proche ancêtre de l'économie moderne7, tandis que beaucoup de ses théories économiques ne sont pas connus en Europe jusqu'à une époque relativement moderne8. Néanmoins, des recherches récentes indiquent que

son autobiographie la perte de plusieurs membres de sa famille dont sa mère en 1348 et son père en 1349, de ses amis et de ses professeurs à cause de la peste. Plus tard, Ibn Khaldoun évoque à plusieurs reprises ces événements tragiques, notamment dans la Muqaddima(traduite en Prolégomènes)15 : « Une peste terrible vint fondre sur les peuples de l'Orient et de l'Occident ; elle maltraita cruellement les nations, emporta une grande partie de cette génération, entraîna et détruisit les plus beaux résultats de

Siècle éclairé. La modernité est à la fois tributaire et moteur du progrès. Et c’est donc dans la vie de la cité que la modernité évolue. La cité étant elle-même le pur produit de cette évolution de l’homme. Ibn Kkaldoun explique dans sa fameuse Muqaddima, que partout où il y a groupement d’hommes, ceux-ci s’activent pour améliorer leur vie, et le phénomène grandissant, ils finissent par bâtir des villes prospères, qui attirent de plus en plus de gens croyant y trouver de la richesse, mais c’est en

Ibn KhaldÛnUn pédagogue intemporel Sciences de l’éducation 1332 -1406 « Quant à nous, Dieu nous a favorisé de Son inspiration. Il nous a fait découvrir une science dont Il nous a fait l'interprète sincère et exact. Si j'ai pu exposer toutes les questions de cette science et distinguer ses points de vue et ses objectifs de ceux de toutes les autres disciplines, c'est grâce à l'aide et à la bonne direction de Dieu. Si j'ai omis un point quelconque, ou si j'ai confondu certains de ses problèmes

khaldounienne, elle se base sur le concept d’Al Assabiyya (esprit de clan/solidarité du groupe tribal) tel qu’il a été développé par le célèbre historien et sociologue Abd Ar-Rahman Ibn Muhammed Ibn Khaldoun [1332-1406] dans son ouvrage classique (Al- Muqaddima), (Ibn Khaldoun, traduction de Vincent Monteil, 1967-1968). A quoi, il faudra ajouter les travaux considérables de trois grands intellectuels marocains contemporains, il s’agit en l’occurrence de trois majeures contributions scientifiques complémentaires

autobiographie la perte de plusieurs membres de sa famille dont sa mère en 1348 et son père en 1349, de ses amis et de ses professeurs à cause de la peste. Plus tard, Ibn Khaldoun évoque à plusieurs reprises ces événements tragiques, notamment dans la Muqaddima (traduite en Prolégomènes)[14] : « Une peste terrible vint fondre sur les peuples de l'Orient et de l'Occident ; elle maltraita cruellement les nations, emporta une grande partie de cette génération, entraîna et détruisit les plus beaux résultats