Mur des Lamentations

Etats-Unis refusent. Alors, dans la nuit du 12 au 13 août 1961, la RDA entreprend la construction d’un mur qui rend impossible la libre circulation entre les deux parties de la ville (Berlin Est et Berlin Ouest). Par conséquent, l’hémorragie de réfugiés de l’Est, cherchant à l’Ouest une vie meilleure, cesse. Les Occidentaux condamnent cette entreprise qu’ils qualifient de « mur de la honte ». Ce mur matérialise la coupure de l’Europe en deux et donc la bipolarisation du monde. La crise des fusées de

discerner ce qui est bien et ce qui est mal. Pour qu’un bébé devienne grand, il passe à travers de rudes épreuves. Ses pieds n’étant pas encore solides, il éprouve de sérieuses difficultés à marcher. Tantôt il culbute, se renverse, cogne la tête au mur, sur le sol, ou encore sur une pierre. Il lui arrive même de cogner la bouche contre un meuble, et la lèvre esquintée laisse jaillir du sang. Tout ceci contribue à sa solidité. D’autres fois son ami lui assène de méchants coups de poing, à la bouche

Gauvain s’éleva : Fonçons ! Puis le cri de Lantenac : Faites ferme contre l’ennemi ! Puis le cri de l’Imânus : A moi les Mainiaux ! Puis des cliquetis, sabres contre sabres, et, coup sur coup, d’effroyables décharges tuant tout. La torche accrochée au mur éclairait vaguement toute cette épouvante. Victor Hugo, Quatre-vingt-treize, troisième partie, IV, 9. Relevez trois mots appartenant au champ lexical du bruit. * Comment V. Hugo rend-il son récit vivant ? Quel type de phrase utilise-t-il ?

réveilla, et ne vit personne. La pendule sonna un quart, on aurait dit un soupir. Les pulsations du balancier ressemblaient au cœur d’une personne émue. Un coup de vent fit battre les volets et ployer la vitre, la tapisserie s’agita. Omphale se détacha du mur et sauta sur le parquet, elle commença à lui parler. Elle dit qu’elle est la marquise de *** et quelque temps après son mariage, le marquis fit faire cette tapisserie pour son appartement et l’a fit représenter sous le costume d’Omphale, lui-même y

religion tolérée (IVè s.) ; religion dominante, d’Etat (fin IVè s. - …) - 6 ou – 4 : naissance de Jésus-Christ, qui meurt autour de 30 70 : destruction du temple juif de Jérusalem par le Romains, à la suite d’une révolte : il ne reste que le Mur des Lamentations 177 : martyre des chrétiens de Lyon 313 : Edit de Constantin : toutes religions autorisées (depuis 311), christianisme favorisé 392 : Edit de Théodose : interdiction des cultes païens ; christianisme, seule religion autorisée 476 : fin de l’empire

aussi désagréable que celle qu’il ressentit à sa première vue. Elle fixa d’abord en entrant un regard étincelant sur lui, puis elle baissa les yeux et s’excusa de sa visite dans des termes presque humiliants pour elle-même. — Elle se confondit en lamentations sur l’inimitié que lui avait témoignée toute sa vie le père du comte, imbu contre elle des préventions le plus extraordinaires , accréditées par la haine de ses ennemis, et se plaignit de ce que, malgré la profonde misère qui l’avait accablée et

langue dans un cadre national et laïcisé ; reconstruction d’une histoire nationale ancienne à partir d’une mythologie religieuse (la bible) ; reconstruction de lieux religieux (issus en fait du symbolisme musulman) comme symboles nationaux (le mur des lamentations par exemple) (sur ces éléments, voir par exemple : Alain Dieckoff, L’invention d’une nation. Israël et la modernité politique, éd° Gallimard, 1993 ; les ouvrages d’universitaires israéliens comme Israël Finkelstein et Neil Asher Silberman,

surtout : « M. Marescot arrivait [...] couvert d’un bon paletot, ses grandes pattes fourrées dans des gants de laine ; et il avait toujours le mot d’expulsion à la bouche, pendant que la neige tombait dehors.[...] Dans la maison entière, [...] une lamentation montait. On pleurait à tous les étages. [...] Un vrai jour du jugement dernier, la fin des fins, la vie impossible, l’écrasement du pauvre monde. La femme du troisième allait faire huit jours au coin de la rue Belhomme. Un ouvrier, le maçon du cinquième

grands vases -ils mesurent plus d’un mètre de haut, parfois même 1,50 m.- qui servaient à signaler l’emplacement d’une tombe. Ils sont donc décorés de scènes funéraires. On peut y voir notamment l’exposition du défunt sur son lit, au milieu des lamentations de ses proches. Le dessin obéit aux mêmes canons géométriques que le reste de la décoration : le buste de tous les personnages forme un triangle noir reposant sur la pointe et les bras des pleureurs et des pleureuses prolongent les côtés de ce

mangé toute sa vie le pain trempé de sang des réquisitoires, se composa tout à coup un air piteux et attesta les dieux qu’il était indigné de la guillotine. Pendant deux jours la tribune ne désemplit pas de harangueurs en pleureuses. Ce fut une lamentation, une myriologie, un concert de psaumes lugubres, un Super flumina Babylonis, un Stabat mater dolorosa, une grande symphonie en ut, avec chœurs, exécutée par tout cet orchestre d’orateurs qui gar- –9– nit les premiers bancs de la Chambre,