Mur-rideau

 La chambre en départ PHASES ACTION POURQUOI ? PRÉPARER Placer son chariot Positionner le chariot et l'aspirateur le long du mur (ou devant la porte de la chambre) Pour ne pas gêner Pour éviter les allées et venues Entrer dans la chambre Respecter les signalisations "Ne pas déranger" Afin de respecter le souhait du client Vérifier le numéro, frapper ou sonner à la porte de la chambre Pour vérifier que la chambre soit libre Vérifier le n° de la chambre Pour signaler tout

soit il hésite), dès ses premiers mots. → De plus, ce processus qui a du mal à s’enclencher, avorte presque : Hamm, cette vie qui s’éveille à peine, encore toute engourdie menace dès son premier monologue de retourner à l’immobilité du « Lever de rideau » (page 16). Mais il se ravise au dernier moment (page 18). Les deux personnages entretiennent donc un rapport au temps extrêmement complexe, qui dénote une angoisse ; angoisse face à la mort. Enclencher le processus de la fin, c’est agir, mais

droite, sur un pan coupé, une autre porte donnant dans les appartements extérieurs. Au fond, de grandes fenêtres ouvertes. C'est l'après-midi d'une belle journée d'été. Grande table. Fauteuils. Une figure de sainte, richement enchâssée, est adossée au mur ; au bas on lit : Santa Maria Esclava. Au côté opposé est une madone devant laquelle brûle une lampe d'or. Près de la madone, un portrait en pied du roi Charles II. ACTE III : RUY BLAS. La salle dite salle de gouvernement, dans le palais du roi à Madrid

voilà comme le pou sur ses pieds de derrière parce que tu as épousé un Parisien. Et quand je dis un Parisien… Les vrais Parisiens d’origine ont moins de caractère dans la physionomie. On dirait que Paris les efface ! Elle s’interrompait, levait le rideau de tulle qui voilait la fenêtre : – Ah ! voici Mlle Thévenin qui promène en triomphe, dans toutes les rues, sa cousine de Paris. Elle n’a pas besoin de le dire, que cette dame Quériot vient de Paris : beaucoup de seins, les pieds petits, et des chevilles

protégés, sur un des longs côtés, par deux rideaux coulissants sur une tringle. La diffusion des tentures est manifeste au cours du XIIIe siècle. Aux XIIIe et XIVe siècles, ces deux rideaux latéraux peuvent être quelquefois remplacés par un seul rideau, surtout en France et en Italie. À la même époque, en Italie et en France du Sud, la majorité des lits, du moins en milieu aisé, sont protégés sur leurs deux longs côtés par des rideaux suspendus à des tringles nettement visibles, proches du plafond

les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur ; Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins

banquette, une de ces grandes papeteries anglaises, montées sur pieds en forme de X, qui, fermées, ne tiennent pas plus de place qu’un épais carton à dessin et, ouvertes, forment tables, avec, à l’intérieur, tout ce qu’il faut pour écrire. Au lever du rideau, ce meuble est fermé. Au milieu de la scène, à gauche, non loin de la banquette et au-dessus d’elle, un petit canapé au dossier d’acajou ajouré, placé de biais et dos au public. Lui faisant vis-à-vis, au-dessus de la banquette, une petite table de

les cheveux des anses, Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N'auraient pas repêché la carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur ; Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins

triste et doux chuchotement. Leur front se penche, encore alourdi par le rêve, Sous le long rideau blanc qui tremble et se soulève… - Au dehors les oiseaux se rapprochent frileux ; Leur aile s'engourdit sous le ton gris des cieux ; Et la nouvelle Année, à la suite brumeuse, Laissant traîner les plis de sa robe neigeuse, Sourit avec des pleurs, et chante en grelottant… II Or les petits enfants, sous le rideau flottant, Parlent bas comme on fait dans une nuit obscure. Ils écoutent, pensifs, comme un

tabouret, écrase son atonie – d’un bâillement, elle avalerait le monde – tandis que Mishima descend le rideau de fer et commence à éteindre quelques tubes au néon. La mère ouvre un tiroir sous la caisse enregistreuse et sort, d’un carnet de commandes, deux feuilles de papier qu’elle déplie : — Regarde ce dessin de Marilyn comme il est sombre et celui-là, de Vincent : des barreaux devant un mur de briques ! Là, je dis oui. Voilà un garçon qui a compris quelque chose à l’existence !… Ce pauvre anorexique