Muse Relation Poète

début de la Première Guerre mondiale : il devient alors infirmier militaire. Si les premiers poèmes d'Éluard sont encore influencés par la littérature de Jules Romains, ils révèlent surtout les sentiments d'horreur et de pitié qu'ont pu inspirer à un poète désormais en quête de pacifisme les spectacles quotidiens de la guerre (le Devoir et l'Inquiétude, 1917); Poèmes pour la paix, 1918). En 1919, il s'engage sans réserve dans les activités du groupe surréaliste et sur la voie de l'expérimentation

Alexandrina MUSTATEA Université Ovidius de PITESTI Roumanie Les instances de l’énonciation poétique Conçu comme énoncé global, dans une vision pragmatique externe, qui envisagerait le texte dans ses relations textuelles, extratextuelles et transtextuelles, ou comme ensemble organisé d’énoncés, dans une vision pragmatique interne, supposée rendre compte des phénomènes pragmatiques ponctuels, le texte littéraire est le produit d’un acte d’énonciation, qui implique l’existence d’instances et de

pour la ville de Paris pendant les grand travaux du Second Empire (« Je t’aime, ô capitale infâme !, débauches…») ce qu’il résume à la fin par le terme « boue » : « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or ». Dans le rôle d’un alchimiste, le poète opère ainsi une transmutation de la boue, une réalité déplorable, en un or poétique. Cette citation de l’épilogue détermine-t-elle l’un des principaux sujets de la poésie Baudelairienne dans les Fleurs du Mal ? Nous verrons

| |Thèmes | |Aube comme la création poétique( muse : inspiration | | | |Structure du passage :

ses yeux. Novembre 1846, jour des Morts. Victor Hugo, Les Contemplations, Livre Quatrième, "Pauca meae", V INTRODUCTION Hugo dédie ce poème à sa fille Léopoldine qui s’est noyée accidentellement en 1843, à l’âge de 19 ans. Le poète idéalise une relation père fille de type très affectif. Le père est un « cœur » : il pardonne voire le dominé, il est accessible, il est le « petit père », il n’est pas le Dieu tout puissant inaccessible. Ici, le père est le cerveau, le Savoir, il le coeur de

Tout d'abord, La poésie est un moyen pour le poète d'extérioriser ses sentiments, surtout dans le courant romantique du XIXe siècle, qui permet l'expression des ressentis grâce au lyrisme. Ce courant, inspiré par Rousseau, tente de retranscrire la sensibilité des auteurs avec l'emploie de la première personne du singulier dans laquelle chacun peut s'identifier. Ronsard se peint lui-même à l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... ». Le poète, par l'utilisation du « je », se place en position

entre les hommes qui n’avaient pas décidé de leurs sentiments. » Jean Paul Sartre. Les poètes ont toujours cherché l’origine de leur art. En particulier, ils se sont demandé quelle était la source de leur inspiration, ce qu’ils ont appelé leur muse. Il s’agit pour eux de déterminer le rôle de l’artiste, son utilité sociale: être le guide inspiré découvrant les liens invisibles entre le moi et l’univers. Les écrivains, eux, sont des hommes qui participent étroitement aux affaires de leur temps

section Spleen et Idéal du recueil Les Fleurs du Mal, publié en 1857. Le poète, annonçant le symbolisme, esquisse le souvenir d’une femme aimée. Elle nous est introduite à travers un portrait multiple et un chant de réminiscences spleeniennes. Réalisant son impuissance face au Maitre de la Fuite, Baudelaire tente d’enfermer le Temps dans le cadre spatial de l’Idéal tant recherché, non seulement pour revivre la quintessence de la relation amoureuse désunie, mais essentiellement pour « l’art d’évoquer ».

exploitées par Aragon dans le but de faire renouer la poésie avec ses origines : la musicalité, l’oralité, le chant. La plupart des poèmes sont traversés par des termes évoquant les instruments, la voix, le chant, la musique. Il s’agit en effet pour le poète de dire la guerre et l’occupation, de la dénoncer, en recherchant une forme poétique propre à ce propos. (cf. « La nuit de Dunkerque » et la répétition de « Je crierai »). II. La « poésie de contrebande ». Cette forme poétique, c’est

thématique. Premier mouvement : les trois premières strophes. Le poète s’adresse à la forêt pour lui promettre que le mauvais sort sera jeté sur toute personne qui lui ferait violence. Deuxième mouvement : strophe 4 Le poète s’adresse au bûcheron Troisième mouvement : strophe 5 Le poète s’adresse de nouveau à la forêt pour évoquer les conséquences de sa destruction. Quatrième mouvement : strophes 6, 7, 8 Le poète continue de s’adresser à la forêt pour lui faire ses adieux. Cinquième