Musée d'art moderne

peinture à la Biennale de Venise. En 1964, le Musée d'Art moderne de la Ville de Paris rend hommage au peintre par une grande rétrospective. Fautrier malade ne peut s'y rendre, et meurt le 23 juillet 1964. Désigné en son temps comme l'un des pionniers de l'art « informel » Jean Fautrier exprima en plusieurs occasions sa perplexité vis-à-vis de cette allégation, allant même jusqu'à mettre en doute la réalité d'un art « informel » spécifiquement moderne. Une rétrospective lui est consacrée à la Fondation

comme seul outil ses pieds A Line Made by Walking, 1967 (une ligne matérialisée dans l'herbe à la suite d'une marche constituée de plusieurs aller-retours), et poursuit ses expositions personnelles comme autant de carnets de voyage (ainsi au Musée d'art moderne de la ville de Paris, 1993).

internationale des arts et techniques dans la vie moderne du 25 Mai au 25 Novembre à Paris. Pour le pavillon français, la compagnie parisienne de l’électricité commande une peinture à l’artiste Raoul Dufy. Cette œuvre doit montrer au visiteur la force du progrès technique et la puissance française. A la fin de l’exposition, la peinture est exposée au Palais de la lumière et de l’électricité. En 1954, EDF offre « La fée électricité » au Musée d’Art moderne de la ville de Paris, partie intégrante

Or j'ai souvent rencontré autour de moi un certain type de dédain sur le sens de l'art. J’ai donc cherché à mettre en relief l’intérêt réel de l’art. Ayant été particulièrement touché par l’exposition de Keith Haring au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris en 2013, j’ai décidé de mettre en valeurs certains concepts artistiques de ce peintre talentueux. Par ailleurs, j’ai été influencé par beaucoup

silhouette. La rue et les foules forment l’un de ses thèmes préférés. La Fanfare, 14 juillet, défilé militaire est une huile sur toile représentant une scène historique de dimensions 40 x 40,5 cm. Elle fut peinte en 1951 et est conservée au Musée d'art moderne André Malraux, au Havre. Ce tableau fut peint dans la période de reconstruction de l’après-guerre. La victoire des Alliés a remis en avant le sentiment d’unité nationale, tout en essayant d’oublier la période de Vichy. Le drapeau tricolore,

analyse critique et visuelle couplexe et singulièrement moderne. ils exploitent les liens obligés , observateur/observé, spectateur/spectable, art/ contexte, spectateur contexte, qui font de l'oeuvre elle-même le lieu de tous les jeux, de toutes les perméabilité. recherche sur son rapport au jardin il fait des oeuvres hybrides entre la sculpture et l'architecture époque --> influencé par sol lewitt dan graham, arc musée d'art moderne de la ville de paris dann graham , 1965 - 2000,

gravures du Bestiaire, il se lance dans la création de motifs pour les tissus de mode et de décoration. Dufy voyage beaucoup. Il découvre l’Italie (Venise, Florence, Rome, Naples, la Sicile) puis le Maroc et l’Espagne. Il admire les tableaux de Titien au Musée du Prado. Il voyage également en Belgique et en Angleterre. Il séjourne à Nice de 1925 à 1929 avec son épouse niçoise. En 1926, en regardant une petite fille qui court sur le quai de Honfleur, il comprend que l’esprit enregistre plus vite la couleur

introduction Date de création : 1925 DOCUMENT Dimensions : Hauteur 127.6 cm - Largeur 97.8 cm Technique et autres indications : Huile sur toile.
Lieu de Conservation : Musée d'Art moderne de la Ville de Paris bio Peintre et décorateur français né en 1892 à Noyelles-sur-Sambre (Nord). Il fait des études de droit mais s’intéresse vite à la peinture. En 1912, il fait son service militaire et sera dans l’armée jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale (en 1918). Après la guerre, il recommence

Les arts sous l'occupation 1938-1947 Musée d'art moderne de la ville de Paris 1) Peinture -Portrait de Max Ernst par Hans Bellmer: Hans Bellmer a peint cette oeuvre alors qu'il était au camp des Miiles, un camp de concentration français. Ce camp de concentration se situaient sur une ancienne briqueterie et Hans bellmer y était en compagnie de Max Ernst. C'est de là que lui est venu l'idée de faire une oeuvre avec les briques et Max Ernst. Cette oeuvre concentre un souvenir symbolique

», l’artiste exploite les propos d’une jeune fille pour obtenir la voix de son personnage. (cf. image 3) This is not a time for dreaming, New York/Paris,2004 III - SCULPTEUR DE L'ESPACE ET DU TEMPS A l’occasion de la réouverture du Musée d’art moderne de la Ville de Paris (2006), Pierre Huyghe est invité à réaliser sa première grande exposition monographique en France. Intitulée « Celebration Park », celle-ci est dévoile un parc que l’artiste envisage de construire, sur le modèle des expositions