Musée Victor-Hugo

Kallel Jawhar 4°F La liberté guidant le peuple Cartel de l'oeuvre : Auteur : Eugène Delacroix Titre : La liberté guidant le peuple (28 juillet 1830) Date : 1831 Technique et dimensions : Huile sur toile, 260 x 325 cm Lieu d'exposition : Musée du Louvre, Paris Style ou mouvement : Romantisme Genre : Peinture d'histoire Brève biographie de l'auteur : Eugène Delacroix est un peintre français, il est né en 1798 (à Charenton-Saint-Maurice) et meurt en 1863 à Paris. Issu d'une famille bourgeoise

 Titre : La Liberté guidant le peuple. Auteur : Eugène DELACROIX (1798-1863) Date de création : 1830 Dimensions : Hauteur 260 cm - Largeur 325 cm Lieu de Conservation : Musée du Louvre Il naît à Saint-Maurice, près de Paris. Eugène entre en 1816 dans l'atelier de Guérin. Il copie les maîtres classiques au Louvre, fait la connaissance de Géricault qu'il admire profondément. Naufragé de son Radeau de la Méduse. Après des études au lycée Louis le Grand de Paris, Eugène Delacroix se fait remarquer

révolution des Trois Glorieuses. Présentée au public au Salon de Paris de 1831, l'œuvre est transférée du musée du Luxembourg (où elle était exposée depuis 1863) au musée du Louvre en 1874 où elle fut l'une des œuvres les plus fréquentées[2].Par son aspect allégorique et sa portée politique, elle a été fréquemment choisie comme symbole de la République française ou de la démocratie. L'œuvre est exposée au musée du Louvre-Lens depuis décembre 2012 II) Le contexte 1) Historique Le peintre a fait

-I/ poèmes appartenant au mouvement romantique : 1) « le Lac » d’Alphonse de Lamartine (1820) page 3 2) « Chant de Suzanne au bain » d’Alfred de Vigny (1824) page 4 3) « A George Sand » d’Alfred Musset (1889) page 5 4) « Amour secret » de Victor Hugo (1888-1897) page 6 -II/ poèmes appartenant au mouvement symboliste : 1) « A une Dame créole » de Charles Baudelaire (1841) page 7 2) « A madame X » de Paul Verlaine (1888) page 8 3) « Première soirée » d’Arthur Rimbaud (1895) page 9 4) «

Loin de la mépriser, l'Antiquité réservait une large place à l'imitation, ­considérée comme un exercice rhétorique particulièrement efficace dans la formation intellectuelle et artistique. Il s'agit déjà d'égaler le modèle. Le Louvre, à l'origine un musée destiné aux jeunes peintres pour leur permettre de se former en copiant des modèles sans chercher à les dépasser. 2. Pastiche et parodie : de l'hommage souriant à la satire Les buts du pastiche et de la parodie ne semblent pas être de vouloir égaler

les œuvres d'art sont présentés chronologiquement ce qui nous entraînent à voir dans le rêve un pont entre passé et présent, paradis et enfer, présent et futur ou encore rationnel et irrationnel. Notre anthologie s'ouvrira sur un sonnet de Victor Hugo « Rêverie » tiré des « Orientales » et publié en 1829, c’est l’un des premiers recueils de l’auteur. Nous poursuivrons notre étude avec « fantaisie » de Gérard de Nerval publié en 1932. Il est tiré du recueil Odelettes dans lequel Nerval y a

horiae romaines (barques de pêcheur à fond plat). Cette découverte est exceptionnelle car ce genre d’embarcation n’était, jusqu’à lors, connu que grâce aux mosaïques d’Althiburos en Tunisie ! Des répliques de ces horiae se trouvent actuellement dans un musée à SaintRomain en Gal, dans le Rhône. LA “Belle Epoque” LES GRAnDES expéditions A la mort de Louis XVI en 1793, les royalistes livrent la ville aux Anglais. Les armées de la Convention, grâce au génie militaire de napoléon Bonaparte,

famille (qui succèdera d'ailleurs à son père comme chirurgien chef de l'Hôtel-Dieu de Rouen). Gustave Flaubert passe une enfance sans joie, marquée par l'environnement sombre de l'appartement de fonction de son père à l'hôpital de Rouen (aujourd'hui Musée Flaubert et d'histoire de la médecine), mais adoucie par sa complicité avec sa sœur cadette, Caroline née trois ans après lui[2],[3]. Elle laisse une petite Caroline dont Gustave assurera l'éducation jusqu'à ce qu'elle se marie. Bel adolescent aux

d’appréciables encouragements (Victor Hugo, Jules Michelet, Hector Berlioz). Adaptations[modifier | modifier le code] Peinture & Sculpture[modifier | modifier le code] Salammbô, peinture par Gaston Bussière, 1907 Salammbô chez Mâtho, Je t’aime ! Je t’aime2, de Théodore Rivière, 1895, petit groupe en bronze, ivoire, or et turquoises. Salammbô, Alfons Mucha, 1896, lithographie. Salammbô, Gaston Bussière, 1907, peinture. Salammbô, Jean-Antoine-Marie Idrac, 1903, sculpture (Musée des Augustins, Toulouse)

Internet : des poèmes de Ronsard (beaucoup développent le thème de la fuite du temps, comme celui étudié dans la séance 2), mais aussi « Le Dormeur du val » d’Arthur Rimbaud et « Le Lac » de Lamartine. © Cned / N. Julo – Les Contemplations de Victor Hugo. Durée approximative : 1 heure. Dans cette séquence, tu vas parcourir les siècles, depuis le XVIe jusqu’au XXe siècle, pour étudier une thématique traditionnelle de la poésie : l’expression des sentiments personnels. Ce que l’on appelle plus simplement