Muses Et Inspiration

dimensions avec ces mêmes caractéristiques formelles déjà évoquées avec l’importance du symbole et de l’allégorie. Bois sacré cher aux arts et aux muses 1884. Il fait parti des peintures déco pour le musée des BA de Lyon. Personnages volants (cf. Le Rêve), domaine de l’allégorie, iconographique renvoyant à la nature humaine du lieu à orner avec les muses, importance du paysage, souci de composition mais avec une perspective aléatoire. Larges aplats colorés, corps féminins, goût pour les drapés (cf

retrouvant la lumière et le pardon. Ce poème dédié aux personnages mythiques de Myrtho (figure de Vénus), nous introduit dans le monde grec et nous entraîne au-delà de l'ère chrétienne. Ce poème fait de la Grèce et de ses cultes bachiques, la terre des muses d'où naît le poète. Nous étudierons dans un premier temps, la figure féminine de Myrtho, figure que nous montrerons inspiratrice. Puis dans un second temps nous montrerons qu'à travers le thème végétal suggéré par le nom même de la déesse, se dégage

lieutenant au regiment de Navarre a 17 ans . Il vient a Paris en 1788 , ou il se lie avec Jean Francois de la harpe , Jean Pierre Luis de Fontanes d’autre ecrivains de l’epoque , et fair ses debuts litteraires en ecrivant des vers pour l’Almanach des Muses . Il a ecrit beaucoup d’oeuvre comme : Rene (1802) Genie du christianisme (1802) Les Martyrs (1809) Memoires de ma vie (1809) Itineraire de Paris a Juresalem(1811) Memoires d’outr tombe (1811) « autobiographie » Orient : Chateubriand

christianisme » (De L’Allemagne). Elle était aussi adaptée au public des salons que le jeune poète cherchait à conquérir. Méditations = « épanchements tendres et mélancoliques des sentiments et des pensées d’une âme qui s’abandonne à ses vagues inspirations. Quelques-uns s’élèvent à ses sujets d’une grande hauteur ; d’autres ne sont, pour ainsi dire, que des soupirs de l’âme. » ➢ Victor Hugo, préface des Contemplations (1856) « Ceux qui s’y pencheront retrouveront leur propre image dans cette

p.3 à 6 A) Sophocle, dramaturge grec p. 3 à 4 B) Résumé et inspirations p.4 à 6 2) Figures essentielles du mythe : p.6 à 11 A) Les Labdacides p.6 à 7

des dithyrambes. Les pièces ne sont pas divisée en actes et en scènes mais en stasimma (partie chantée) et épisodes (parlée). Entrée chantée du chœur, le parodos. La sortie l'exodos accompagnée dans cette pièce par Xerxès la tragédie puise son inspiration dans les mythe qui sont connu de tous ils font partie de la tradition orale. Ils parlent des fautes des hommes et en particulier celle envers les dieux. Cette tragédie est une exception du fait de son sujet car il s'agit d'un sujet d'actualité

 principalement), elle a commencé à lancer sa propre production à partir de ce début de iiie siècle, au départ en imitant les potiers athéniens. Progressivement, elle parvient à s'en détacher et les potiers alexandrins devinrent totalement autonomes dans leur inspiration, aboutissant à la fabrication de vases comme l' hydrie  dite « de Hadra », utilisée comme  urne funéraire , ce qui explique qu'elle fut retrouvée en grand nombre dans les  nécropoles

qui allait être recueilli dans les ''Oeuvres poétiques'' de Peletier. Puis il suivit Ronsard à Paris pour y mener, sur la montagne Sainte-Geneviève, au Collège de Coqueret, qui, à vrai dire, était assez obscur, une vie studieuse et consacrée aux Muses. Sous la conduite du principal, le grand helléniste Jean Dorat, avec d'autres jeunes gentilshommes (Baïf, Jodelle, Belleau, La Péruse), il s'y livra avec passion à un énorme travail en commun, à l'étude encore rare du grec, à la lecture des Latins

des pouvoirs de saints et/ou Diable. Ex : Le roman de renard. Pouvoir faire rire et réfléchir en critiquant les meurs de la société. Les farces : La force de Maître patelin → très court + moral Les mystères : appartiennent au théâtre, sont inspiration religieuse et racontent les évangiles. L’hagiographie : écrit sur la vie des saints et les embellies. Ex : le Cantilène de Sainte Eulalie (880) est le premier texte littéraire. Le XVIe siècle – La Renaissance - Terme donné au Moyen Âge, considéré

l’Antiquité, c’est Robert Garnier qui le crée avec Bradamante en 1582, suivi de Hardy et Rotrou. Au départ, les tragi-comédies étaient en somme des nouvelles romanesques, héroïques et galantes, selon le goût précieux et découpés pour la scène, toutes les inspirations s’y mêlaient avec prédominance de l’action et une action d’ailleurs souvent invraisemblable. Genre irrégulier, la Tragi-comédie, comme son nom l’indique est hybride. Les troupes et théâtres du XVIIème siècle Le théâtre du Marais Malgré le monopole