Musique tzigane

jazz, était une musique jouée par les noirs américains (afro-americains) et très ouverte aux autres styles musicaux (comme le blues et le ragtime). Aujourd'hui, tous les instruments peuvent jouer du jazz, de la flûte traversière au violoncelle. Le jazz s'est nourri de nombreux styles musicaux et a en a créé et alimenté d'autres, comme le jazz manouche. La musique tsigane : Le jazz manouche a également pour origine la musique tzigane ou Klezmer d'Europe centrale et de l'est, musique des Rroms, eux

fleuris se figeaient en arrière Les pétales tombés des cerisiers de mai Sont les ongles de celle que j'ai tant aimée Les pétales flétris sont comme ses paupières Sur le chemin du bord du fleuve lentement Un ours un singe un chien menés par des tziganes Suivaient une roulotte traînée par un âne Tandis que s'éloignait dans les vignes rhénanes Sur un fifre lointain un air de régiment Le mai le joli mai a paré les ruines De lierre de vigne vierge et de rosiers Le vent du Rhin secoue sur le

souffrance. - « Soirs de Paris ivres du gin » (11) , l’auteur se noie dans l’alcool pour oublier sa peine. - « De rails leur folie de machines » (15) même les rails sont pris de folies. - « Les cafés gonflés de fumée crient tout l'amour de leurs tziganes » (16-17) même les cafés crient leur amour. Ce poème présente un homme qui chante sa plainte amoureuse en errant dans Paris a travers un registre lyrique. 2. Un nouvel Orphée et une omniprésence musicale. « Juin ton soleil ardente lyre » (1) :

honneur à sa patrie qu’il compose en 1834 la Mazurka no 15 de l’opus 24. Avec les Polonaises, les Mazurkas furent ses premières œuvres et elles ouvrirent l'époque des musiques dites nationales. Dans ces pièces, il utilise un chant populaire polonais de forme ternaire, la Mazur, pour y développer une grande richesse harmonique: «gamme tzigane, quarte augmentée lydienne, coexistence de la tierce majeure et de la tierce mineure dans le même mode» . Cette danse folklorique est caractérisée par les accents

néologisme « musiquent », portées (métaphore qui se justifie si l’on pense aux dessins que forment les notes sur une partition de musique : la perche reliant le toit du tramway à l’alimentation électrique représente la barre de la note tandis que les rails figurent la portée musicale). Par cette métaphore, Apollinaire montre que le Paris moderne donne à entendre une nouvelle musique, harmonieuse. - Personnification des éléments de la vie parisienne : « Les dimanches s'y éternisent » ; « les orgues de

Brahms est le descendant d’une famille très ramifiée en Basse-Saxe,au nord de l’Allemagne.Son père Johann Jakob,est artisan de profession et utiise la musique comme gagne-pain. Il se produit dans des petits ensembles à Hambourg. Il donnera ses premières leçons de musiques à Johannes,qui déjà tout jeune,est attiré par tous les instruments de musique. Brahms suit ses premiers cours de piano des l’âge de sept avec O.Cossel,jusqu'à l’âges de 10 ans. Ce dernier le présente a Eduard Marxsen qui le forme

Paris Paris est ici une ville «sonore» et «mélodieuse» lui joue une musique mélancolique  : « Les orgues de barbarie y sanglotent » et « Les tramways […] musiquent au long des portées de rails leur folie de machines ». Le néologisme « musiquent » assimilent les tramways, « feux verts sur l’échine » Avec «les tramways feux verts sur l’échine/Musiquent au long des portées», assimilation entre les tramways et les notes de musique entraînées sur la portée des rails. Le poète fait alors un rapprochement

Paris, célébré par les poètes, depuis Villon et sa Ballade des femmes de Paris jusqu’à Prévert et sa Chanson de la Seine, a servi de cadre à bien des errances et à bien des mélodies, comme si la capitale française avait sa musique si particulière en harmonie avec les états d’âme des artistes. Guillaume Apollinaire, dans La Chanson du mal aimé (1913), déambule aussi dans Paris, en proie au mal d’amour. Amoureux éconduit de Annie Playden, une jeune Anglaise rencontrée en Allemagne, il cherche dans

partir des images du film V. Extraits de dialogues du film page 8 A- Première rencontre entre Max et Swing B- Max fait le mur C- Annonce de départ VI. Pistes d’observation page 12 A- Relations entre les personnages B- Les Manouches et la musique C- La culture de l’échange D- La culture de l’oral vs la culture de l’écrit E- Les techniques de tournage dans Swing VII. Pistes d’exploitation page 20 D- Les peuples du voyage E- Un peuple maudit F- La situation actuelle des Tsiganes

changement de lieu a. la progression str1: v.4 un lieu générale « mon beau Paris » str2: la rue v.8 « les cours grises » v.9 les fleurs aux branches de Paris v.13 Les tramways... str4: De l'extérieur à l'intérieur « les cafés »: allusion aux « tziganes », musicien dans les cafés et aux garçons de café. b. un procédé sonore insiste sur l'errance comme un écho intérieur. v.4 j'ère à travers mon beau Paris [ère] [ère] assonance en aire 3. Le poète raconte sa propre errance à la 1ère personne