Mustafa Kemal Atatürk

la place des femmes sont réalisés au 20ème siècle notamment grâce à Mustafa Kemal Atatürk. En effet, La Turquie, dispose d’une législation très émancipatrice, à l’égard du reste du monde musulman. Elle a été à certains égards également très en avance sur certains pays de l’Union Européenne. Le droit de vote et le droit d’éligibilité ont été respectivement octroyés aux femmes en 1930 et 1934 soit, 20 ans avant la France. Atatürk a, en effet, très tôt accordé au statut de la femme, une place fondamentale

italien. Dans ses articles 62 et 64, il été prévu la création d'un « État autonome des Kurdes »3 au sud-est de l'Anatolie. Ce Traité est accepté par le Sultan Mehmed VI, toutefois, il est rejeté par le mouvement national de l'époque, mené par Mustafa Kemal Atatürk. Celui-ci mène un combat acharné, s'appuyant d'une part, sur l'humiliation ressentie par les Turcs à la signature du Traité consacrant la disparition de l'Empire et la présence des troupes d'occupations étrangères ; et sur la contestation

La république turque (jusqu’en 1956). Introduction Née de l’effondrement de l’empire Ottoman et de la lutte pour l’indépendance et l’intégrité du sol national. Surtout la volonté d’un homme : Mustafa Kemal. Créer un Etat moderne libéré de la tutelle étrangère. La mort de Kemal en 1938 interromp sa mise en œuvre ambitieuse et moderniste. Puis la seconde guerre mondiale la freine et la transforme. Régime de parti unique puis, en 1945, régime multiparti : pouvoir au parti démocrate en 1950 mais

à la phrase :le corps et le sang du christ) ainsi que le célibat qu'elles considèrent comme une malédiction;leur prophète avait 9 épouses un autre sujet évoqué; la demande en mariage de sabiha, la fille du sultan par Rose d'or (le pacha Mustapha Kemal) jeune général qui en pleine guerre a sauvé istambul des anglais (les femmes en sont folles; il est beau, courageux et arrogant, blond aux yeux bleus) mais le sultan hésite a accepté cette demande en mariage - il faut savoir qu'en Turquie : hormis

au nom de la nation, de la liberté, de l’indépendance. Le premier, Mustapha KEMAL (1881-1938), est un général à grand prestige militaire et politique. Il se distingue parmi les élites dès 1919. Il souhaite reconstruire une Turquie indépendante et unie sur les ruines de l’Empire Ottoman. Le deuxième, REZA KHAN (1878-1944), est un officier ambitieux des brigades cosaques de l’armée iranienne. Il suit les idées de Kémal et veut instaurer une république. Le cadre chronologique est

traité d’Andrinople consacra l’autonomie de la Grèce, dont l’indépendance fut reconnue par les puissances en 1830. ✓ En 1922, c’est l’événement qui reste dans la conscience grecque sous le nom de « catastrophe d’Asie mineure ». Moustafa Kémal Ataturk avait, contre le gouvernement impérial de Constantinople, refusé de reconnaître le traité de Sèvres (1920), qui forçait la Turquie vaincue à rendre à la Grèce victorieuse la Thrace de l’Est, les îles d’Imbros et Ténédos, ainsi que l’administration

fdfdsfsd Okulumuzda bağışlarla kurmakta olduğumuz Atatürk kitaplığımızı zenginleştirmek istiyoruz.Kurumunuzun yayınladığı ''Halk Hikayeleri'' adlı kitaptan bir adet gönderirseniz çok memnun oluruz. İlginize teşekkür ederiz. Duygu Işık Atatürkçü Düşünce Kolu Başkanı Ender Üstüngel

historique et culturels (la civilisation) se retrouve chez les partisans de l’adhésion de la Turquie mais aussi chez ses opposants, tout est question de l’échelle historique choisie : l’histoire récente (occidentalisation à la fin du XIXe siècle, Atatürk, orientation atlantiste après la première guerre mondiale…) plutôt utilisée par les partisans de l’intégration (mais on trouve aussi le recours à Averroès et Avicenne pour défendre l’unité culturelle européenne), et long terme plutôt utilisé par les

barrages. La Turquie a commencé dès les années 1950/1960 à aménager les cours des 2 fleuves et le lancement du GAP (projet hydraulique sud-est anatolien) dans les années 1970 avait pour ambition la construction d’une vingtaine d’ouvrages (barrage Atatürk en 1992 sur l’Euphrate…). Les autres pays ne sont pas en reste mais ont des réalisations beaucoup moins nombreuses et importantes. Les motivations sont multiples : lutte contre les inondations, irrigation, production d’hydro-électricité…S’y ajoutent

du barrage Atatürk ! Ce projet représente un enjeu national de prestige et de souveraineté vis-à-vis du Kurdistan. Il devrait permettre de doubler les terres irriguées de la Turquie. Le but est de construire 22 barrages et de stocker 110 milliards de m3. Pour illustrer le côté gigantesque, le remplissage du barrage Atatürk, à partir de 1992, a fait baisser le débit de l’Euphrate d’un quart. En 1992, M. Karman Inan, ministre turc de l’intérieur, lors de la mise en eau du barrage Atatürk, déclarait