Mutilation 1917

- On trouve aussi l’ironie dans la description du nègre « n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. » on décrit d’abord l’habit avant la mutilation c’est une priorité absurde mais qui marque les esprit car elle choque - Le nègre n’insiste pas sur son sort, « je me suis trouvé dans les deux cas », il y a un ton faussement détacher ce qui donne à la description du nègre un état encore plus pathétique

Samuel Doe. Samuel Doe fait tuer ses opposants en majorité les journalistes les universitaires et les ecclésiastiques que l’on retrouve mort chez eux. Dans ce climat de violence, chaque mutilation ou meurtre donne lieu a des réponses comme des viols collectif s, des massacres de population d’autres mutilations… C’est ainsi qu’une guerre tribale éclate : Les Krahns (l’ethnie de Doe) emprisonnent et tuent les Gios (l’ethnie de Taylor) et les Manos. Alors que les troupes de Charles Taylor, principalement

222-1 du nouveau code pénal : actes de torture ou de barbarisme (15 ans de réclusion criminelle) - L.222-7 violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner (15ans de réclusion criminelle 1 - L.222-9 violence ayant entraîné une mutilation ou autres (10ans de réclusion criminelle et 150.000 euros d’amende ) - L.222.11 et L.222.13 violence ayant entraîné une ITT ou n’ayant pas entraîné une ITT pendant plus de 8 jours (3 ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende) - L .222-14

est dénoncée * les valeurs fondamentales telles la liberté ne sont plus respectées : l’esclavage dans le discours de la mère est décrit comme un honneur * il y a la présence de paradoxe entre «  ils te feront vivre heureux » et le constat de la mutilation * la mère accepte la soumission car elle juge les blancs supérieurs.

Décrire et identifier les différents éléments de limage | Les mettre en relation avec le contexte historique | Personnages | L’homme au chapeau :-bien habillé (chapeau-costume)=homme riche(bourg)-allure vaillant -décoration de guerre -tronçonner=mutilations extrême | -ancien combattant(mutilé)-bourgeoisie | | Le mendiant :-3prothése en bois=mutilé-mains mendie(basse, bras arraché)-pauvre :-vêtement déchirés, haillons -canotier(chapeau)=milieu populaire -position :-recroquevillé

Dissertation sur la guerre Il est difficile voire même impossible pour une personne d’oublier les souvenirs de guerre car l’ayant subie, ou étant un témoin ou encore se trouvant dans l’obligation de l’exercer cela reste graver à jamais dans la vie de l’être humain. Notons de prime abord que la guerre est une épreuve douloureuse qui laisse des séquelles physiques très graves et qui persiste avec la personne qui les a subis. En effet, les blessures ou les handicaps subis par la guerre sont

plan, il y a un porte manteau à droite, une lampe avec un crâne à l’intérieur à gauche, et au centre, il y a 3 journaux allemands de l’époque. Le message que le peintre veut faire passer : Otto Dix veut démontrer les horreur de la guerre, les mutilations que subissent les hommes qui partent faire la guerre, que les personnes qui en sont revenues vivante sont énormément handicapé. C’est donc pour cela qu’il à décidé de peindre ce groupe joueurs de skat. Les moyens qu’utilise Otto Dix pour faire

Mutinerie de 1917/La Mutinerie du Chemin des dames Les mutineries de 1917 sont une série de mutineries qui ont eu lieu pendant la Première Guerre mondiale, en 1917. En 1917, après trois années d'une guerre meurtrière et indécise, la fatigue touchait l'ensemble des armées européennes dont le moral était au plus bas. L’offensive Nivelle : Le 16 avril 1917, les Français lancent une grande offensive en Picardie, sur le Chemin des Dames. Mal préparée, mal engagée, elle va entraîner un profond ressentiment

condamnations pour désertion augmente brusquement pendant et après les mutineries de 1917 (21 174 en 1917). Il y a eu environ 600 fusillés dans les rangs des troupes françaises, à la suite de condamnations prononcées pour refus d'obéissance, mutilations volontaires, désertion, mutinerie (en 1917), dont un certain nombre de soldats fusillés pour l'exemple[2]. L'armée belge compta 1 203 désertions en 1916, 5 603 en 1917, 2 778 durant les 5 premiers mois de 1918[3]. 306 soldats de l'armée britannique

de la violence des combats de 1917. La Chanson de Craonne est connue pour avoir été entonnée par les soldats qui se sont mutinés (dans une cinquantaine de régiments de l'armée française) après l'offensive très meurtrière et militairement désastreuse du général Nivelle au Chemin des Dames. Au cours des combats, les soldats français, partant de la vallée de l'Aisne, devaient « monter sur le plateau » tenu par l'armée allemande. Le général Pétain, nommé le 17 mai 1917 au poste de général en chef des