Myrtho Nerval

d’inadéquation au monde suite à l’effondrement de l’Ancien Régime se traduit notamment par le désespoir et il est mis en évidence dans plusieurs œuvres autobiographiques des premiers écrivains romantiques dont fait partie Alfred de Musset, Gérard de Nerval et Alphonse de Lamartine.

chez lui des sentiments différents. A la fin du XIXème siècle, Alfred de Vigny écrit un poème la maison du berger extrait du titre de son recueil Les Destinées où il décrit le progrès de façon métaphorique. Tandis qu’au début du XIXème Gérard de Nerval écrit un article dans le Messager où il décrit le fait de voyager au hasard. Dés le début du XXème siècle et encore de nos jours on observe l’importance de revenir sur soi-même grâce à la partie Voyage extraite du livre d’Alain Propos sur le bonheur

Gérard de Nerval (1808-1855) par Nadar, 1854 COURTE BIOGRAPHIE Gérard de Nerval, de son vrai nom Gérard Labrunie, naquit à Paris le 22 mai 1808. Il passa son enfance dans le Valois, dans la propriété de son grand-oncle. Il s'initia à la poésie rustique et populaire, puis, lors de ses études à Paris, à la littérature Allemande. C'est ainsi qu'il traduisit notamment le premier Faust de Goethe à l'âge de dix-neuf ans. Il s'éprit d'une actrice, Jenny Colon, qui exerca par la suite une grande influence

son des guitares nomadesLa gitane mime l'amour » — Louis Aragon, Le Roman inachevé, À chaque gare de poussière... | le cliché | image considérée comme usée | « La neige étend son blanc manteau » la formule célèbre de Gérard de Nerval : « Le premier homme qui a comparé une femme à une fleur était un poète, le deuxième un imbécile ». | la métonymie | elle remplace un terme par un autre qui a un rapport logique mais qui n'a aucun élément matériel commun. Elle peut substituer

Dumas, Alfred de Nerval et Pauline de Meulien. Au début et jusqu’à la page 39, c’est Alexandre Dumas, auteur-narrateur du roman qui raconte l’histoire (« j’emmène souper Alexandre » p.38). Alfred de Nerval poursuit la suite de la narration de la page 39 à 85 (« Je m’inclinai en signe d’adhésion à ce que disait Alfred » p.39). Pauline finit à la page 167 (« …Je mis un tresse de mes cheveux entre mes dents… » p.164) puis Alfred termina l’histoire (« Je répondis aussitôt … Alfred de Nerval » p.186).

 Ce désordre même est le garant de ma sincérité. Gérard de Nerval Déroutes aimées qui ne dirigent pas vers leur destination. René Char Représentations de La Cerisaie, « porteuses d’une métaphore particulière ou d’un discours inédit sur le « complexe du verger ». » « « les cathédrales du sens » que sont les grands spectacles, selon Vitez. » « Les « punctum » qui résistent au temps, comme dirait Barthes. » p.12 La Cerisaie ou la vie sans réponse. L’insolvabilité du domaine annule toute

1. Sa vie De son vrai nom Gérard Labrunie, Gérard de Nerval est né à Paris en 1808. A la mort de sa mère en 1810, il est élevé par son oncle maternel qui vit dans le Valois. En 1820, il entre au collège à Paris, où il se lie d'amitié avec Théophile Gautier. Après des études plutôt médiocres, il fait ses premières armes littéraires en publiant, notamment, en 1828, une traduction du célèbre Faust de Goethe. Il côtoie alors le cénacle romantique et se lance dans l'écriture dramatique. Au début

longue) 1871 : Défaite contre l’Empire allemand. La Commune. 1886-1889 : Le « boulangisme » menace la République. (belliqueux) 1898-1906 : Affaire Dreyfus. Romantisme Victor Hugo A. de Lamartine Alfred de Musset Alfred de Vigny Gérard de Nerval Chateaubriand Benjamin Constant Réalisme, naturalisme et décadentisme Honoré de Balzac Gustave Flaubert Victor Hugo Les frères Goncourt Émile Zola Jules Vallès Maupassant Barbey d’Aurevilly Lautréamont Villiers de l’Isle-Adam

Histoire des arts : peinture romantique et histoire (Manuel rouge - p.242-244) la musique ( Berlioz, Schubert, Schumann, Chopin, Paganini, Wagner, etc.) Lectures cursives : Surréaliste et imagination Alexandre Dumas, cité par Gérard de Nerval, Préface Les filles de feu, 1854 ; Charles Baudelaire, « La reine des facultés », Salon de 1859 ; Louis Aragon, « Discours de l’imagination », Le Paysan de Paris, 1926 Manuel scolaire rouge, pp. 298-299 Programme consultable sur le lien

Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville où il est mort le 26 janvier 1855. Il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie) et de sonnets (Les Chimères) publié en 1854. Fils d'Étienne Labrunie, médecin militaire, et de Marie-Antoinette Laurent fille d'un marchand linger de la rue Coquillière, Gérard de Nerval naît le