Mythe

Les avatars du mythe d'Orphée dans les oeuvres au programme (La princesse blanche et Les cahiers de Malte Laurids Brigge) de Rainer Maria Rilke. La princesse blanche [PB] (1898/1904) et Les Cahiers de Malte Laurids Brigge [CMLB] (1904/1910) font partie d’un tournant dans l’œuvre de Rilke puisque ce sont deux œuvres qui sont postérieures à sa rencontre avec Lou Andreas-Salomé (mariée, mais restée vierge) puis à son mariage avec Clara Westhoff (peu avant la 2e version de la PB), à son départ de

[pic] Conte, légende, mythe, épopée, fable… Dans ce document, nous essayons de distinguer différentes formes de récits proches du conte merveilleux. Cette distinction, dans les faits, n’est pas toujours facile à établir, certains textes se situant à la limite, dans leur contenu ou dans leur forme 1. Le mythe a. Qu’est-ce qu’un mythe ? Le mythe est un récit, issu de la tradition orale, propre aux civilisations anciennes ou peu en contact avec la société moderne. Les mythes expliquent

INTRODUCTION Le personnage de Mathilde dans la parure de Guy de Maupassant dans son évolution rencontre le parcours mythique du personnage de cendrillon de Charles Perrault. Le champ des images réuni dans ce textes rappelle un tant soit peu le mythe de cendrillon tels que reprit par certain auteur. Le discours mythique investit le discours littéraire créant ainsi une parfaite interdiscurcivité .Ce fait nous envoie directement dans le vaste champ de la littérature générale et comparée. C’est donc

L’abbé de l’Épée et les jumelles : un mythe sourd Rien de plus étonnant que les fausses croyances qui entourent la vie de l’abbé de l’Épée : on lui attribue couramment l’invention de la langue des signes et de l’alphabet manuel. Observées chez des entendant, de telles erreurs s’expliquent assez bien : persuadés qu’une vraie langue ne saurait être que vocale, les entendants s’imaginent que la langue des signes n’est qu’un simple transcodage du français. Seul un entendant, pédagogue auprès d’enfants

Mircea Eliade Le mythe de l'éternel retour Editions Gallimard, 1969 L'essai Le mythe de l'éternel retour de Mircea Eliade se consacre essentiellement à l'étude de ce que l'auteur nomme l'ontologie archaïque et définit comme « (...) les conceptions de l'être et de la réalité qu'on peut dégager du comportement de l'homme des sociétés pré-modernes ». Le présent travail suivra pratiquement le parcours d'Eliade dans son ouvrage. Nous explorerons certains des mythes et rites qu'Eliade nous présentent

La géographie dans l'Odyssée d'Homère, mythe et réalité Une géographie fantastique Même s'il reste vrai que la géographie de la Méditerranée reste la source réelle du parcours fantastique que le poème prête à son héros, comme l'ont montré les historiens et les géographes dès l'Antiquité, et plus récemment l'hélléniste Victor Bérard, l'espace est utilisé avec fantaisie et la géographie de la Méditerranée n'est pour le poète qu'un prétexte à la création imaginaire. Charybde et Scylla, que

la réalité ? Tout d’abord, nous étudierons comment le colonialisme est apparu, pourquoi les français ont-ils colonisé et par quels moyens, ce qui nous permettra de découvrir la mentalité de ceux-ci. Ensuite, nous nous pencherons sur le mythe indigène, cette propagande installée par les métropolitains, à travers des affiches ainsi que des ouvrages littéraires. Enfin, nous découvrirons la réelle situation de ces populations, par l’intermédiaire des zoos humains ainsi que des descriptions

plusieurs écrivains. Dans la période hellénique, Euripide a écrit une pièce de théâtre sur ces deux personnages. A l’époque romaine, Sénèque en a écrit une aussi et après Racine, Eugene O’Neil et Robinson Jeffers ont fait le même travail au XXe siècle. Ce mythe, à part sa forme de tragédie, se présente dans les folklores ou les contes de fée. Cependant parmi toutes ces versions de la réécriture, celles d’Euripide et de Racine sont les plus populaires. D’Euripide à Racine, ce passage de la Grèce antique

avant J-C, le grec Hésiode ouvre son poème Les Travaux et les jours en racontant deux mythes : dans le premier, Prométhée vole le feu aux Dieux pour le donner aux hommes, et permettre ainsi la naissance d'une civilisation d'être libres. Le second mythe raconte comment se sont succédé cinq « races » d'hommes- le mot grec genos, habituellement traduit par «race », signifie en fait « espèce d'hommes » ou « génération ». D'abord, Cronos, dieu du Temps, permit à l'humanité un parfait bonheur, libre de

effet notion lourde de significations et semblait moins être une manière commune de vivre ensemble qu'un rapport particulier à des systèmes de valeurs et de normes à respecter. J'ai ainsi choisi de l'aborder plutôt comme une sorte d'interstice entre mythe et réalité, dotée de valeurs et de codes sociaux comme symboliques, entretenant un rapport particulier à ce qui lui est extérieur. Il me semble bon de rappeler que, essentiellement dans la deuxième partie de mon travail, l'analyse que je propose