Mythes Antiques

Valentin Louineau Roman Kutlovac Lucas Servant Le traitement cinématographique de la Grèce antique. Pour la plupart des gens, la Grèce antique n'est pas un sujet captivant. En effet, les méthodes de découverte scolaires de la mythologie sont superficielles, elles se focalisent plus sur l'apprentissage de la vie des citoyens grecs ou du fonctionnement de l'armée et de la société antique et font impasse sur les sujets qui peuvent être perçus comme les plus passionnants, comme les légendes

sophiste de qualité. Il commence à écrire des tragédies en -454 avec les Péliades (oeuvre aujourd'hui perdue). Bien qu'ayant un succès très modeste auprès du public, il remporte quatre fois le premier prix du concours tragique. Ses pièces revisitent les mythes avec une grande liberté de ton : Médée (-431), Alceste (-438). La légende de Médée est particulièrement sombre. En effet, elle est constituée d'une succession de meurtres commandités par Jason et sa haine de vengeance envers Pélias, le roi usurpateur

grec. La statue est sur-dimensionnée, les jambes sont longues mais fines et soutiennent un buste en V beaucoup trop volumineux. De plus la nudité de cette statue est sans conteste empruntée aux antiques. Outre le fait qu’Hitler considère les « aryens » comme les descendants des héros de la Grèce antique, cette statue est l'évocation de la vigueur, de la puissance, de la force stoïque que Breker veut représenter. Aussi les dimensions de la sculpture sont-elles « titanesques », et on y retrouve en

des patients. La reprise des mythes antiques. Entre les années 1920 et le début des années 1950, pour exprimer leurs inquiétudes, certains auteurs puisent leur inspiration dans les mythes gréco-romains qu’ils transposent dans le monde de leur époque : Cocteau dans La Machine infernale (1933) et Anouilh dans Antigone (1944) s’inspirent du mythe d’Œdipe ; Giraudoux dans La Guerre de Troie n’aura pas lieu (1935) s’inspire de la guerre de Troie. La reprise du mythe antique permet d’exprimer les interrogations

communes des hommes : "tout l'humain est engagé dans le mythe" (G. Bachelard). 
A l'origine, les mythe et légendes étaient des récits qui devaient absolument être transmis, sans doute parce qu'ils contenaient un savoir ou une vérité ; à travers les mythes, les initiés, comme Platon, étaient porteurs de vérités à transmettre, mais, après Homère, on utilisa le mot "mythe" dans le sens de fable, (il y a plusieurs versions, et certains récits sont altérés). Pourtant, ils peuvent relater des faits antérieurs

la notion de tradition voire de culture propre. Une culture un peu abîmée, à reconstruire partiellement. Ainsi le « récit des évènements passés » peut se lire (ou s’écouter…) comme une registration, un devoir de mémoire, avec ce qu’il implique de mythes et légendes. Les « contrées lointaines » vont en ce sens. « Bolotoo » et « Papalangi » renvoient respectivement à une île inconnue et à l’Europe, deux espaces difficiles d’accès. Les lieux sont inconnus, et on peut se demander si sous nos yeux n’est

Introduction: Définition de mythologie grecque : c’est-à-dire l'ensemble organisé des mythes provenant de la Grèce antique. Les mythes grecs témoignent de la représentation que les anciens Grecs se faisaient du monde. La mythologie dépasse le cadre de la religion. Dans le même temps, la mythologie fournit une ample source d'inspiration à la littérature et aux arts grecs antiques. La Grèce antique et le berceau de la mythologie Grecque. Un nombre incroyable de dieux, de divinité, d’Héros

 École secondaire saint-louis L'ÉGYPTE ANTIQUE Par Mateo Martinez-Amoros Foyer 101 travail présenté à Patricia Coulombe dans le cadre du cours d'histoire,1 sec 4 octobre 2010 Table des matières Introduction à l’Égypte ancienne p.1 Aspect 1 : social et politique p.2 Aspect 2 : éthique et technique p.3 Aspect 3 : ligne du temps

difficulté de la lecture tient à la permanence de l’occupation humaine dans une grande partie du centre historique. Certains lieux ont été constamment réutilisés et transformés: au Théâtre de Marcellus, la façade d’un palais s’inscrit dans un monument antique. La place Navone, paysage urbain de la Rome papale occupe le stade construit pas Domitien, le château Saint Ange est le mausolée d’Hadrien. La basilique Saint Clément présente, dans ses strates superposées, un résumé de l’histoire de la ville depuis

de « tragédie » vient du grec « trogos » qui signifie « bouc » et de « ôdê » qui signifie chant. Le sacrifice du bouc faisait partie du culte que l’on rendait à Dionysos. La tragédie était une des quatre formes du genre dramatique dans la Grèce antique : il y avait le drame satyrique, qui mettait en scène des satyres. Le dithyrambe, c’était un chant en l’honneur de Dionysos et par extension un poème élogieux. Et enfin, la comédie et la tragédie. Aristote dit aussi que c’est Thespis, un choreute