Mythologie nordique

au culte de la personnalité tel que vu par les Grecs anciens). Le rapport est inversé : ce sont les hauts-faits des hommes lors de leur vie qui les divinisent après leur disparition, les rendant immortels dans la mémoire de leurs héritiers. • mythologie gréco-romaine o Ulysse, héros infortuné de l'Odyssée ; humain, il n'a pas de pouvoir, hormis son astuce (trait humain). o Hercule : les douze Travaux d'Hercule ; pouvoir : sa force. o Achille ; pouvoir : invulnérabilité, sauf sur son talon,

vallée de Balzac, M. de Nemours et Mme de Clèves dans la Princesse de Clèves, Julien Sorel et Mme de Rênal dans Le Rouge et Le Noir, Frédéric et Mme Arnoux dans L’Education sentimentale Histoires célèbres La mythologie grecque nous offre une multitude d’histoires d’amour et de couples d’amoureux (entre des dieux, entre des mortels ou des dieux amoureux d’humains) o Ulysse et Pénélope, symbole de la fidélité et du dévouement o Orphée et Eurydice qui incarnent

reprochait le chantre de la Nature, la poésie romaine continua de s'inspirer du souffle, des fables et de l'histoire de la Grèce : Horace imita Pindare ; Virgile, Homère. L'élégie prit la même route : Catulle traduit Callimaque ; Properce épuise la mythologie grecque ; Tibulle seul écrit sous une inspiration plus libre, et met dans ses poésies un sentiment tendre et simple, une douce mélancolie qui semble un vague pressentiment de cette tristesse chrétienne qui devait changer l'âme et la littérature

valeur symbolique d’une descente vers les enfers. Dans la mythologie grecque, le cheval est souvent illustré sous forme d’un cheval avec des ailes volant vers les cieux, cependant le cheval est aussi la monture du dieu des enfers, Hadès. La mort est donc omniprésente dans ce passage ce qui suggère à un autre décès. Dans la littérature, le cheval a connu plusieurs rôles, maléfiques comme bénéfiques. Cet extrait fait allusion à la mythologie grecque, plus particulièrement à la chute de Phatéon qui

barque Dans le roman, il est fait allusion à la barque de Charon sous plusieurs formes : elle est à la fois le titre d’une de ses oeuvres : « Il y avait Les Pleurs. Il y avait La Barque de Charon. » (p. 81) et une référence mythologique : dans la mythologie grecque, le monde des vivants et le monde des morts sont séparés par un fleuve, l’Achéron. Lorsque les hommes meurent, le dieu Hermès les conduit jusqu’à la barque de Charon. Ce dernier est le batelier, qui, seul, peut faire traverser les âmes

Rimbaud, c’est l’adolescence libérée, périlleuse, enthousiaste.             Rimbaud est le « voleur de feu ». Poète précoce, il a tout dit, ou presque à vingt-et-un ans. « Le poète, dit-il, est vraiment voleur de feu », à l’instar du Prométhée de la mythologie grecque, qui révéla aux hommes ce secret des dieux. Influencé d’abord par Hugo, le Parnasse* et Baudelaire, il prend très tôt son indépendance littéraire, et ce « Satan enfant » donne au poète une vocation spirituelle nouvelle : « Il faut être voyant

se retrouve aux Enfers. On y trouve quand même des mots a connotation de mort « l’onde souterraine », « obole », « aviron », « victimes offertes », « les morts errants sur le rivage » et la présence de deux personnages « Charon » qui vient de le mythologie grecque dont la fonction était de faire traverser le Styx pour mener les morts en Enfers et « Antisthène » qui est un philosophe grec (444-365 avant JC) qui fonda l’école philosophique des Cyniques. Le mépris des richesses et des biens matériels

de rendre vraisemblable l'apport des informations essentielles à la compréhension du spectateur. C'est donc la double énonciation qui est à l'oeuvre (les propos échangés le sont surtout pour l'information du public). C'est 1 Oreste : Dans la mythologie grecque, fils d'Agamemnon et de Clytemnestre. Après le meurtre de son père par Égisthe, l'amant de Clytemnestre, il tue sa mère et son amant avec l'appui de sa soeur Electre. – le cas lorsque don Salluste évoque sa grandeur passée, déjà connue

attribué au prophète Mahomet. Néanmoins dans le fond, ce qui rappelle le plus la mythologie et la tragédie, qu’elle soit grecque ou égyptienne, c’est la dominance de l’inceste dans la pièce. En effet, déjà au temps des Pharaons l’inceste ou la consanguinité, était de rigueur : le père épousait sa fille, la mère son fils, tout en sachant que le père et la mère étaient eux-mêmes frère et sœur. Quant à la mythologie grecque, les relations qu’entretiennent entre eux les personnages de la pièce rappellent

.................................................... .p. 3 1.1 Mythologie mésopotamienne....................................................................p. 3 1.2 Conception de la mort.................................... ..........................................p. 4 2.0 Religion Égyptienne..............................................................................................p. 5 2.1 Mythologie égyptienne............................................................