Mécanisme De La Demande Globale

la croissance économique ? * le PGF (Productivité globale des facteurs) F(K,L) La croissance économique, la production intérieure brute est donc d’une part le stock de capital fixe et le travail productif. Le capital et le travail déterminent le deux moteurs principaux de la croissance. Donc si le Pib est une fonction de K et L, il faut tenir compte de la productivité du capital et de la productivité du travail. La production globale, au cours de chaque période dépend donc du capital fixe

ses concurrents, La marge globale obtenue (différence entre la valeur totale payée par le client et l'ensemble des coûts associés à la fabrication et à la vente du produit) Les principales sources d'avantages concurrentiels apparaissent en comparant la chaîne de valeur de l'entreprise avec les chaînes de valeur des concurrents, lorsque cela est possible. Construction Selon Gervais, la détermination des activités pertinentes composant la de la chaîne chaîne demande de respecter les principes

peuvent être expliqués à partir des comportements individuels) et prend pour point de départ l’analyse éco à l’échelle d’un agent. MACROECO : relève du holisme (comportement individuel s’inscrivant dans un contexte global prédéterminé) et s’intéresse aux relations entre grandeurs globales. C. La scientificité de l’analyse K. POPPER : une proposition devient scientifique quand elle peut être réfutée (ex du cygne blanc). Possibilité de prouver une erreur mais impossibilité d’établir la vérité. II. Les

tous ses angles. Définition : L’inflation désigne une augmentation durable et générale du niveau des prix de tous les biens et services. C’est un phénomène macro-économique mettant en jeu l'interdépendance entre toutes les parties et tous les mécanismes de l'économie. La mesure de l’inflation : L'inflation est un phénomène quantifiable dont le taux est évalué comme la variation du niveau général des prix d'une période t-1 à une période t. Le plus souvent, on la mesure à l'aide de la variation

se bornait à la théorie de l'accumulation du capital. Une économie croît parce qu'elle consacre une partie de ses ressources et de sa production à accroître le stock de capital physique (machines, etc.) dont elle dispose. Il s'agit là, au niveau global, d'une forme d'épargne, qui permet de consommer plus demain en consommant moins aujourd'hui - donc de croître. Comme ce processus fait l'objet de rendements décroissants (à cause, en particulier, des limites à la quantité de main-d'oeuvre disponible)

LES DIFFERENTES EXPLICATIONS DE L’INFLATION La définition la plus simple que l’on peut donner de l’inflation est celle d’un « processus de hausse cumulative et auto-entretenue du niveau général des prix ». Elle met l’accent sur l’idée d’un mécanisme mettant en cause des variations multiples, de longue durée, générant lui-même les causes de sa permanence, et s’exprimant par l’augmentation de la plus grande partie des prix. Ce processus se distingue donc des hausses sectorielles de certains prix

de 1990. Pour que cet objectif soit atteint, le protocole a préconisé une baisse globale d’au moins 5%, en définissant et en répartissant des quotas d’émissions entre les pays ou les groupes de pays qui ratifient le protocole. 2-Les grandes idées Le protocole de Kyoto prévoit, pour ces pays, la possibilité de recourir à des mécanismes dits « de flexibilité » qui devront mettre en œuvre au plan national. Les mécanismes sont au nombre de trois : les « permis d'émission » : cette disposition permet

1.3 Définition .................................................................................................................. 7 Caractéristiques du risque systémique .................................................................... 8 Les mécanismes de propagation d’une crise systémique ....................................... 9 Les critères de propagation ............................................................................... 9 1.3.1 1.3.2 Un élément-clé dans la propagation d’un

entreprises, se considérant trop nombreuse dans l’activité dans laquelle elles sont, décident alors de quitter le marché. Mécanisme : Chute des échanges internationaux Hausse du chômage. Tout cela est les prémices de la grande crise qui se prépare. Ce qui précède la crise de 1929 : - Surproduction industrielle. - Baisse des prix. - Diminution de la demande nationale ou internationale. I -La crise de 1929 aux USA. Tous les indicateurs économiques montrent un essoufflement de

Produit International Brut (PIB) s’est accru de 5% par an en moyenne. La croissance, que François Perroux a défini comme étant « l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation le produit global net en termes réels », a engendré un bouleversement des structures de l’économie et des marchés, mais également des méthodes et moyens de production, ce qui a entraîné une modification de la nature et de la quantité des biens. Dans ce contexte d’après-guerre