Médecine Traditionnelle

prudence : la situation du médecin confronté à une souffrance originale motive la prudence et interdit une attitude systématique. L’activité médicale est d’abord une pratique dont le moment constitutif est la rencontre avec le patient = singularité de l’activité médicale M. Weber caractérise le passage de la modernité par la substitution des réponses pratiques (centrée sur la relation) par des réponses techniques (moyen rationnel pour réaliser des objectifs). Société traditionnelle = fondée sur la relation

bière chez les égyptiens 4000 ans avant, la fermentation lactée au moyen orient, 3000 ans avant. On parle alors de biotechnologies traditionnelles qui relèvent de l’expérimentation. Plus proche, les travaux de Pasteur ont permis de développer la médecine moderne avec la pharmacologie. Les biotechnologies classiques permettent d’améliorer les procédés traditionnels par l’utilisation de conditions stériles, de fermentation et par la sélection de micro-organismes mieux adaptés, ce qui a permis d’enrayer

documentaires, en particulier dans les Bibliothèques de l’UCAD. Cette partie se compose des éléments suivants : • un document rassemblant les résultats des recherches bibliographiques menées à la Bibliothèque Universitaire, à la Faculté de médecine et au Département de Médecine légale, ainsi qu’à la Bibliothèque du Credila [1]. • un recueil de références trouvées dans d’autres centres de documentation ou colligées à partir de lectures et de recherches personnelles. • un ensemble de textes législatifs

Concept en Santé Publique et Médecine préventive. IFMT-Philaysak-SantéPubl.2006 1 Éléments essentiels en santé publique. 1. Responsabilité collective. 2. Rôle primordial de l’état : protection et promotion de la santé des peuples. 3. Partenariat et contribution de la population. 4. Rôle majeur la prévention. 5. Étude des déterminants socioéconomiques de la santé et des maladies. 6. Étude des facteurs de risque. 7. Etudes multidisciplinaires pour l’action. IFMT-Philaysak-SantéPubl.2006

Ernst Stahl (1660 – 1734) Chimiste et médecin allemand né en Bavière, Stahl [1, 15] fut d’abord le médecin du duc de Saxe – Weimar (1683), avant d’être nommé professeur de médecine en second à l’université nouvellement fondée de Halle (1693) ; puis médecin du roi Frédéric-Guillaume Ier en 1716 à Berlin, jusqu’à la mort de celui-ci. Il reprit les travaux de Becher sur le phlogistique en se libérant toutefois des conceptions alchimiques traditionnelles de ses prédécesseurs. En cela il devint le

s’est toutefois attiré les foudres de plusieurs spécialistes de la santé.« 60 Millions de consommateurs pointe du doigt des teneurs qui sont réelles, mais anodines dans l’absolu » estime le D r Dominique Dupagne sur son blog (www.atoute.org). Pour ce médecin, l’étude du magazine est en outre contredite par d’autres études scientifiques, telle que celle publiée par Tobacco Control, qui trouvent en moyenne 450 fois moins d’acétaldéhyde et 15 fois d’acroléine dans les échantillons d’e-cigarettes testées

désigne la médecine classiquement employée dans les pays occidentaux. Cette façon de soigner se base sur l'administration de médicaments contenant des substances actives (par opposition à l'​ homéopathie​ ) et destinées à contrer les troubles du fonctionnement de l'organisme. De fait, le terme allopathie englobe également les traitements à base de plantes, d'​ huiles essentielles​ , etc. Néanmoins, par abus de langage, le terme est réservé à la médecine conventionnelle et exclut les médecines douces

connaissances au niveau biologique, va permettre de se rendre compte que l’organisation du monde n’est plus théocratique mais naturelle. Le principe de la nouvelle organisation sociale mise en place par les révolutionnaires est laïc et naturaliste. La médecine moderne va constituer la discipline par excellence de cette nouvelle façon de voir, du fonctionnement du corps. L’aboutissement de cette logique va être Darwin, la nouvelle interprétation du monde va être une interprétation évolutionniste. 2

traitements sont des armes pr guérir le patient, c’est pourquoi c’est approprié à l’Homme. Les sources de la Médecine traditionnelle chinoise remonte à 3000 avant JC. Les romains vouaient à l’eau un véritable culte, la Médecine Thermale existe depuis cette époque. Les grecs accordaient une importance à la beauté et aux soins du corps. Hippocrate est le Médecin Grec dit comme « Le père de la Médecine ». Le christianisme : les congrégations religieuses ont créé les premiers Hopitaux qui n’acceptaient que

nécessaire pour réussir le concours, mais non suffisant. Il s’agit de comprendre les exemples et d’être capable de restituer la manière, la logique dont les sciences humaines et sociales étudient le monde de la santé/médecine et quel type d’aide elles peuvent apporter à la pratique. La médecine peut être définie comme un savoir appliqué qui repose sur des disciplines scientifiques dont la biologie, la pharmacologie, la physique, la chimie…. mais aussi les sciences humaines et la sociologie. Il ne vous