Méditations Poètiques Milly Lamartine

Les thèmes principaux sont : - l’amour et la fuite du temps, que l’on retrouve dans « Le Lac » d’Alphonse de Lamartine -la destinée humaine comme dans le poème « Mélancholia » de Victor Hugo -la nature que l’on contemple sur les toiles peignant des paysages du peintre C.D. Friedrich -l’ailleurs et l’exotisme Les romantiques introduisent également des nouveautés aux formes poétiques. En effet, les formes fixes qui perdurent telles que le sonnet ou la chanson, avec toutefois un assouplissement

L’isolement -Lamartine Le poème est inspiré par la douleur provoquée par la mort d’un être aimé. Le poète, retiré à Milly, chantait sa femme, qui était morte depuis huit mois, constatant que sans elle, « tout est dépeuplé ». Après avoir exprimé sa détresse dans la première partie, il appelle de ses vœux la mort libératrice. Mais au-delà de la désespérance, il réussit dans la deuxième partie à retrouver l’espoir sur le plan divin. Ce poème, qui fait partie du recueil « Méditations poétiques »

souffrances morales, Baudelaire est frappé en 1866 d’un malaise qui le rendra paralysé et aphasique. Il meurt en 1867. Alphonse de Lamartine (1790-1869) Alphonse de Lamartine est né à Mâcon (Saône-et-Loire) en octobre 1790. Il passe son enfance à Milly, un village près de Mâcon, et fait ses études à Belley chez les jésuites. De juillet 1811 à avril 1812, Lamartine est envoyé en Italie. Il découvre Florence, Rome et Naples. Là, il s’éprend d’une jeune fille, Antoniella (cf. Graziella). Sa vocation

Alphonse de Lamartine (1790-1869) Né à Mâcon en 1790, Alphonse de Lamartine appartient à la petite noblesse provinciale. Son père était un royaliste convaincu, et sa mère issue de la bourgeoisie cultivée. Après des études classiques, il mène une vie oisive partagée entre son village, Milly, et Paris : il y écrit ses premiers essais littéraires, nourri de Fénelon et Racine, mais admirateur également de Chateaubriand, Byron et Pétrarque. Son séjour en Italie (1811-1812) contribue à son éducation

surtout sa mère, Sophie Trébuchet, qui l’élève après sa séparation de son mari. Victor Hugo a eu une enfance nomade et anxieuse. À l’âge de 14 ans, il écrit: «Je veux être Chateaubriand ou rien. » Il avait commencé à écrire dans tous les genres poétiques et de recevoir la reconnaissance tout en restant dans son adolescence. A 19 ans, il écrit et publie ses premiers poèmes, Odes. Il est alors remarqué par le roi Louis XVIII qui lui verse une pension. En 1811, Hugo a été pensionnaire dans une institution

Commentaire Litteraire: L'Isolement par Lamartine Paru en 1820, les Méditations poétiques appartiennent au mouvement romantique qui met en valeur la nature et l’expression des sentiments personnels. Le mouvement romantique apparait à la fin du XVIIIème siècle en Allemagne et en Angleterre, et se diffuse dans toute l’Europe au cours du XIXème siècle. Ce poème, L’Isolement, est rédigé en 1817 par Alphonse de Lamartine, au moment où Elvire, sa femme aimée, venait de mourir. Durant ce moment de

Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet.Les limites chronologiques du Romantisme qui sont fixées sont aléatoires car il a continué à influencer la littérature française durant tout le XIXème siècle. LE CONTEXTE Ce mouvement se développe dans le sillage de la Révolution

Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) Ou la sincérité lyrique BIOGRAPHIE OEUVRES LYRISME ET MOMANTISME ENGAGEMENT POLITIQUE EXTRAITS D’OEUVRES CITATIONS JUGEMENTS LIENS FORUM « Il y a toujours au fond de mon cœur une larme qui filtre goutte à goutte » Extrait : Graziella - 1852 BIOGRAPHIE Alphonse de LAMARTINE est né à Macon, le 21 octobre 1970, dans une famille de petite noblesse. A l’age

Ce poème de Lamartine se rattache étroitement au souvenir d'Elvire. Dans son “Commentaire” de 1849, unique document d'information qui existe, le poète indiqua : «Les grandes douleurs sont muettes, a-t-on dit. Cela est vrai. Je l’éprouvai après la première grande douleur de ma vie. Pendant six ou huit mois, je me renfermai comme dans un linceul avec l’image de ce que j’avais aimé et perdu. Puis, quand je fus pour ainsi dire apprivoisé avec ma douleur, la nature jeta le voile de la mélancolie sur

d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise : Ils ont aimé ! Alphonse de Lamartine. Le deuxième : Soleils couchants Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées; Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ; Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui