Médée Anouilh

Extrait étudié : Pierre Corneille, Médée, acte I, scène 4. Apportez-moi du fond des antres de Mégère La mort de ma rivale, et celle de son père, Et si vous ne voulez mal servir mon courroux, Quelque chose de pis pour mon perfide époux : Qu'il coure vagabond de province en province, Qu'il fasse lâchement la cour à chaque prince ; Banni de tous côtés, sans bien et sans appui, Accablé de frayeur, de misère, d'ennui, Qu'à ses plus grands malheurs aucun ne compatisse ; Qu'il ait regret à moi pour son

habite dans l’île d’Ééa, dans un palais situé au milieu d’une clairière, entouré de loups et de lions, autrefois des hommes qu'a ensorcelé Circé. C’est là qu’elle a autrefois, si on en croit les récits argonautiques, recueilli et purifié Jason et Médée (sa nièce, fille d’Æétès) après le meurtre d’Absyrtos.[2] Quand Ulysse et ses compagnons abordent l’île, vingt-deux d’entre eux, menés par Euryloque, se laissent attirer jusqu’au palais par une voix harmonieuse[3]. La magicienne les accueille et leur

roi Éétès accepte de laisser la Toison d'or à Jason, s'il parvient à bout d'épreuves surhumaines. Heureusement, il est aidé par la fille du roi, la magicienne Médée, et triompha de ces épreuves. Cependant, le roi, de mauvaise fois, ne veut pas lui laisser la Toison d'or. Jason décida donc d'aller la voler à la nuit tombée et s’enfuit avec Médée. Encore une fois, cette dernière lui fut d'une aide précieuse en endormant le dragon qui gardait la Toison. Elle va même jusqu'à tuer son propre frère pour retarder

déjà tranché ma destinée ; Mais je laissais gémir la vertu soupçonnée : J’ai voulu, devant vous, exposant mes remords, Par un chemin plus lent descendre chez les morts. J’ai pris, j’ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes. Déjà jusqu’à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu ; Déjà je ne vois plus qu’à travers un nuage Et le ciel et l’époux que ma présence outrage ; Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté

de Seconde . 10 Médée de Sénèque : Un personnage qui suscite l'horreur. Le choix du thème de Médée, figure emblématique de la passion, se justifie par l’abondance des illustrations qu’elle sucita sur la scène française de l’époque classique.La tragédie permet au public d’assister au spectacle de la transformation d’un homme en monstre ce qui devient un héros tragique . Le plus souvent le héros est en proie à une souffrance physique et morale . Lors de la lecture de " la médée de Sénéque " Nous

tragique grec, ce qui n'est pas à prendre chronologiquement au sens strict. Sophocle, de quelque dix-huit ans son aîné, mourut un an après lui, en 405, peu de temps après avoir composé Oedipe à Colonne. Par ailleurs, la première représentation de Médée remonte à 431 A.C., ce qui la rend vraisemblablement antérieure d'un an à celle d'Oedipe-Roi . Si Euripide consacra l'essentiel de son activité à l'écriture théâtrale, celle-ci ne lui valut que peu de succès, surtout en début de carrière. Couronné

peut aussi les trouver dans l'Odyssée (XII, v. 58 et suiv.). File:Herkulaneischer Meister 001.jpg Médée : magicienne, tout comme sa tante Circé . La légende de Médée est particulièrement sombre puisque constituée d'une succession de meurtres ponctués de fuites qui la voit accomplir un voyage à travers toute la Grèce antique, sa vengeance meurtrière ayant donné naissance au complexe de Médée. http://www.arkeojunior.com/images/14256art.jpg 5) Quoi ? La toison d’Or Zeus fit apparaître un

2.Le colchique -->les anglais le surnomme naked lady(femme nu) -->Médée l'ensorcelleuse donna son nom(colchide) à cette plante. Rappelle mythologique: Jason et Médée 3.Le lilas -->célèbre la beauté de la jeune fille. B/autobiographie

Médée, un monstrum : comment fonctionne la catharsis ? Groupement de textes à partir de Médée de Corneille I. L’horreur ressentie pour Médée Le principe de la catharsis est de purger les passions du spectateur : il vit par procuration des émotions violentes comme l’horreur et la pitié. Les tragédies, à travers la catharsis, instruisent donc les hommes et visent à les rendre meilleurs. Médée de Corneille est une des pièces où la catharsis est la plus visible. Le personnage de Médée nous

rois… Le personnage de Créon par exemple dans Antigone de Sophocle, est le roi de Thèbes, ou encore celui d’Antigone même, fille d’Œdipe et nièce de Créon. Les personnages tragiques sont également extraordinaires par leur caractère et leurs actes. Médée, héroïne de la pièce éponyme de Sénèque, illustre parfaitement cela : elle tue ses propres enfants par simple vengeance envers son mari Jason. Cet exemple démontre aussi le fait que les vices de ces personnages sont amplement amplifiés, tandis que