Méfier Des Apparences

l’œuvre du peintre peut être comparée à l’univers des reflets produits par un miroir. Nous allons à présent décrypter la notion d’image à travers le livre X de la République de Platon. Dans son œuvre, il défend la thèse selon laquelle il faut se méfier de l’art parce que celui-ci nous trompe par ses artifices. Car l’art, au travers de ses images, est le domaine de l’illusion : ainsi, il nous éloigne considérablement de la vérité et en même temps il construit une vérité qui peut utiliser les leviers

des pièces de Molière qui dans le temps leur fonction première était de divertir . C’ est au fil du temps que nous avons trouver une morale comme dans « Le médecin malgré lui » de Molière qui est méfier vous des apparences . Mais elle sert aussi à dénoncer les travers de la société comme c’est le cas dans « L’ile des esclaves » de Marivaux qui lui dénonce les abus de pouvoirs . Il sert de moyens de dénonciations et de critique comme nous pouvons retrouver

parti, de la base au sommet. Ce systéme politique est en apparence démocratique car c’est le peuple soviétique qui élit ses représentants au Soviet suprême, composé de 1600 membres répartis en deux chambres : ▶ le Soviet de l’Union élu proportionnellement au nombre d’habitants. Il dispose en théorie du pouvoir législatif (élaboration des lois). ▶ le Soviet des nationalités qui représente les quinze Républiques fédérées. En apparence l’État est fédéral et une large autonomie semble laissée

celles-ci. En effet, on trouvera toujours raisonnable de se méfier d’une chose puissante, de la soumettre au doute et à une analyse. Mais la méfiance envers une chose comme les images suppose que cette chose n’est pas neutre pour celui qui se méfie. Or ce pré-supposé est-il évident ? Les images agissent-elles nécessairement sur un sujet ? par quel mode d’action ? Ne sont-elles pas que l’outil d’une volonté externe, et ne doit-on pas avant tout se méfier de cette volonté ? Aussi, se demander quelle attitude

de situation. Le raisonneur lance un plus grand défie, résolution par futur simple. Accélération du rythme : ponctuation (points virgules). Trivialité des gestes contraste avec « excellence ». Prise de conscience de Micromégas, il faut se méfier des apparences et prières. Merveilles démontrées scientifiquement (Swammerdam/Réaumur) contre fiction (Virgile). Questions d’oral possibles : * * Etudier le récit de la rencontre entre les Géants et les Hommes ? Plan possible : I/ Les protagonistes

ne travaille pas, il ne faut pas s’attendre à l’aide des autres. implicite Le corbeau et le renard Le renard flatte le corbeau et voulant se montrer, le corbeau lâche le fromage et le renard le mange. Tout flatteur mérite méfiance. Il faut se méfier des flatteries et ne pas se laisser « avoir » Explicite (propos du renard) La grenouille qui veut se faire aussi grosseque le boeuf La grenouille jalouse un bœuf, de sa taille, sa grosseur. Elle se gonfle, pour essayer d’atteindre un corps équivalent

longue et difficile, elle réclame un effort. Platon dans l’allégorie de la caverne montre par un récit fictif que posséder la vérité c’est faire l’effort de la rechercher soi-même. Les hommes enfermés dans cette caverne étaient prisonniers de leur apparence, vivaient dans l’ignorance et dans l’illusion sans en avoir conscience. Lorsqu’un jour ces hommes sont –mit en liberté- , c’est-à-dire en dehors de la caverne, ils sont perdu, éblouit par la réalité, incapable de vivre autrement que dans la caverne

Alain se rattache au courant rationaliste. C’est un penseur dans la plus pure tradition socratique. Ces maîtres à penser furent donc Platon, Descartes, Kant et Auguste Comte. Il accorde une importance décisive au jugement, qui libère des apparences subjectives de la sensation ; le monde objectif est alors un ensemble de relations nécessaires conçues par l'entendement. Il apparaît comme le représentant d'un courant critique qui refuse l'apport des sciences humaines en psychologie et donc qui

la perception sensible n'a pas de vérité théorique mais elle a une utilité pratique, puisqu'elle nous informe sur les choses. On dit souvent que « les apparences sont trompeuses », car on risque souvent de faire des conclusions fausses si on accorde toute confiance à ses sens. En effet, les sens peuvent nous tromper et il vaut mieux se méfier de certaines perceptions. Pour cette raison, certains philosophes préconisent de se détourner des sens et de considérer la raison comme unique source de vérité

promordiale. Pour elle, la beauté cache des choses ; et les qulités "galant".. s'opposent à des défauts "brutal".. Il faut donc s'en méfier davantage. Les exemples, qu'elle donne à Lisette, d'hommes qui paraissent si agréables et qui sont enfaite que l'opposé avec leur femme, montre qu'elle ne se laissera pas avoir par un homme. Il ne faut donc pas se fier aux apparences. Les femmes sont plus cultivées qu'avant. Langage comique : "Vertuchoux"... Beaucoup de questions, d'exclamations. Au début, nous