Mémoire Aide Sociale Enfance

...............................................................................Page 26 Présentation de deux œuvres: Chambre d'écoute ................................................................................Page 27/28 La persistance de la mémoire .......................................................Page29/30/31 Conclusion........................................................................................................Page 32 Vocabulaire............................................

UNIVERSITÉ D’ORLÉANS IUFM Centre Val de Loire MEMOIRE de recherche présenté par : Elsa BRYLINSKI soutenu le : 22 juin 2011 pour obtenir le diplôme du : Master Métiers de l'Éducation, de l’Enseignement, de la Formation et de l’Accompagnement Discipline : musique et éducation artistique Spécificité des comptines dans l'appropriation des apprentissages à l'école maternelle Mémoire dirigé par : Emmanuèle GOULON-FONTALIRAN : formateur d'éducation musicale, IUFM d'Orléans _______________

Note de recherche mémoire Sommaire Introduction…………………………………………………………………..1 I. Situation d’appel…………………………………………………………..2 1. Description de la situation…………………………………...…….2 2. Questionnement…………………………………………………….3 3. Question de départ………………………………………………….3 II. cadre de référence……………………………………………………….4 1. Champs disciplinaires………………………………………………4 2. Cadre concptuel………………………………………………… 4-6 - Définition de médecine………………………………………… 4 - Définition d’infirmier……………………………………………. 4 - Posture professionnelle………………………………………

SESSION 2015 Sommaire 1 / INTRODUCTION : Présentation de la structure. Personnel et leurs fonctions . Présentation des usagers et les caractéristique générales des usagers 2 / PREMIERE PARTIE : Constat Domaine d'application Aide a la mise en place du projet 3 / DEUXIEME PARTIE : Description du projet d'action Mon projet d'animation Une action dans quel but? Quels est l'élément déclencheur? Une action pour qui ? Dans quel environnement ? Quel sont les demandeurs ? Quel est

de son chien-loup, Nick. On sait qu’elle est enceinte d’un homme appelé Simon mais celui-ci n’est pas présent dans la nouvelle et la femme s’empêche continuellement de penser à lui car cela lui donne le vertige. Une assistante sociale vivant non loin tente de lui venir en aide mais Liana ne le souhaite pas. Elle devient paranoïaque et a peur que des médecins viennent la chercher, l’enfermer et lui prennent son bébé. « Peut-être qu’il est déjà trop tard, qu’ils sont en route, guidés par Simon, ou par

ses dires, il n'était pas un enfant turbulent mais plutôt un enfant calme, débrouillard et intelligent. Il aimait fabriquer des jouets avec des objets qu'il trouvait et il aimait jouer au ballon dans le parc Jarry et à des jeux de société. Dans son enfance, il se décrit comme un jeune qui était solitaire étant donné qu'il jouait souvent seul. Il était beaucoup plus près de sa mère que de son père. Son adolescence a été pour lui une étape difficile à traverser puisqu'il a vécu des nombreuses péripéties

à Saint-Mandé, le voilà aux lendemains de la première guerre mondiale à Vienne où son père vient d’être muté. Jamais il n’oubliera les scènes de misère et de famine qui facilitent les ravages de la grippe espagnole, jamais ne s’effaceront de sa mémoire les images des petits Autrichiens, frappés par les méfaits de la guerre ; des scènes si proches de celles qu’il découvre en Espagne. Or, ce défenseur de la cause républicaine, docteur ès lettres en études germaniques et littérature comparée3, refuse

filiation n’est donc pas forcément biologique, elle est avant tout sociale. Le groupe de filiation se définit comme un ensemble de consanguins (ou culturellement identifiés comme tels) qui se réclament d’un ancêtre commun. Les individus se considèrent et sont considérés par les autres comme formant un groupe distinct. La filiation est le principe gouvernant la transmission de la parenté. Elle détermine également l’identité sociale et les principaux éléments du statut de la personne. Il existe

baigner. A ces occasions Jacques oubliait toujours le temps et il avait à subir la colère de la grand-mère lorsqu’il rentrait. Jacques revoit enfin sa mère, retrouve la tendresse beaucoup trop rare de son enfance. Il essaye de la questionner sur son père tué par un obus, mais elle a la mémoire floue, comme tous les pauvres qui n’ont, à l’opposé des riches, point de repères dans le temps et l’espace. Des attentats ayant lieu à proximité poussent Jacques à persuader sa mère de venir vivre avec lui

plus diffuse. Pendant une première phase, membres de la famille et travailleurs sociaux attendent les uns des autres une adhésion au modèle éducatif et familial respectivement défendu puis, dans d’une seconde phase, chacun se résigne à l’acceptation de l’autre dans sa différence. Parallèlement, on assiste au gommage progressif des références à l’histoire ou aux attitudes antérieures de la personne suivie dans son enfance et devenue parent, puis au déplacement de la source du danger, de la personne